Une nuit dans la vie d'un homme
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Une nuit dans la vie d'un homme
Dans la froideur d'une nuit d'hiver se déroulent beaucoup d'événements. Il y eut des guerres, des fêtes, des tragédies, et des jours heureux dans le froid de Décembre. Pour ma part, il n'y eut rien d'autre qu'une routine habituelle.
Je rentrais chez moi après une journée de travail, ce n'était pas très agréable vu la température ambiante, mais il fallait bien que je nourrisse ma petite famille. Comme si cela ne suffisait pas, il se mit à pleuvoir. La nuit commençait vraiment bien. Je me dirigeai rapidement sous un porche, à l'ombre d'une ruelle, pour m'abriter du déluge qui commençait à tomber. Comme le temps passait lentement, je plongeai la main dans ma poche de pantalon et en sortis une cigarette. Oui, allumer une cigarette sous la pluie n'est pas des plus faciles.
Le temps que je le fasse, deux bras me passèrent autour du cou et me happèrent à l'intérieur. A première vue fins, ils étaient dénudés malgré le froid, et peu délicats. Ce qui me fit me rappeler, qu'ici, dans cette cité criminelle, un homme ferait mieux d'éviter certains porches. Je me retournai et vis une femme au joli minois certain, dont les vêtements peu adaptés à la saison trahissaient l'occupation.
- Eh, beau gosse, j'ai jamais vu un mec qui ait l'air aussi seul. Je crois que t'as besoin d'un peu de compagnie. Si tu payes le bon prix, ta soirée sera bien plus sympa.
Je souris, et pensai à la famille qui m'attendait. Je regardai ensuite la femme dans les yeux, et lui répondit simplement.
- Pourquoi est-ce qu'une si jolie jeune femme s'inflige ça ? Qu'est-ce qui t'as fait choisir cette vie ?
Elle écarquilla les yeux, restant bouche bée un instant, avant de me regarder.
- Il y a pas de pause pour les gens comme moi. L'argent, ça pousse pas sur les arbres. J'ai des dettes à payer et une famille à nourrir. Il y a rien de gratuit dans cette ville. J'peux pas arrêter, j'peux pas m'en empêcher. Pourtant, crois-moi que j'aimerais bien. Oh non, il n'y a pas de pause pour les gens comme moi, pas avant qu'on crève.
Une petite heure plus tard, alors que je marchais à nouveau dans la rue, j'aperçus une ombre du coin de l'oeil. Je continuai mon chemin, tournai rapidement, mais au détour d'une ruelle, j'entendis sa voix. Il s'était glissé derrière moi, et pointait son flingue contre ma tête. Au moins, je comprenai rapidement qu'il ne cherchait pas à se battre. D'une voix claire, il fit ses demandes.
- Donne-moi tout ce que t'as, j'veux tes sous, pas ta vie. Si tu tentes d'me rouler, c'la dit, j'y réfléchirai pas à deux fois.
Je me retournai et regardai l'homme, montrant rapidement que je ne souhaitais pas me battre. C'était un bandit comme on pourrait en croiser partout, armé d'un unique revolver. Masquant le bas de son visage. Alors, je lui répondais simplement.
- Je te donne mon argent, mais avant, j'aimerais savoir. Qu'est-ce qui t'as fait choisir cette vie ?
Il ricanna, ne s'attendant probablement pas à ce que je le lui demande, puis fit un pas en arrière.
- J'aime bien tes couilles, j'vais te répondre. Il y a pas d'pause pour les gens comme moi. L'argent, ça s'trouve pas comme ça. J'ai des dettes à payer et une famille à nourrir. La ville le veut, il y a rien d'gratuit. J'peux pas arrêter, j'peux pas m'en empêcher. Pourtant, crois-moi, j'aimerais bien. Il y a pas d'pause, j'te dis. Du moins, pas avant qu'on soit six pieds sous terre.
Enfin, je vis ma maison. Je poussai la porte et entendit la voix de ma fille crier.
- Ah bah enfin, Papa, c'est pas trop tôt !
Le lendemain matin, en partant au travail, je croisai mon voisin. Nous discutâmes rapidement et il m'informa que les gardes avaient retrouvé une prostituée morte sur le pas de sa porte près de la rue principale. Je lui partageai mon impression. Triste, mais ce sont des choses qui arrivent, dans cette ville.
Une fois arrivé à destination, mon coéquipier m'accueillit excité comme jamais. Apparemment, il avait enfin trouvé une piste sur l'un des plus gros syndicats du crime de la ville. Le cadavre d'un membre de celui-ci, trouvé dans une ruelle en début de matinée, une pièce enfoncée dans chaque oeil, et une autre dans la bouche.
Ils avaient raison. Vous savez, il n'y a pas de repos pour les gens comme nous. Nous avons des dettes à payer, des bouches à nourrir. L'argent ne pousse pas dans les arbres. La ville le veut, il n'y a rien de gratuit. Je ne peux pas m'arrêter. Je ne peux pas m'en empêcher. Pourtant, croyez-moi, j'aimerais bien. Oh non, il n'y a pas de repos pour les gens comme moi, pas avant que nous ne fermions les yeux pour de bon.
(J'ai bien entendu écrit ceci avec une certaine chanson dans la tête.)
Je rentrais chez moi après une journée de travail, ce n'était pas très agréable vu la température ambiante, mais il fallait bien que je nourrisse ma petite famille. Comme si cela ne suffisait pas, il se mit à pleuvoir. La nuit commençait vraiment bien. Je me dirigeai rapidement sous un porche, à l'ombre d'une ruelle, pour m'abriter du déluge qui commençait à tomber. Comme le temps passait lentement, je plongeai la main dans ma poche de pantalon et en sortis une cigarette. Oui, allumer une cigarette sous la pluie n'est pas des plus faciles.
Le temps que je le fasse, deux bras me passèrent autour du cou et me happèrent à l'intérieur. A première vue fins, ils étaient dénudés malgré le froid, et peu délicats. Ce qui me fit me rappeler, qu'ici, dans cette cité criminelle, un homme ferait mieux d'éviter certains porches. Je me retournai et vis une femme au joli minois certain, dont les vêtements peu adaptés à la saison trahissaient l'occupation.
- Eh, beau gosse, j'ai jamais vu un mec qui ait l'air aussi seul. Je crois que t'as besoin d'un peu de compagnie. Si tu payes le bon prix, ta soirée sera bien plus sympa.
Je souris, et pensai à la famille qui m'attendait. Je regardai ensuite la femme dans les yeux, et lui répondit simplement.
- Pourquoi est-ce qu'une si jolie jeune femme s'inflige ça ? Qu'est-ce qui t'as fait choisir cette vie ?
Elle écarquilla les yeux, restant bouche bée un instant, avant de me regarder.
- Il y a pas de pause pour les gens comme moi. L'argent, ça pousse pas sur les arbres. J'ai des dettes à payer et une famille à nourrir. Il y a rien de gratuit dans cette ville. J'peux pas arrêter, j'peux pas m'en empêcher. Pourtant, crois-moi que j'aimerais bien. Oh non, il n'y a pas de pause pour les gens comme moi, pas avant qu'on crève.
Une petite heure plus tard, alors que je marchais à nouveau dans la rue, j'aperçus une ombre du coin de l'oeil. Je continuai mon chemin, tournai rapidement, mais au détour d'une ruelle, j'entendis sa voix. Il s'était glissé derrière moi, et pointait son flingue contre ma tête. Au moins, je comprenai rapidement qu'il ne cherchait pas à se battre. D'une voix claire, il fit ses demandes.
- Donne-moi tout ce que t'as, j'veux tes sous, pas ta vie. Si tu tentes d'me rouler, c'la dit, j'y réfléchirai pas à deux fois.
Je me retournai et regardai l'homme, montrant rapidement que je ne souhaitais pas me battre. C'était un bandit comme on pourrait en croiser partout, armé d'un unique revolver. Masquant le bas de son visage. Alors, je lui répondais simplement.
- Je te donne mon argent, mais avant, j'aimerais savoir. Qu'est-ce qui t'as fait choisir cette vie ?
Il ricanna, ne s'attendant probablement pas à ce que je le lui demande, puis fit un pas en arrière.
- J'aime bien tes couilles, j'vais te répondre. Il y a pas d'pause pour les gens comme moi. L'argent, ça s'trouve pas comme ça. J'ai des dettes à payer et une famille à nourrir. La ville le veut, il y a rien d'gratuit. J'peux pas arrêter, j'peux pas m'en empêcher. Pourtant, crois-moi, j'aimerais bien. Il y a pas d'pause, j'te dis. Du moins, pas avant qu'on soit six pieds sous terre.
Enfin, je vis ma maison. Je poussai la porte et entendit la voix de ma fille crier.
- Ah bah enfin, Papa, c'est pas trop tôt !
Le lendemain matin, en partant au travail, je croisai mon voisin. Nous discutâmes rapidement et il m'informa que les gardes avaient retrouvé une prostituée morte sur le pas de sa porte près de la rue principale. Je lui partageai mon impression. Triste, mais ce sont des choses qui arrivent, dans cette ville.
Une fois arrivé à destination, mon coéquipier m'accueillit excité comme jamais. Apparemment, il avait enfin trouvé une piste sur l'un des plus gros syndicats du crime de la ville. Le cadavre d'un membre de celui-ci, trouvé dans une ruelle en début de matinée, une pièce enfoncée dans chaque oeil, et une autre dans la bouche.
Ils avaient raison. Vous savez, il n'y a pas de repos pour les gens comme nous. Nous avons des dettes à payer, des bouches à nourrir. L'argent ne pousse pas dans les arbres. La ville le veut, il n'y a rien de gratuit. Je ne peux pas m'arrêter. Je ne peux pas m'en empêcher. Pourtant, croyez-moi, j'aimerais bien. Oh non, il n'y a pas de repos pour les gens comme moi, pas avant que nous ne fermions les yeux pour de bon.
(J'ai bien entendu écrit ceci avec une certaine chanson dans la tête.)
Silk Le Train- L’Idéaliste
- Messages : 20
Date d'inscription : 28/05/2016
Re: Une nuit dans la vie d'un homme
Alors j'ai faillis hurler à la mort mais la fin sauve le tout.
Qu'on se le dise c'est super bien écrit et l'idée est très bonne, mais la chanson j'la connais depuis pas mal de temps (J'ai même le CD du groupe) donc en lisant les lignes j'ai vu les Lyrics et ça a fait Boum. Je me suis forcé à aller au bout et la fin a heureusement bien rattrapée le tout. Ouf
Ce qui me gêne vraiment dans le texte c'est que la chanson est plus qu'une référence, des lignes entières y sont reprises. Ecrire avec une chanson en tête ne pose évidemment pas de problèmes, idem si tu l'affiches. Mais auquel cas il faut faire face à deux dangers :
1-Que le texte de la chanson et la nouvelle diffèrent bien. Si on retrouve les même lignes sur l'une et sur l'autre l'effet perd en saveur et on peut prendre ça comme une paresse d'écriture (Ce qui n'est pas le cas ici, je te connais)
2-Que la musique ne vienne pas court-circuiter le texte. Certaines musiques sont des dangers pour ce qu'elles représentent. Par exemple Ain't n rest de par son clip ou son usage dans Borderlands est assimilé pour moi à des paysages désertiques. De jour, et en décallé. C'est ce que dégage la chanson et la voix du chanteur, un côté assez fun qui à son écoute a interféré avec le texte.
Sinon sur le fond c'est cool et la fin à très bien marché sur moi, GG !
Qu'on se le dise c'est super bien écrit et l'idée est très bonne, mais la chanson j'la connais depuis pas mal de temps (J'ai même le CD du groupe) donc en lisant les lignes j'ai vu les Lyrics et ça a fait Boum. Je me suis forcé à aller au bout et la fin a heureusement bien rattrapée le tout. Ouf
Ce qui me gêne vraiment dans le texte c'est que la chanson est plus qu'une référence, des lignes entières y sont reprises. Ecrire avec une chanson en tête ne pose évidemment pas de problèmes, idem si tu l'affiches. Mais auquel cas il faut faire face à deux dangers :
1-Que le texte de la chanson et la nouvelle diffèrent bien. Si on retrouve les même lignes sur l'une et sur l'autre l'effet perd en saveur et on peut prendre ça comme une paresse d'écriture (Ce qui n'est pas le cas ici, je te connais)
2-Que la musique ne vienne pas court-circuiter le texte. Certaines musiques sont des dangers pour ce qu'elles représentent. Par exemple Ain't n rest de par son clip ou son usage dans Borderlands est assimilé pour moi à des paysages désertiques. De jour, et en décallé. C'est ce que dégage la chanson et la voix du chanteur, un côté assez fun qui à son écoute a interféré avec le texte.
Sinon sur le fond c'est cool et la fin à très bien marché sur moi, GG !
Re: Une nuit dans la vie d'un homme
Hmmm...
Cette musique est connue de tous, c'est un fait, même si j'ai du relire les paroles pour mieux comprendre le texte. Ca va sembler répété après le commentaire de Birth, mais voilà mon opinion en plusieurs points:
-Déjà, oui le texte est globalement bien écrit, même si on peut trouver quelques erreurs d'orthographe ou quelques phrases hasardeuses ("J'aime des couilles", j'avoue que ça m'a laissé perplexe). Une atmosphère se dégage du texte, une atmosphère sympa aux premiers abords, et un certain message (qui est renforcé par la chanson justement).
-et...le deuxième point déjà va être un peu moins gentil. C'est fortement dommage que tu ais limite...traduit la chanson dans ton texte en fait? C'est une reprise et perso ça me fait grave tiquer, dans le mauvais sens du terme. Tu aurais prit un autre contexte (diversifier, ne pas reprendre le passage avec la prostituée et celui avec le bandit, des archétypes de personnes qui s'en sortent pas financièrement dans la vie et qui sont obligées de faire des actes immoraux pour gagner leur pain, il en existe une chiée) et une formulation différente mais basée sur le même plan, ça aurait été mieux. Je m'explique:
Au passage de la prostituée et du bandit ils disent la même chose à cet homme, c'est par analogie aussi le refrain de la chanson.
Au lieu de reprendre en gros les paroles et les mettre dans le texte, tu aurais pu exprimer la même idée sur le même rythme, avec un autre choix de mots. Leur passage est différent entre eux, mais que de quelques mots, qui sont juste organisés différemment.
Donc ça moi, j'accroche pas des masses. Désolé.
-Pareil, la musique est cool, elle exprime quelque chose de grave....mais son instru+voix du chanteur en fait une chanson qui se prend plutôt à la légère. Or ton texte donne un contexte plus sombre, et donc oui, il y a un décalage. La chanson et le texte expriment la même chose, la même idée. Mais on a un ressenti différent entre les deux, et je trouve ça perturbant.
-Enfin, et c'est là peut être où on va me trouver un peu dur: la fin est originale, on peut dire qu'elle est bien trouvée. Y'a pas de problème. Elle n'a pas réussi à me captiver tant que ça, et pour que ça fonctionne sur moi il faut que j'arrive à accrocher un peu plus à ce qu'il y a avant. Ce qui n'est pas vraiment le cas.
Le texte dans son ensemble est bien, c'est pas le problème. Mais il me donne une impression de plagiat vis à vis de la chanson, et la fin ne réussi pas à sauver ça. C'est franchement dommage.
Cette musique est connue de tous, c'est un fait, même si j'ai du relire les paroles pour mieux comprendre le texte. Ca va sembler répété après le commentaire de Birth, mais voilà mon opinion en plusieurs points:
-Déjà, oui le texte est globalement bien écrit, même si on peut trouver quelques erreurs d'orthographe ou quelques phrases hasardeuses ("J'aime des couilles", j'avoue que ça m'a laissé perplexe). Une atmosphère se dégage du texte, une atmosphère sympa aux premiers abords, et un certain message (qui est renforcé par la chanson justement).
-et...le deuxième point déjà va être un peu moins gentil. C'est fortement dommage que tu ais limite...traduit la chanson dans ton texte en fait? C'est une reprise et perso ça me fait grave tiquer, dans le mauvais sens du terme. Tu aurais prit un autre contexte (diversifier, ne pas reprendre le passage avec la prostituée et celui avec le bandit, des archétypes de personnes qui s'en sortent pas financièrement dans la vie et qui sont obligées de faire des actes immoraux pour gagner leur pain, il en existe une chiée) et une formulation différente mais basée sur le même plan, ça aurait été mieux. Je m'explique:
Au passage de la prostituée et du bandit ils disent la même chose à cet homme, c'est par analogie aussi le refrain de la chanson.
Au lieu de reprendre en gros les paroles et les mettre dans le texte, tu aurais pu exprimer la même idée sur le même rythme, avec un autre choix de mots. Leur passage est différent entre eux, mais que de quelques mots, qui sont juste organisés différemment.
Donc ça moi, j'accroche pas des masses. Désolé.
-Pareil, la musique est cool, elle exprime quelque chose de grave....mais son instru+voix du chanteur en fait une chanson qui se prend plutôt à la légère. Or ton texte donne un contexte plus sombre, et donc oui, il y a un décalage. La chanson et le texte expriment la même chose, la même idée. Mais on a un ressenti différent entre les deux, et je trouve ça perturbant.
-Enfin, et c'est là peut être où on va me trouver un peu dur: la fin est originale, on peut dire qu'elle est bien trouvée. Y'a pas de problème. Elle n'a pas réussi à me captiver tant que ça, et pour que ça fonctionne sur moi il faut que j'arrive à accrocher un peu plus à ce qu'il y a avant. Ce qui n'est pas vraiment le cas.
Le texte dans son ensemble est bien, c'est pas le problème. Mais il me donne une impression de plagiat vis à vis de la chanson, et la fin ne réussi pas à sauver ça. C'est franchement dommage.
Bluefox82- L’Utopiste
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Date d'inscription : 04/09/2014
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Localisation : Dans mon humble demeure, ou dans une auberge quelconque, tant que je peux boire et écouter les bardes.
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