Dans la tête de l'entêté
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Ihephe
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Bluefox82
Lashet
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Re: Dans la tête de l'entêté
Intéressant de mélanger ces deux arts (dont pour le second qui est un sous-genre): le cinéma et le rap. Autant dire que je n'ai quasiment jamais écouté les Casseurs Flowters, et ne connais Orelsan que de nom. Mais si le film se veut authentique, basé sur des histoires de vécu, cela vaut certainement le détour.
Pour la réponse:
-Des rêves, j'en ai eu plein, généralement axés sur les métiers que je voulais faire: étant fasciné de météorologie, et influencé par le film Twister, j'avais pour rêve d'être chasseur de tornade. Je me suis ravisé en comprenant la dangerosité de ce travail. Puis j'avais inventé un concept: vétérinaire-voyageur, qui est en fait vétérinaire en espace protégé. Un rêve de gosse, alliant mon envie d'être salvateur, et mon amour pour les autres êtres vivants. Abandonné aussi, j'ai été influencé par les jeux vidéos et l'imagination impliquée dedans, ayant pour rêve puéril de vivre dans un monde similaire à tous ceux auxquels je jouais. Vint mon adolescence avec la découverte de jeux plus violent, et un attrait pour les armes à feu, qui m'avait à l'époque incité à devenir ingénieur en armement. Après avoir eu une discussion avec mon demi-frère, qui ne souhaitait pas me voir partir dans cette voie, je me suis ravisé une nouvelle fois. J'ai attaqué ma terminale sur de mauvaises notes, j'ai commencé à baisser les bras, ne sachant vraiment pourquoi je m'étais lancé dans du scientifique. Depuis un moment je m'étais mit à des occupations plus littéraires et artistiques, alliant ma passion pour le dessin et le jeu de rôle. Un de mes meilleurs potes, me voyant dans un état dépressif, m'a dit que si j'étais dans les sciences c'était pas pour rien, et qu'il serait dur pour moi de mener une vie d'artiste.
Encore une fois...je me suis ravisé. Mais c'est pour mieux rebondir et retrouver un rêve d'enfance: j'ai décidé de continuer mes études, j'ai eu mon bac et j'ai aujourd'hui pour vocation d'être zoologiste. J'ai d'autres rêves que je souhaite accomplir, comme me mettre au cinéma et éditer mon jeu de rôle une fois fini.
Et enfin, j'ai le rêve commun à tout le monde: avoir une femme et des gosses.
Pour la réponse:
-Des rêves, j'en ai eu plein, généralement axés sur les métiers que je voulais faire: étant fasciné de météorologie, et influencé par le film Twister, j'avais pour rêve d'être chasseur de tornade. Je me suis ravisé en comprenant la dangerosité de ce travail. Puis j'avais inventé un concept: vétérinaire-voyageur, qui est en fait vétérinaire en espace protégé. Un rêve de gosse, alliant mon envie d'être salvateur, et mon amour pour les autres êtres vivants. Abandonné aussi, j'ai été influencé par les jeux vidéos et l'imagination impliquée dedans, ayant pour rêve puéril de vivre dans un monde similaire à tous ceux auxquels je jouais. Vint mon adolescence avec la découverte de jeux plus violent, et un attrait pour les armes à feu, qui m'avait à l'époque incité à devenir ingénieur en armement. Après avoir eu une discussion avec mon demi-frère, qui ne souhaitait pas me voir partir dans cette voie, je me suis ravisé une nouvelle fois. J'ai attaqué ma terminale sur de mauvaises notes, j'ai commencé à baisser les bras, ne sachant vraiment pourquoi je m'étais lancé dans du scientifique. Depuis un moment je m'étais mit à des occupations plus littéraires et artistiques, alliant ma passion pour le dessin et le jeu de rôle. Un de mes meilleurs potes, me voyant dans un état dépressif, m'a dit que si j'étais dans les sciences c'était pas pour rien, et qu'il serait dur pour moi de mener une vie d'artiste.
Encore une fois...je me suis ravisé. Mais c'est pour mieux rebondir et retrouver un rêve d'enfance: j'ai décidé de continuer mes études, j'ai eu mon bac et j'ai aujourd'hui pour vocation d'être zoologiste. J'ai d'autres rêves que je souhaite accomplir, comme me mettre au cinéma et éditer mon jeu de rôle une fois fini.
Et enfin, j'ai le rêve commun à tout le monde: avoir une femme et des gosses.
Bluefox82- L’Utopiste
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Localisation : Dans mon humble demeure, ou dans une auberge quelconque, tant que je peux boire et écouter les bardes.
Re: Dans la tête de l'entêté
Salut à tous ! Alors que s'achève cette deuxième semaine de critique, je me retrouve bien embêté. Je ne veux pas repartir sur un nouveau cycle de critique avant demain...et je ne vois pas de quel média vous parler aujourd'hui. Après pas mal de réflexions j'ai décidé de tenter quelque chose de nouveau, libre à vous de me dire si cela vous plaira.
Vous le savez, j'adore suivre les histoires que les oeuvres me racontent, j'aime analyser leurs personnages et en tirer un maximum de choses afin de créer les miens. Ce qui me passionne tout particulièrement, ce sont les antagonistes...les Némésis...bref : les méchants. Aujourd'hui je vous propose donc l'analyse d'un méchant tiré de jeu vidéo; je vais tenter de vous expliquer ce que j'aime chez lui, en quoi il m'a marqué et pourquoi encore aujourd'hui je repense souvent à lui.
On va parler du méchant d'un Final Fantasy, l'une des licence préférée...productrice de nombre de personnages que j'adore !
P.S. Non, on va pas parler de Crisis Core.
13 Décembre : Le roi aimé, le héros connu...l'assassin cruel.
Introduction à Final Fantasy Tactics
Vous connaissez tous la licence des Final Fantasy...mais peut être ignorez vous l'existence de cette branche particulière nommée "Tactics". Ces jeux sont des Tacticals RPG : Des jeux où l'on déplace plusieurs personnages sur un quadrillage afin de vaincre une armée ennemie. C'est un genre que j'aime beaucoup, malgré un flagrant manque de références sur celui-ci.
Je vais vous parler de l'épisode "The War of the Lions" aujourd'hui. Il s'agit de la réédition d'un jeu sortis sur PS1. Si le jeu vous intéresse au terme de la critique vous pourrez vous le procurer sur PSP et je suis sur que vous parviendrez à le trouver sur d'autres supports.
Si au départ je comptais faire une critique de ce jeu...je me suis bien vite rendu compte que cette dernière ne se serait pas adaptée au style de post que je fais ici. Il y aurait bien trop de choses à dire sur le jeu, tant celui-ci est une référence dans le domaine des RPG. Entre un système de combat archi-complet et une histoire tentaculaire...il me faudrait un texte faisant la longueur d'au moins cinq précédentes critiques pour pouvoir tout dire dessus.
Néanmoins l'envie de vous en parler demeurant, je m'en vais vous présenter l'un de ses personnages phare ! (Il y aura du Spoiler dans ce texte, c'est une analyse. Si vous préférez l'éviter beh je le comprendrais et vous dis d'ores et déjà à demain...pour ceux qui restent : C'est partis !)
Situation politique du monde d'Ivalice
L'histoire du jeu se passe dans le monde d'Ivalice : un monde correspondant à l'époque des chevaliers pour nous. La religion en place se nomme "L'église de Glabados" et semble diriger une étrange prophétie autour de "pierres du zodiaque" (nous ne développeront pas plus cet aspect, celui-ci servant de trame principale).
C'est le roi Ondoria qui dirige Ivalice depuis bien des années, mais celui-ci semble sur le déclin. Porteur d'une maladie mortelle, ses jours semblent comptés. Ses successeurs étant déjà là, il espère mourir en paix afin de laisser le soin à ses enfants de continuer son règne...
Malheureusement pour lui, deux grands nobles ne l'entendent pas de cette oreille. A la tête d'importantes armées indépendantes, ces deux hommes se mènent une guerre terrible afin de mettre la main sur les successeurs d'Ondoria et les contrôler à leur guise. Nous avons donc le Duc Bestrald Larg, dirigeant L'Ordre du Ciel du Nord...s'opposant au Duc Druksmald Goltanna, dirigeant de l'Ordre du Ciel du Sud.
C'est dans ce conflit incroyable que vont se retrouver projeter deux amis...qui deviendront des légendes. L'un d'eux sera fait roi, l'autre deviendra hérétique...
Merci monsieur, mais nous suivrons Delita Heiral cette fois-ci...
Le jeu s'ouvre sur un vieil homme lisant un livre. On apprend bien vite que ce dernier cherche dans les mémoires de ces ancêtres des informations sur la grande guerre. Il explique que le héros légendaire, Delita Heiral, y a fait ses armes...avant de devenir roi. Mais clame que Delita n'avait rien d'un héros, et que seul son grand ami Ramza Beoulve aurait été digne de porter un tel titre. Le jeu va ensuite se focaliser sur le parcours de Ramza...mais nous nous resterons du côté de Delita. Ainsi si l'envie vous vient de vous intéresser au jeu, la majorité de l'histoire vous sera inconnue.
Delita Heiral semble, dès le départ, un personnage complexe. On dit de lui que c'est un héros, et un grand roi...pourtant les textes semblent laisser de nombreuses zones d'ombres. Le jeu se découpe en quatre grands chapitres, nous allons les analyser un à un avant de conclure sur ce personnage. Commençons donc par les débuts de Delita...alors simple étudiant à l'académie militaire.
Mourir pour mieux revenir
Delita est né dans une famille pauvre. Lui et sa sœur devinrent bien vites orphelins, et ils furent recueillis par la noble famille des Beoulve. Ils devinrent vites amis avec leur fils, Ramza, et les deux jeunes hommes partirent ensembles à l'académie militaire.
Delita se fait bien vite repérer, étant un excellent combattant et un bon stratège. Il est envoyé, avec Ramza, dans de nombreuses missions à travers le royaume. Alors que les deux rentraient de l'une de leur mission, Delita apprit que sa soeur avait été enlevée par une unité ennemie, les deux amis se ruèrent donc en direction du fort où elle était retenue captive. Ils arrivèrent alors que les armées de l'Ordre du Ciel du Nord lançaient un assaut massif en direction de la structure...la soeur de Delita se retrouvant prise entre deux feux.
Le jeune homme fera tout pour la sauver, mais n'y parviendra pas, serrant contre lui le corps sans vie de la dernière membre de sa famille...il hurla toute sa rage en demandant à Ramza de le laisser seul un instant. Durant ce court moment d’inattention des deux compères, l'un des derniers ennemis qu'ils combattaient mit le feu au stock de poudre du fort...le faisant exploser. Les flammes recouvrirent le bâtiment, et Delita fut alors présumé mort.
Avec ces débuts, on découvre un Delita complètement opposé aux autres nobles. Victime de bien des moqueries, ils garde néanmoins un sang-froid exemplaire. Il est bien loin de sa stature de roi, seul Ramza brillant à l'époque...lui se cantonnant de suivre son ombre.
Trahir les siens pour assouvir sa vengeance
Quelques années plus tard, Delita réapparu en frappant un grand coup. Il enleva la princesse Ovelia (fille du roi mourrant) et fut poursuivit par son vieil ami Ramza. Après une courte discussion entre les deux, Delita clama être passé chez l'ennemi...étant devenu un chevalier de l'Ordre du Ciel du Sud. Laissant son ami sans voix, il disparut avec la princesse et alla se réfugier dans les terres du Duc Goltanna.
On ne le revoit pas ensuite durant ce deuxième chapitre, mais son image de héros en prend déjà un sacré coup. On le voit ravisseur, et visiblement lassé de ce monde qu'il ne comprend pas. Il en veut à l'armée qu'il combat d'avoir provoqué la mort de sa soeur...et se jure de combattre son vieil ami s'il n'a d'autres choix.
L'ambition de changer le monde
Delita n’apparaît qu'une seule fois dans le chapitre trois, mais cette apparition se veut bien marquante. On lui confie la protection de la princesse Ovelia, et il parviendra à vaincre un assassin cherchant à la tuer. Il se rapprochera ainsi de la princesse, et lui expliquera toute sa haine de la corruption gangrenant Ivalice. Il lui promettra même de changer le royaume, pour elle...pour qu'elle y trouve enfin la place qu'elle mérite.
Ici on commence à réellement entrevoir les desseins du personnage. Il veut arrêter la folie guerrière de ce monde et cherche à tout prix à y ramener la paix. Dans un même temps il apprendra que son ami Ramza est désormais considéré comme hérétique, celui-ci s'opposant farouchement à l'église de Glabados.
L'action déterminante, la scène qui le changea à jamais
C'est dans le chapitre 4 que Delita mettra on plan à exécution. Profitant d'une incroyable bataille entre les deux armées indépendantes, il ira retrouver le Duc Goltanna dans la salle du conseil de guerre. Se retrouvant seul face à lui, il viendra lui transpercer le dos et le tuera sans autres remords. Il assassinera ensuite un innocent, le faisant passer pour le meurtrier du Duc, et retournera sur le champs de bataille.
Quelques heures plus tard, il apprendra que le Duc Bestrald a également été retrouvé mort, mettant un terme à cette guerre d'influences. Il continuera à agir dans l'ombre, écartant les autres influents de ce monde du trône et patientant désormais.
Il retrouvera Ramza dans une église, et les deux débattront un long moment. Échangeant leurs opinions sur le monde et sur les moyens à mettre en oeuvre pour le changer. Il repartira en clamant qu'à leur prochaine rencontre il se verrait obligé de l'affronter, son ancien ami étant devenu un dangereux ennemi pour la nation.
Delita a finalement fait son premier mouvement de lui même, et celui-ci vient mettre fin à toute une guerre. Il prouve là l'un de ses grand talents, la manipulation. Ses hommes devenant des pions dans ses mains, servant ses ambitions toujours plus démesurées.
Devenir Roi et en mourir
Delita se marie à Ovelia, devenant ainsi le nouveau roi d'Ivalice. Il amènera la prospérité à son royaume, tandis que dans l'ombre ses manipulations continuent. Malgré son amour pour sa reine, celle-ci commence à ne plus vouloir être le centre de ses manigances. Comprenant peu à peu que le mariage n'était pour Delita qu'une façon détournée d'accéder au trône...elle décide d'agir à son tour.
Alors que notre roi va la retrouver, un bouquet de fleur dans les mains, celle-ci lui plante une dague dans le ventre dans une tentative de régicide. Delita lâche le bouquet, ivre de rage, et vient à son tour poignarder celle qu'il aime. Ovélia meurt sur le coup, tandis qu'il rampe vers une sorte d'autel. Venant fixer le ciel, une seule question s'échappe de ses lèvres...
"Dis moi Ramza...lequel de nous deux à le mieux réussi...?"
Nous ne savons pas si Delita est mort de ses blessures ou a continué son règne, et à vrais dire je ne pense pas que cela soit important. Quoi qu'il arrive, Delita perd une nouvelle fois une personne qu'il aime...tandis qu'il semble enfin comprendre ce qu'il est vraiment : un manipulateur et une personne cherchant à faire le bien...pour de mauvaises raisons.
Au final, pourquoi Delita m'a marqué ?
Dans les jeux vidéos...les méchants occupent une place particulière. Ils font office d'ennemi principal, d'adversaire que l'on a hâte d'affronter...
Et bien dans le cas de Delita, le génie de Square Enix a été de ne pas suivre cette voie. Nous ne l'affrontons pas dans le jeu, et son histoire ne nous est délivrée que grâce à certaines cinématiques. Pourtant chacune d'elle semble le détacher de l'image que le narrateur nous donne au début du jeu. Delita n'a rien d'un héros, n'ayant même pas été capable de sauver sa soeur à l'époque. C'est une personne haineuse et manipulatrice, trouvant parfaitement sa place au sein des machinations politiques et sachant en tirer le meilleur partis.
Néanmoins ses objectifs semblent nobles, bien que les moyens qu'il emplois pour y parvenir sont bien noirs. Dans cette oeuvre magistrale il vient souligner la voie qu'a prit Ramza...qui lui s'impose comme étant un vrais héros.
The War of the Lions vient donc se jouer de nous, nous présentant un héros et un hérétique...qui sont en réalité bien loin d'être digne de porter leur titre. Celui que l'on clame comme étant le héros ne l'est en rien, tandis que l'hérétique se trouve être le vrais sauveur...et ça...ce n'est qu'une toute petite partie du génie de Final Fantasy Tactics : The War of the Lions...
Et voilà qui met fin à cette critique un peu particulière...surtout dîtes moi si ça vous a plut que je sache si je peux en refaire ou non. Dîtes moi également si ça vous donne envie de jouer au jeu, si le Spoil vous a gêné ou si vous trouves des choses à redire ! Moi je vous laisses avec mes questions, et vous dis à bientôt !
-De ce que tu viens de lire, quel est ton avis sur Delita ?
-Quel est ton méchant préféré dans les jeux vidéos, et pourquoi ?
-y a-t-il un combat qui t'as marqué dans un jeu vidéo ?
Vous le savez, j'adore suivre les histoires que les oeuvres me racontent, j'aime analyser leurs personnages et en tirer un maximum de choses afin de créer les miens. Ce qui me passionne tout particulièrement, ce sont les antagonistes...les Némésis...bref : les méchants. Aujourd'hui je vous propose donc l'analyse d'un méchant tiré de jeu vidéo; je vais tenter de vous expliquer ce que j'aime chez lui, en quoi il m'a marqué et pourquoi encore aujourd'hui je repense souvent à lui.
On va parler du méchant d'un Final Fantasy, l'une des licence préférée...productrice de nombre de personnages que j'adore !
P.S. Non, on va pas parler de Crisis Core.
13 Décembre : Le roi aimé, le héros connu...l'assassin cruel.
Introduction à Final Fantasy Tactics
Vous connaissez tous la licence des Final Fantasy...mais peut être ignorez vous l'existence de cette branche particulière nommée "Tactics". Ces jeux sont des Tacticals RPG : Des jeux où l'on déplace plusieurs personnages sur un quadrillage afin de vaincre une armée ennemie. C'est un genre que j'aime beaucoup, malgré un flagrant manque de références sur celui-ci.
Je vais vous parler de l'épisode "The War of the Lions" aujourd'hui. Il s'agit de la réédition d'un jeu sortis sur PS1. Si le jeu vous intéresse au terme de la critique vous pourrez vous le procurer sur PSP et je suis sur que vous parviendrez à le trouver sur d'autres supports.
Si au départ je comptais faire une critique de ce jeu...je me suis bien vite rendu compte que cette dernière ne se serait pas adaptée au style de post que je fais ici. Il y aurait bien trop de choses à dire sur le jeu, tant celui-ci est une référence dans le domaine des RPG. Entre un système de combat archi-complet et une histoire tentaculaire...il me faudrait un texte faisant la longueur d'au moins cinq précédentes critiques pour pouvoir tout dire dessus.
Néanmoins l'envie de vous en parler demeurant, je m'en vais vous présenter l'un de ses personnages phare ! (Il y aura du Spoiler dans ce texte, c'est une analyse. Si vous préférez l'éviter beh je le comprendrais et vous dis d'ores et déjà à demain...pour ceux qui restent : C'est partis !)
Situation politique du monde d'Ivalice
L'histoire du jeu se passe dans le monde d'Ivalice : un monde correspondant à l'époque des chevaliers pour nous. La religion en place se nomme "L'église de Glabados" et semble diriger une étrange prophétie autour de "pierres du zodiaque" (nous ne développeront pas plus cet aspect, celui-ci servant de trame principale).
C'est le roi Ondoria qui dirige Ivalice depuis bien des années, mais celui-ci semble sur le déclin. Porteur d'une maladie mortelle, ses jours semblent comptés. Ses successeurs étant déjà là, il espère mourir en paix afin de laisser le soin à ses enfants de continuer son règne...
Malheureusement pour lui, deux grands nobles ne l'entendent pas de cette oreille. A la tête d'importantes armées indépendantes, ces deux hommes se mènent une guerre terrible afin de mettre la main sur les successeurs d'Ondoria et les contrôler à leur guise. Nous avons donc le Duc Bestrald Larg, dirigeant L'Ordre du Ciel du Nord...s'opposant au Duc Druksmald Goltanna, dirigeant de l'Ordre du Ciel du Sud.
C'est dans ce conflit incroyable que vont se retrouver projeter deux amis...qui deviendront des légendes. L'un d'eux sera fait roi, l'autre deviendra hérétique...
Merci monsieur, mais nous suivrons Delita Heiral cette fois-ci...
Le jeu s'ouvre sur un vieil homme lisant un livre. On apprend bien vite que ce dernier cherche dans les mémoires de ces ancêtres des informations sur la grande guerre. Il explique que le héros légendaire, Delita Heiral, y a fait ses armes...avant de devenir roi. Mais clame que Delita n'avait rien d'un héros, et que seul son grand ami Ramza Beoulve aurait été digne de porter un tel titre. Le jeu va ensuite se focaliser sur le parcours de Ramza...mais nous nous resterons du côté de Delita. Ainsi si l'envie vous vient de vous intéresser au jeu, la majorité de l'histoire vous sera inconnue.
Delita Heiral semble, dès le départ, un personnage complexe. On dit de lui que c'est un héros, et un grand roi...pourtant les textes semblent laisser de nombreuses zones d'ombres. Le jeu se découpe en quatre grands chapitres, nous allons les analyser un à un avant de conclure sur ce personnage. Commençons donc par les débuts de Delita...alors simple étudiant à l'académie militaire.
Mourir pour mieux revenir
Delita est né dans une famille pauvre. Lui et sa sœur devinrent bien vites orphelins, et ils furent recueillis par la noble famille des Beoulve. Ils devinrent vites amis avec leur fils, Ramza, et les deux jeunes hommes partirent ensembles à l'académie militaire.
Delita se fait bien vite repérer, étant un excellent combattant et un bon stratège. Il est envoyé, avec Ramza, dans de nombreuses missions à travers le royaume. Alors que les deux rentraient de l'une de leur mission, Delita apprit que sa soeur avait été enlevée par une unité ennemie, les deux amis se ruèrent donc en direction du fort où elle était retenue captive. Ils arrivèrent alors que les armées de l'Ordre du Ciel du Nord lançaient un assaut massif en direction de la structure...la soeur de Delita se retrouvant prise entre deux feux.
Le jeune homme fera tout pour la sauver, mais n'y parviendra pas, serrant contre lui le corps sans vie de la dernière membre de sa famille...il hurla toute sa rage en demandant à Ramza de le laisser seul un instant. Durant ce court moment d’inattention des deux compères, l'un des derniers ennemis qu'ils combattaient mit le feu au stock de poudre du fort...le faisant exploser. Les flammes recouvrirent le bâtiment, et Delita fut alors présumé mort.
Avec ces débuts, on découvre un Delita complètement opposé aux autres nobles. Victime de bien des moqueries, ils garde néanmoins un sang-froid exemplaire. Il est bien loin de sa stature de roi, seul Ramza brillant à l'époque...lui se cantonnant de suivre son ombre.
Trahir les siens pour assouvir sa vengeance
Quelques années plus tard, Delita réapparu en frappant un grand coup. Il enleva la princesse Ovelia (fille du roi mourrant) et fut poursuivit par son vieil ami Ramza. Après une courte discussion entre les deux, Delita clama être passé chez l'ennemi...étant devenu un chevalier de l'Ordre du Ciel du Sud. Laissant son ami sans voix, il disparut avec la princesse et alla se réfugier dans les terres du Duc Goltanna.
On ne le revoit pas ensuite durant ce deuxième chapitre, mais son image de héros en prend déjà un sacré coup. On le voit ravisseur, et visiblement lassé de ce monde qu'il ne comprend pas. Il en veut à l'armée qu'il combat d'avoir provoqué la mort de sa soeur...et se jure de combattre son vieil ami s'il n'a d'autres choix.
L'ambition de changer le monde
Delita n’apparaît qu'une seule fois dans le chapitre trois, mais cette apparition se veut bien marquante. On lui confie la protection de la princesse Ovelia, et il parviendra à vaincre un assassin cherchant à la tuer. Il se rapprochera ainsi de la princesse, et lui expliquera toute sa haine de la corruption gangrenant Ivalice. Il lui promettra même de changer le royaume, pour elle...pour qu'elle y trouve enfin la place qu'elle mérite.
Ici on commence à réellement entrevoir les desseins du personnage. Il veut arrêter la folie guerrière de ce monde et cherche à tout prix à y ramener la paix. Dans un même temps il apprendra que son ami Ramza est désormais considéré comme hérétique, celui-ci s'opposant farouchement à l'église de Glabados.
L'action déterminante, la scène qui le changea à jamais
C'est dans le chapitre 4 que Delita mettra on plan à exécution. Profitant d'une incroyable bataille entre les deux armées indépendantes, il ira retrouver le Duc Goltanna dans la salle du conseil de guerre. Se retrouvant seul face à lui, il viendra lui transpercer le dos et le tuera sans autres remords. Il assassinera ensuite un innocent, le faisant passer pour le meurtrier du Duc, et retournera sur le champs de bataille.
Quelques heures plus tard, il apprendra que le Duc Bestrald a également été retrouvé mort, mettant un terme à cette guerre d'influences. Il continuera à agir dans l'ombre, écartant les autres influents de ce monde du trône et patientant désormais.
Il retrouvera Ramza dans une église, et les deux débattront un long moment. Échangeant leurs opinions sur le monde et sur les moyens à mettre en oeuvre pour le changer. Il repartira en clamant qu'à leur prochaine rencontre il se verrait obligé de l'affronter, son ancien ami étant devenu un dangereux ennemi pour la nation.
Delita a finalement fait son premier mouvement de lui même, et celui-ci vient mettre fin à toute une guerre. Il prouve là l'un de ses grand talents, la manipulation. Ses hommes devenant des pions dans ses mains, servant ses ambitions toujours plus démesurées.
Devenir Roi et en mourir
Delita se marie à Ovelia, devenant ainsi le nouveau roi d'Ivalice. Il amènera la prospérité à son royaume, tandis que dans l'ombre ses manipulations continuent. Malgré son amour pour sa reine, celle-ci commence à ne plus vouloir être le centre de ses manigances. Comprenant peu à peu que le mariage n'était pour Delita qu'une façon détournée d'accéder au trône...elle décide d'agir à son tour.
Alors que notre roi va la retrouver, un bouquet de fleur dans les mains, celle-ci lui plante une dague dans le ventre dans une tentative de régicide. Delita lâche le bouquet, ivre de rage, et vient à son tour poignarder celle qu'il aime. Ovélia meurt sur le coup, tandis qu'il rampe vers une sorte d'autel. Venant fixer le ciel, une seule question s'échappe de ses lèvres...
"Dis moi Ramza...lequel de nous deux à le mieux réussi...?"
Nous ne savons pas si Delita est mort de ses blessures ou a continué son règne, et à vrais dire je ne pense pas que cela soit important. Quoi qu'il arrive, Delita perd une nouvelle fois une personne qu'il aime...tandis qu'il semble enfin comprendre ce qu'il est vraiment : un manipulateur et une personne cherchant à faire le bien...pour de mauvaises raisons.
Au final, pourquoi Delita m'a marqué ?
Dans les jeux vidéos...les méchants occupent une place particulière. Ils font office d'ennemi principal, d'adversaire que l'on a hâte d'affronter...
Et bien dans le cas de Delita, le génie de Square Enix a été de ne pas suivre cette voie. Nous ne l'affrontons pas dans le jeu, et son histoire ne nous est délivrée que grâce à certaines cinématiques. Pourtant chacune d'elle semble le détacher de l'image que le narrateur nous donne au début du jeu. Delita n'a rien d'un héros, n'ayant même pas été capable de sauver sa soeur à l'époque. C'est une personne haineuse et manipulatrice, trouvant parfaitement sa place au sein des machinations politiques et sachant en tirer le meilleur partis.
Néanmoins ses objectifs semblent nobles, bien que les moyens qu'il emplois pour y parvenir sont bien noirs. Dans cette oeuvre magistrale il vient souligner la voie qu'a prit Ramza...qui lui s'impose comme étant un vrais héros.
The War of the Lions vient donc se jouer de nous, nous présentant un héros et un hérétique...qui sont en réalité bien loin d'être digne de porter leur titre. Celui que l'on clame comme étant le héros ne l'est en rien, tandis que l'hérétique se trouve être le vrais sauveur...et ça...ce n'est qu'une toute petite partie du génie de Final Fantasy Tactics : The War of the Lions...
Et voilà qui met fin à cette critique un peu particulière...surtout dîtes moi si ça vous a plut que je sache si je peux en refaire ou non. Dîtes moi également si ça vous donne envie de jouer au jeu, si le Spoil vous a gêné ou si vous trouves des choses à redire ! Moi je vous laisses avec mes questions, et vous dis à bientôt !
-De ce que tu viens de lire, quel est ton avis sur Delita ?
-Quel est ton méchant préféré dans les jeux vidéos, et pourquoi ?
-y a-t-il un combat qui t'as marqué dans un jeu vidéo ?
Dernière édition par Birth le Lun 14 Déc - 15:31, édité 1 fois
Re: Dans la tête de l'entêté
Un homme sage à dit une fois "qu'un antagoniste doit suivre un but semblable à celui du héros." et j'ajouterais qu'il ne doit pas laisser transparaitre ses action peu reluisante, donc selon moi Delita joue bien son rôle.
Pour la question 2 et 3 j'avais pas beaucoup d'idée, et puis sortant des limbes de ma mémoire, un combat dans un champ de fleurs blanche, Naked Snake contre l'ex-Big Boss. Là on parle d'un grand antagoniste, car là Big Boss [SPOILER] contrairement à se que laisse penser le début du jeu, est toujours du coté de Snake, mais pour que la mission soit un succès on doit quand même la tuer.
Décidément une fin de jeu très belle mais qui ma tiré la larmichette T-T (#fragile)
Pour la question 2 et 3 j'avais pas beaucoup d'idée, et puis sortant des limbes de ma mémoire, un combat dans un champ de fleurs blanche, Naked Snake contre l'ex-Big Boss. Là on parle d'un grand antagoniste, car là Big Boss [SPOILER] contrairement à se que laisse penser le début du jeu, est toujours du coté de Snake, mais pour que la mission soit un succès on doit quand même la tuer.
Décidément une fin de jeu très belle mais qui ma tiré la larmichette T-T (#fragile)
Mama Koi- L’Activiste
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Re: Dans la tête de l'entêté
*note* La flemme du commentaire, c'est le maaaal!
Pour Elemental Gerad, je le note, à lire sur mangafox! (super site de scan, au passage. Mais faut aimer l'anglais.)
-Ce que je pense des mangas...
Y'as pleins de pages, donc y'a pleins de lectures. Les mangas ont tendance à sortir plus vite que les BD européenne pleins de couleurs. Leur exagération des expression les rend faciles à comprendre, surtout pour les Asperger. Et il y en a pour touuuuuuuuuut les gouts! (même les mauvais, des fois. BEUARGL!)
-Mes œuvres préférées... Voyons, je peux pas passer à coté de Full Metal Alchimist. Poignant, des personnages évolutifs, variés, et deux enfants qui tentent de comprendre le monde en apprenant que, parfois, les erreurs se paient au prix fort... Ainsi que Ouran High School Host Club. Un super manga comique et romantique! Et en manga historique, il y a Bride Stories.
- La mieux dessinée, voyons... J'hésite entre Tsubasa [Reservoir] Chronicle (la patte de l'auteur est gééééniale, même dans Card Captor Sakura!) et Pandora Heart, la gestion des ombres et des changements de plans est vachement bien à mon sens!
Perso, pour les Casseurs, je suis encore pire: je n'ai jamais entendu parler d'eux avant que tu le fasse toi-même. (HONTE SUR MOA!) Mais pourquoi pas aller voir ça, c'est le genre de mélange qui peut être vraiment sympa. Mon père aime bien aller au cinéma pour s'amuser, si en plus c'est une ouverture sur du bon rap et pas du "wesh wesh thavu" qu'on a le malheur de trop entendre, c'est tant mieux!
Parce que franchement, des fois, la musique populos de notre génération me désespère... En fait, même, notre génération et la suivante me désespère. Enfin, bref.
- Des rêves... Sincèrement, je suis née dedans. Ma vie avant d'arriver à l'Epita m'était tellement minable qu'il ne me restait que la lecture, les jeux et les rêves. La vraie vie était un poison dont je devais m'échapper, par presque tout les moyens. Je me rappelais mes rêves trois ou quatre fois plus souvent que les autres. Mais pour le futur, jamais rien de concret. En sixième, je voulais être écrivain, et c'est tout. J'ai passé ma vie en rêverie, et sans aucune ambition. Mais franchement, je m'en porte pas plus mal. Là où les gens disaient vouloir sauver des vies en devenant médecin, ou riche en étant avocat, moi, je ne voulais que trouver un monde où je pourrais m'amuser sans fin.
Aux cotés de Vaan et Pénélo, j'étais une demi viéra, fille cachée de Balthier et Fran, et sœur adoptive de Ashelia, du nom de Gilvégane, en l'honneur du lieu mystérieux, et je les aidais à affronter les ennemis, sans jamais vraiment connaitre mon origine.
Dans Harry Potter, j'étais une étudiante de poufsoufle, et poussait Ron sur Hermione "sans faire exprès" en mettant du savon dans le couloir pour les serpentards.
Dans Revenant Wing, j'étais une Aegyls aux ailes bleues.
Je suis presque Albynn dans Wakfu.
J'étais une eniripsa pauvre qui a rencontré le fils du roi Allister dans Dofus.
J'ai été une fille mi démone mi Shinigami dans mon premier roleplay sur forum.
J'étais une jeune fille du nom d'Allia qui parcourait le monde, aidée d'un super mini ordi relié à internet par piratage, et qui a sauvé les ombres de la lumière que les hommes ne cessent d'étendre.
Bref, la vie irl, c'était pas pour moi.
Quand tu as dis "FF tactic", je m'attendais à tout sauf ça! Et pas un tactic inconnu dans ma pomme! Un peu triste de ne pas voir ton avis sur quelque chose que je connaissais, mais ça vallait quand même le coup!
-Ton bonhomme me fais un peu penser à Chailte, surtout à Sayanna. Faire le bien, avec de mauvaises raisons (vengeance en tête) et une mauvaise méthode.
-J'ai hélas pas eu trop de jeux avec un ennemi développé. Dans les jeux vidéos, je dirais... Braev Lee, dans Bravely Default. Car même s'il s'attaque à sa fille et à des gens, à priori, qui sont de bonne foi, ils savent qu'ils le font pour le monde, et même pour LES mondes. En revanche, je n'ai jamais compris qu'il n'essaye pas vraiment d'expliquer le pourquoi du comment aux héros... Meh bon, c'est au départ un homme bon et intègre.
-Un combat qui m'ai marqué dans un JV, heuuu... Je cherche. Marqué dans quel sens? par le gameplay, par la difficulté, par l'histoire derrière, par l'epicness de son niveau?
Par la difficulté, mais c'est un marquage mauvais dans mon sens (PAY TO WIN DE BORDEL DE MERDE SALOPARDS PIOUTE) je dirais, le dernier véritable boss de Bravely Default: ils bloque toute tes capacités d'une personnage avec un sort, sauf l'appel d'aide à un ami et la suspension du temps. Autant dire que si tu croise personne (appel à un ami) en bluetooth, t'es mal barré... ou tu poireaute la suspension du temps. Ou pire, tu la PAYE DANS LE MAGASIN NINTENDO ¨^%ùµ*£$!! Ce système m'a choqué. J'ai trouvé ça bien naze.
Par le gameplay... Je dirais, mon premier combat de blitzball de FF10. Et j'ai perdu comme une merde, buahaha! XD
Pour l'histoire, j'ai le dernier combat de Kingdom Heart 356/2 days. No spoil. Et pour l'epicness... La baston dans FF12 contre le juge dans le ciel. Et que ça fait boum, et que ça crache des éclairs, et que le vaisseau va exploser bientot... Pan dans les dents!
Et pas grave si vous avez pas lu tout mon PAVAY!
Pour Elemental Gerad, je le note, à lire sur mangafox! (super site de scan, au passage. Mais faut aimer l'anglais.)
-Ce que je pense des mangas...
Y'as pleins de pages, donc y'a pleins de lectures. Les mangas ont tendance à sortir plus vite que les BD européenne pleins de couleurs. Leur exagération des expression les rend faciles à comprendre, surtout pour les Asperger. Et il y en a pour touuuuuuuuuut les gouts! (même les mauvais, des fois. BEUARGL!)
-Mes œuvres préférées... Voyons, je peux pas passer à coté de Full Metal Alchimist. Poignant, des personnages évolutifs, variés, et deux enfants qui tentent de comprendre le monde en apprenant que, parfois, les erreurs se paient au prix fort... Ainsi que Ouran High School Host Club. Un super manga comique et romantique! Et en manga historique, il y a Bride Stories.
- La mieux dessinée, voyons... J'hésite entre Tsubasa [Reservoir] Chronicle (la patte de l'auteur est gééééniale, même dans Card Captor Sakura!) et Pandora Heart, la gestion des ombres et des changements de plans est vachement bien à mon sens!
Perso, pour les Casseurs, je suis encore pire: je n'ai jamais entendu parler d'eux avant que tu le fasse toi-même. (HONTE SUR MOA!) Mais pourquoi pas aller voir ça, c'est le genre de mélange qui peut être vraiment sympa. Mon père aime bien aller au cinéma pour s'amuser, si en plus c'est une ouverture sur du bon rap et pas du "wesh wesh thavu" qu'on a le malheur de trop entendre, c'est tant mieux!
Parce que franchement, des fois, la musique populos de notre génération me désespère... En fait, même, notre génération et la suivante me désespère. Enfin, bref.
- Des rêves... Sincèrement, je suis née dedans. Ma vie avant d'arriver à l'Epita m'était tellement minable qu'il ne me restait que la lecture, les jeux et les rêves. La vraie vie était un poison dont je devais m'échapper, par presque tout les moyens. Je me rappelais mes rêves trois ou quatre fois plus souvent que les autres. Mais pour le futur, jamais rien de concret. En sixième, je voulais être écrivain, et c'est tout. J'ai passé ma vie en rêverie, et sans aucune ambition. Mais franchement, je m'en porte pas plus mal. Là où les gens disaient vouloir sauver des vies en devenant médecin, ou riche en étant avocat, moi, je ne voulais que trouver un monde où je pourrais m'amuser sans fin.
Aux cotés de Vaan et Pénélo, j'étais une demi viéra, fille cachée de Balthier et Fran, et sœur adoptive de Ashelia, du nom de Gilvégane, en l'honneur du lieu mystérieux, et je les aidais à affronter les ennemis, sans jamais vraiment connaitre mon origine.
Dans Harry Potter, j'étais une étudiante de poufsoufle, et poussait Ron sur Hermione "sans faire exprès" en mettant du savon dans le couloir pour les serpentards.
Dans Revenant Wing, j'étais une Aegyls aux ailes bleues.
Je suis presque Albynn dans Wakfu.
J'étais une eniripsa pauvre qui a rencontré le fils du roi Allister dans Dofus.
J'ai été une fille mi démone mi Shinigami dans mon premier roleplay sur forum.
J'étais une jeune fille du nom d'Allia qui parcourait le monde, aidée d'un super mini ordi relié à internet par piratage, et qui a sauvé les ombres de la lumière que les hommes ne cessent d'étendre.
Bref, la vie irl, c'était pas pour moi.
Quand tu as dis "FF tactic", je m'attendais à tout sauf ça! Et pas un tactic inconnu dans ma pomme! Un peu triste de ne pas voir ton avis sur quelque chose que je connaissais, mais ça vallait quand même le coup!
-Ton bonhomme me fais un peu penser à Chailte, surtout à Sayanna. Faire le bien, avec de mauvaises raisons (vengeance en tête) et une mauvaise méthode.
-J'ai hélas pas eu trop de jeux avec un ennemi développé. Dans les jeux vidéos, je dirais... Braev Lee, dans Bravely Default. Car même s'il s'attaque à sa fille et à des gens, à priori, qui sont de bonne foi, ils savent qu'ils le font pour le monde, et même pour LES mondes. En revanche, je n'ai jamais compris qu'il n'essaye pas vraiment d'expliquer le pourquoi du comment aux héros... Meh bon, c'est au départ un homme bon et intègre.
-Un combat qui m'ai marqué dans un JV, heuuu... Je cherche. Marqué dans quel sens? par le gameplay, par la difficulté, par l'histoire derrière, par l'epicness de son niveau?
Par la difficulté, mais c'est un marquage mauvais dans mon sens (PAY TO WIN DE BORDEL DE MERDE SALOPARDS PIOUTE) je dirais, le dernier véritable boss de Bravely Default: ils bloque toute tes capacités d'une personnage avec un sort, sauf l'appel d'aide à un ami et la suspension du temps. Autant dire que si tu croise personne (appel à un ami) en bluetooth, t'es mal barré... ou tu poireaute la suspension du temps. Ou pire, tu la PAYE DANS LE MAGASIN NINTENDO ¨^%ùµ*£$!! Ce système m'a choqué. J'ai trouvé ça bien naze.
Par le gameplay... Je dirais, mon premier combat de blitzball de FF10. Et j'ai perdu comme une merde, buahaha! XD
Pour l'histoire, j'ai le dernier combat de Kingdom Heart 356/2 days. No spoil. Et pour l'epicness... La baston dans FF12 contre le juge dans le ciel. Et que ça fait boum, et que ça crache des éclairs, et que le vaisseau va exploser bientot... Pan dans les dents!
Et pas grave si vous avez pas lu tout mon PAVAY!
Dernière édition par Albynn le Lun 14 Déc - 12:59, édité 1 fois
Albynn- Le Respectable
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Localisation : Devant mon ordi! T'as cru quoi?
Re: Dans la tête de l'entêté
Well, on perçoit mieux ici la définition de l'antagoniste. Je me suis mit à penser à Jolian pour le coup, d'ailleurs...Delita ne serait pas une référence pour ton perso?
Très bonne case comme toujours. Voici les réponses:
-Et bien c'est ce que je catégorise comme méchant réussit: des intentions plus ou moins nobles, suivant le même objectif que le héros, mais usant de méthodes immorales, contraires aux vertus représentées par le héros.
-Pour ce seul tiret, je répondrai aux deux dernières questions et je vais rejoindre l'avis de Tenshi:
Metal Gear Solid 3: Snake Eater=>Le combat final contre The Boss, dans le champ de fleurs blanches.
Déjà, parlons de The Boss: une antagoniste, qui se dit être au départ la mentor de Naked Snake, puis le trahit pour rejoindre le camp adverse, ayant créé son unité d'élite composée des différents bosses que l'on rencontre dans le jeu.
Sa trahison aux yeux du monde est ce qu'on retient d'elle, pourtant elle a permit d'éviter une guerre nucléaire mondiale. Et c'est ça qui est beau.
Une personne se vouant à un but noble, usant de méthodes immorales aux yeux de tous, trahissant les siens pour sauver le monde.
Puis le combat: Déjà, il se déroule dans un cadre magnifique, et on sent bien que c'est la fin: un champ de fleur blanches, une musique plus calme que les autres, une atmosphère plus intense mais plus légère aussi. On sait que cette endroit va être la tombe de l'un des deux combattants.
Et niveau stratégie, c'est un combat emblématique: on revient aux sources. Snake doit se battre contre sa mentor, et ce par un style qui les lie: le CQC.
Très bonne case comme toujours. Voici les réponses:
-Et bien c'est ce que je catégorise comme méchant réussit: des intentions plus ou moins nobles, suivant le même objectif que le héros, mais usant de méthodes immorales, contraires aux vertus représentées par le héros.
-Pour ce seul tiret, je répondrai aux deux dernières questions et je vais rejoindre l'avis de Tenshi:
Metal Gear Solid 3: Snake Eater=>Le combat final contre The Boss, dans le champ de fleurs blanches.
Déjà, parlons de The Boss: une antagoniste, qui se dit être au départ la mentor de Naked Snake, puis le trahit pour rejoindre le camp adverse, ayant créé son unité d'élite composée des différents bosses que l'on rencontre dans le jeu.
Sa trahison aux yeux du monde est ce qu'on retient d'elle, pourtant elle a permit d'éviter une guerre nucléaire mondiale. Et c'est ça qui est beau.
Une personne se vouant à un but noble, usant de méthodes immorales aux yeux de tous, trahissant les siens pour sauver le monde.
Puis le combat: Déjà, il se déroule dans un cadre magnifique, et on sent bien que c'est la fin: un champ de fleur blanches, une musique plus calme que les autres, une atmosphère plus intense mais plus légère aussi. On sait que cette endroit va être la tombe de l'un des deux combattants.
Et niveau stratégie, c'est un combat emblématique: on revient aux sources. Snake doit se battre contre sa mentor, et ce par un style qui les lie: le CQC.
Dernière édition par Albynn le Lun 14 Déc - 13:02, édité 1 fois (Raison : Ninjaaaaa!)
Bluefox82- L’Utopiste
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Localisation : Dans mon humble demeure, ou dans une auberge quelconque, tant que je peux boire et écouter les bardes.
Re: Dans la tête de l'entêté
Oh voui ! Final Fantasy Tactics ! Même si je n'ai jouer qu'au Advance 2... Je pense aussi jouer à celui là un jour, car il m'intéresse beaucoup... Et que j'adore les T-RPG. ^^
Puis ça sera l'occasion de ressortir ma PSP... Ah non, il existe sur le PSN et est lisible sur PSVita. Meh. Tant pis, la PSP prendra la poussière. '-'
Sinon, j'ai beaucoup aimer cette case là, elle donne vraiment envie de jouer au jeu je trouve. :p
Pour les questions :
-J'aime bien ce genre de méchant voulant faire le bien, mais pas de la bonne manière, et se retrouvant à faire de mauvaises actions mais dans un but noble. ^^
-Bon, ça casse un peu avec la réponse du dessus, mais... Je dirais que Xéhanort a une très bonne place à ce niveau là. Ne serait ce que par le plan juste monstrueux qu'il a mit en place, et tout le génie qui se dégage de tout ça. Comme une impression que tout était prévu. Il avais tout calculer, tout prévu pour en arriver à un certain point. Tout ce qu'il a fait été baser sur ça, et rien n'est laisser au hasard, finalement. Et rien que ça, c'est fort. Puis le bougre a un certain charisme.
-Hum... Bwarf, je pourrais citer KH encore, tellement certains combats sont justes géniaux... Mais s'il y a un combat qui m'a vraiment marquer... Bah c'est la fin de Crisis Core. Le dernier combat de Zack, et toute la symbolique, toute l'émotion qui s'en dégage. C'est le genre de combat qui te marque longtemps, et te fait même verser des larmes. Ce n'est même pas un boss, mais c'est le combat que je n'oublierais jamais, et qui sera dur à déloger.
Puis ça sera l'occasion de ressortir ma PSP... Ah non, il existe sur le PSN et est lisible sur PSVita. Meh. Tant pis, la PSP prendra la poussière. '-'
Sinon, j'ai beaucoup aimer cette case là, elle donne vraiment envie de jouer au jeu je trouve. :p
Pour les questions :
-J'aime bien ce genre de méchant voulant faire le bien, mais pas de la bonne manière, et se retrouvant à faire de mauvaises actions mais dans un but noble. ^^
-Bon, ça casse un peu avec la réponse du dessus, mais... Je dirais que Xéhanort a une très bonne place à ce niveau là. Ne serait ce que par le plan juste monstrueux qu'il a mit en place, et tout le génie qui se dégage de tout ça. Comme une impression que tout était prévu. Il avais tout calculer, tout prévu pour en arriver à un certain point. Tout ce qu'il a fait été baser sur ça, et rien n'est laisser au hasard, finalement. Et rien que ça, c'est fort. Puis le bougre a un certain charisme.
-Hum... Bwarf, je pourrais citer KH encore, tellement certains combats sont justes géniaux... Mais s'il y a un combat qui m'a vraiment marquer... Bah c'est la fin de Crisis Core. Le dernier combat de Zack, et toute la symbolique, toute l'émotion qui s'en dégage. C'est le genre de combat qui te marque longtemps, et te fait même verser des larmes. Ce n'est même pas un boss, mais c'est le combat que je n'oublierais jamais, et qui sera dur à déloger.
Shiki Van Shërza- Les Fondateurs
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Localisation : Sufokia
Re: Dans la tête de l'entêté
Une troisième semaine commence, et il est temps de débuter un nouveau cycle de critique. L'exercice est devenu plus facile avec le temps, à mesure que je m'imprègne de mes travaux précédents pour dégager aussi bien la forme que le fond de mes posts. Au terme de ce calendrier je sais que je serais capable de pondre une critique assez simple n'importe quand, et j'en serais fort heureux.
Mais trêve de bavardages, vous êtes ici pour lire une critique et c'est ce que m'en vais vous livrer. Je vais aborder une oeuvre plus vieille aujourd'hui, un jeu qui a su attiser ma curiosité pour son parti prit artistique.
Aujourd'hui on va causer de Comix Zone
14 Décembre : Rester piégé dans son oeuvre, pour le meilleur et pour le pire
Ce que je pense des vieux jeux
Vous devez tous connaitre cette grande vague de retro gaming qui nous frappe depuis quelques années. Il semblerait que nombre de joueurs trouve son bonheur dans les vieux jeux sortis sur des consoles aujourd'hui dépassées. Je peux les comprendre, de nombreuses perles se cachent dans ces cartouches en plastique pour peu que l'on fasse abstraction de ce qu'étaient les jeux d'antan. Le sujet mériterait une critique entière, mais il est important de comprendre que le média vidéoludique a évolué avec son public. Une grande majorité des jeux d'aujourd'hui sont bien plus faciles que ceux de l'époque.
Cela vient bien sur du modèle des arcades à la base. La plupart des jeux suivaient le moule qu'ils avaient imposés : des jeux durs, aux tutoriaux peu développés et laissant les joueur face à une machine n'ayant comme but que de leur faire lâcher un maximum de pièces. C'étaient des jeux exigeants, punissant la moindre erreur du joueur tout en lui demandant un certain investissement.
L'oeuvre dont je vais vous parler s'inscrit dans cette droite lignée, sa difficulté m'ayant fait froid dans le dos.
C'est l'histoire d'un homme, d'un rat et d'une BD
Comix Zone est un Beat'em all (littéralement "Lattes les tous !", un jeu ou le joueur avance en cassant la tronche à tout ce qui se met en travers de sa route) développé par Sega et sortis en 1995. Il est aujourd'hui trouvable sur toutes les boutiques dématérialisées des consoles récentes à un prix assez modique.
L'histoire nous fait suivre les aventures de Sketch Turner, un jeune dessinateur de comics d'épouvantes. Un soir alors qu'il travaille sur l'une de ses planches, un éclair vient frapper celle-ci et fait s'échapper le grand méchant de son univers : Mortus. Sketch se retrouve également piégé dans son comics, emportant son rat domestique avec lui.
Mortus a de grands desseins pour le monde réel...mais ne pourra les accomplir qu'une fois pleinement achevé. Pour se faire il doit parvenir à tuer Sketch, et se décidé donc à dessiner sur les planches nombres de pièges et d'ennemis afin de vaincre son créateur.
Comme vous pouvez le voir l'histoire se veut assez simple, mais amène un univers original qui va permettre de créer nombres de choses...
Un gameplay assez poussé
Comix Zone contient tout ce qui fait un bon Beat'em all : Des ennemis superbement bien désignés, nombres d'objets à utiliser contre ces opposants, et un personnage possédant pas mal de coups. Chaque niveau de jeu représente une page de BD, Sketch devant avancer de cases en cases pour parvenir à la fin de celle-ci.
Cette progression assez particulière permet deux choses : D'une part elle laisse le joueur décider du chemin qu'il souhaite emprunter à certains moments (il peut ainsi décider de sauter directement dans la case se trouvant sous lui ou de continuer à avancer), d'autres part elle permet de jouer avec la page. Ainsi il sera possible d'éjecter un ennemi à travers la bordure d'une case, la déchirant au passage, ou bien de passer par nombres de chemins détournés.
Certains niveaux se veulent même plus originaux encore, l'exemple du niveau demandant au joueur de rapidement atteindre le haut d'une tour alors que la page brûle peu à peu me venant en tête.
La vie est un précieux élément dans Comix Zone, celle-ci se réduit quand Sketch prend des coups...mais également quand il donne à l'encontre des obstacles résistant lui barrant la route (telle des portes de fer ou des grilles). Les objets sont donc à utiliser avec intelligence afin d’économiser au maximum sa vie pour les affrontements les plus complexes.
Enfin les niveaux recèlent de nombre de secrets qu'il faut dénicher, procurant des avantages certains, et pour cela l'utilisation de Roadkill s'avère indispensable. Roadkill etant le rat de Sketch, il permettra de résoudre certaines énigmes et pourra aider au combat.
Une direction artistique créative
Chaque niveau de Comix Zone propose des environnements léchés et des ennemis classieux. Le travail sur les couleurs donne un rendu vraiment époustouflant et on sent que Séga offre ici l'un de ses plus beau jeu de l'époque. La musique, loin d'être marquante, fait très bien son travail et vient renforcer l'ambiance du jeu.
L'univers particulièrement codifié des comics est très bien représenté, ainsi de nombreuses onomatopée apparaîtront lors des coups ou de certaines situations et chaque case contient diverses bulles de dialogues ou d'encarts rappelant la situation. On a vraiment l'impression d'être plongé dans un comics, et c'est là l'un des meilleur point du jeu.
Sketch a la possibilité de se transformer en super-héros lors de courts moments, son design rappelant alors les nombreuses références du genre.
Des défauts qui frustreront
Comix Zone a deux défauts majeurs, qui viennent malheureusement entacher l'expérience du jeu. Le premier c'est sa longueur, comptez entre une demi-heure et une heure pour venir à bout du jeu. C'est effroyablement court, et une fois encore il y aurait eut moyen étoffer bien plus cet univers avec toutes les bonnes idées qui y sont présentées.
L'autre défaut, bien plus embêtant, c'est sa difficulté CO-LO-SSALE ! Qu'on se le dise, c'est le jeu le plus dur qu'il m'est été donné de jouer...à tel point que je ne l'ai encore jamais finis. Bien peu de choses nous sont expliquées, et on avance à tâtons afin de découvrir peu à peu les choses à ne pas faire sous peine de finir bien trop vite sur une cuisante défaite.
Comix Zone, pourquoi ? Comix Zone pour qui ?
Je recommande cette oeuvre à un public avertis. Son univers plaira sans mal à tous, et sa direction artistique vaut le détour...mais y jouer c'est accepter d'entrer dans un jeu extrêmement punitif, qui ne vous fera aucun cadeau. On a réellement l'impression que Mortus veut notre mort à travers tous les monstres qu'il créé au travers des pages de Sketch, sa main grisée apparaissant régulièrement pour venir nous dessiner une nouvelle menace qui saura nous condamner. Vous êtes prévenus, vous qui entrez dans ce jeu...abandonnez tout espoir.
Et voilà qui met fin à cette critique, j'espère qu'elle vous aura plut. Je suis heureux d'avoir pu traiter une oeuvre plus ancienne, et espère vous avoir permis de découvrir un jeu sur lequel j'ai bien accroché. Je vous laisse avec mes trois questions, une bonne soirée à vous !
-Et toi, le Retro Gaming t'en penses quoi ?
-Quel est ton rapport avec la difficulté d'un jeu ? Préfères-tu des jeux bien durs ?
-Quel est ton jeu préféré...datant d'avant les années 2000 ?
Mais trêve de bavardages, vous êtes ici pour lire une critique et c'est ce que m'en vais vous livrer. Je vais aborder une oeuvre plus vieille aujourd'hui, un jeu qui a su attiser ma curiosité pour son parti prit artistique.
Aujourd'hui on va causer de Comix Zone
14 Décembre : Rester piégé dans son oeuvre, pour le meilleur et pour le pire
Ce que je pense des vieux jeux
Vous devez tous connaitre cette grande vague de retro gaming qui nous frappe depuis quelques années. Il semblerait que nombre de joueurs trouve son bonheur dans les vieux jeux sortis sur des consoles aujourd'hui dépassées. Je peux les comprendre, de nombreuses perles se cachent dans ces cartouches en plastique pour peu que l'on fasse abstraction de ce qu'étaient les jeux d'antan. Le sujet mériterait une critique entière, mais il est important de comprendre que le média vidéoludique a évolué avec son public. Une grande majorité des jeux d'aujourd'hui sont bien plus faciles que ceux de l'époque.
Cela vient bien sur du modèle des arcades à la base. La plupart des jeux suivaient le moule qu'ils avaient imposés : des jeux durs, aux tutoriaux peu développés et laissant les joueur face à une machine n'ayant comme but que de leur faire lâcher un maximum de pièces. C'étaient des jeux exigeants, punissant la moindre erreur du joueur tout en lui demandant un certain investissement.
L'oeuvre dont je vais vous parler s'inscrit dans cette droite lignée, sa difficulté m'ayant fait froid dans le dos.
C'est l'histoire d'un homme, d'un rat et d'une BD
Comix Zone est un Beat'em all (littéralement "Lattes les tous !", un jeu ou le joueur avance en cassant la tronche à tout ce qui se met en travers de sa route) développé par Sega et sortis en 1995. Il est aujourd'hui trouvable sur toutes les boutiques dématérialisées des consoles récentes à un prix assez modique.
L'histoire nous fait suivre les aventures de Sketch Turner, un jeune dessinateur de comics d'épouvantes. Un soir alors qu'il travaille sur l'une de ses planches, un éclair vient frapper celle-ci et fait s'échapper le grand méchant de son univers : Mortus. Sketch se retrouve également piégé dans son comics, emportant son rat domestique avec lui.
Mortus a de grands desseins pour le monde réel...mais ne pourra les accomplir qu'une fois pleinement achevé. Pour se faire il doit parvenir à tuer Sketch, et se décidé donc à dessiner sur les planches nombres de pièges et d'ennemis afin de vaincre son créateur.
Comme vous pouvez le voir l'histoire se veut assez simple, mais amène un univers original qui va permettre de créer nombres de choses...
Un gameplay assez poussé
Comix Zone contient tout ce qui fait un bon Beat'em all : Des ennemis superbement bien désignés, nombres d'objets à utiliser contre ces opposants, et un personnage possédant pas mal de coups. Chaque niveau de jeu représente une page de BD, Sketch devant avancer de cases en cases pour parvenir à la fin de celle-ci.
Cette progression assez particulière permet deux choses : D'une part elle laisse le joueur décider du chemin qu'il souhaite emprunter à certains moments (il peut ainsi décider de sauter directement dans la case se trouvant sous lui ou de continuer à avancer), d'autres part elle permet de jouer avec la page. Ainsi il sera possible d'éjecter un ennemi à travers la bordure d'une case, la déchirant au passage, ou bien de passer par nombres de chemins détournés.
Certains niveaux se veulent même plus originaux encore, l'exemple du niveau demandant au joueur de rapidement atteindre le haut d'une tour alors que la page brûle peu à peu me venant en tête.
La vie est un précieux élément dans Comix Zone, celle-ci se réduit quand Sketch prend des coups...mais également quand il donne à l'encontre des obstacles résistant lui barrant la route (telle des portes de fer ou des grilles). Les objets sont donc à utiliser avec intelligence afin d’économiser au maximum sa vie pour les affrontements les plus complexes.
Enfin les niveaux recèlent de nombre de secrets qu'il faut dénicher, procurant des avantages certains, et pour cela l'utilisation de Roadkill s'avère indispensable. Roadkill etant le rat de Sketch, il permettra de résoudre certaines énigmes et pourra aider au combat.
Une direction artistique créative
Chaque niveau de Comix Zone propose des environnements léchés et des ennemis classieux. Le travail sur les couleurs donne un rendu vraiment époustouflant et on sent que Séga offre ici l'un de ses plus beau jeu de l'époque. La musique, loin d'être marquante, fait très bien son travail et vient renforcer l'ambiance du jeu.
L'univers particulièrement codifié des comics est très bien représenté, ainsi de nombreuses onomatopée apparaîtront lors des coups ou de certaines situations et chaque case contient diverses bulles de dialogues ou d'encarts rappelant la situation. On a vraiment l'impression d'être plongé dans un comics, et c'est là l'un des meilleur point du jeu.
Sketch a la possibilité de se transformer en super-héros lors de courts moments, son design rappelant alors les nombreuses références du genre.
Des défauts qui frustreront
Comix Zone a deux défauts majeurs, qui viennent malheureusement entacher l'expérience du jeu. Le premier c'est sa longueur, comptez entre une demi-heure et une heure pour venir à bout du jeu. C'est effroyablement court, et une fois encore il y aurait eut moyen étoffer bien plus cet univers avec toutes les bonnes idées qui y sont présentées.
L'autre défaut, bien plus embêtant, c'est sa difficulté CO-LO-SSALE ! Qu'on se le dise, c'est le jeu le plus dur qu'il m'est été donné de jouer...à tel point que je ne l'ai encore jamais finis. Bien peu de choses nous sont expliquées, et on avance à tâtons afin de découvrir peu à peu les choses à ne pas faire sous peine de finir bien trop vite sur une cuisante défaite.
Comix Zone, pourquoi ? Comix Zone pour qui ?
Je recommande cette oeuvre à un public avertis. Son univers plaira sans mal à tous, et sa direction artistique vaut le détour...mais y jouer c'est accepter d'entrer dans un jeu extrêmement punitif, qui ne vous fera aucun cadeau. On a réellement l'impression que Mortus veut notre mort à travers tous les monstres qu'il créé au travers des pages de Sketch, sa main grisée apparaissant régulièrement pour venir nous dessiner une nouvelle menace qui saura nous condamner. Vous êtes prévenus, vous qui entrez dans ce jeu...abandonnez tout espoir.
Et voilà qui met fin à cette critique, j'espère qu'elle vous aura plut. Je suis heureux d'avoir pu traiter une oeuvre plus ancienne, et espère vous avoir permis de découvrir un jeu sur lequel j'ai bien accroché. Je vous laisse avec mes trois questions, une bonne soirée à vous !
-Et toi, le Retro Gaming t'en penses quoi ?
-Quel est ton rapport avec la difficulté d'un jeu ? Préfères-tu des jeux bien durs ?
-Quel est ton jeu préféré...datant d'avant les années 2000 ?
Re: Dans la tête de l'entêté
Ca a l'air marrant, dommage si c'est trop hard ^^'
-J'aime bien le rétro. A l'époque, sortir un jeu était dur, et il fallait faire tenir la longueure de temps de jeu. Soit en le rendant dur, soit en le développant longtemps. Et il n'y avait pas de soluces simple ni internet, il fallait demander aux voisins ou dans les rares magazines de jv.
- Ca dépend, si j'ai pas l'impression d'avancer, ça m'énervera, mais ca me rendra d'autant plus contente quand j'aurais réussi. Mais de temps en temps, un petit jeu qui avance tout seul, c'est bien sympa aussi.
- J'en connais pas beaucoup. J'ai eu les Schtroumpfs, Outpost, et un jeu dont j'ai toujours pas retrouvé le nom (des vaisseaux de l'espace entre autre) mais celui qui m'a marqué, que j'ai refais encore et encore, c'est Starshot (Ces jeux de merde dévoreront nos âmes! Infograaaaame!) C'était mon premier vrai jeu, en 3D sans etre un shooter. Le personnage était attachant et l'histoire était facile à comprendre pour mon âge. (j'avais dix balais, égnégné *bave de manière débile*) Y'avait plusieurs mondes, un gameplay simple à prendre en main, et des passages même très techniques. Si je pouvais y rejouer, je le ferais, mais le CD est plus reconnu maintenant... Surement le lecteur ou l'OS.
-J'aime bien le rétro. A l'époque, sortir un jeu était dur, et il fallait faire tenir la longueure de temps de jeu. Soit en le rendant dur, soit en le développant longtemps. Et il n'y avait pas de soluces simple ni internet, il fallait demander aux voisins ou dans les rares magazines de jv.
- Ca dépend, si j'ai pas l'impression d'avancer, ça m'énervera, mais ca me rendra d'autant plus contente quand j'aurais réussi. Mais de temps en temps, un petit jeu qui avance tout seul, c'est bien sympa aussi.
- J'en connais pas beaucoup. J'ai eu les Schtroumpfs, Outpost, et un jeu dont j'ai toujours pas retrouvé le nom (des vaisseaux de l'espace entre autre) mais celui qui m'a marqué, que j'ai refais encore et encore, c'est Starshot (Ces jeux de merde dévoreront nos âmes! Infograaaaame!) C'était mon premier vrai jeu, en 3D sans etre un shooter. Le personnage était attachant et l'histoire était facile à comprendre pour mon âge. (j'avais dix balais, égnégné *bave de manière débile*) Y'avait plusieurs mondes, un gameplay simple à prendre en main, et des passages même très techniques. Si je pouvais y rejouer, je le ferais, mais le CD est plus reconnu maintenant... Surement le lecteur ou l'OS.
Albynn- Le Respectable
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Re: Dans la tête de l'entêté
J'adore le principe du jeu, je trouve ça super original. ^^
Réponses:
-Le rétrogaming, j'aime bien. Pouvoir retourner sur des jeux qui ont servit de base pour ce que l'on connaît actuellement, et voir les canon des anciennes consoles me permet de me faire une idée de l'évolution vidéo-ludique.
-Je suis pas très fan des jeux bien durs non, j'ai plus tendance à jouer à un jeu pour le découvrir dans sa globalité, noter son gameplay et sa trame scénaristique, si du moins elle y est. C'est pas pour autant que je n'ai aucun jeu actuel qui m'impose de gros pallier de difficulté, The Binding of Isaac en tête pour le moment.
-Datant d'avant les années 2000...alors j'ai beaucoup été marqué par la N64 et la PS1, et il y a plusieurs jeux sur ces deux consoles qui ont façonné mon enfance: Ocarina of Time et Goldeneye 007 sur N64, Tomb Raider et Tekken 3 sur PS1. Ce sont les 4 jeux sur lesquelles j'ai passé le plus de temps au niveau de ces deux consoles.
Réponses:
-Le rétrogaming, j'aime bien. Pouvoir retourner sur des jeux qui ont servit de base pour ce que l'on connaît actuellement, et voir les canon des anciennes consoles me permet de me faire une idée de l'évolution vidéo-ludique.
-Je suis pas très fan des jeux bien durs non, j'ai plus tendance à jouer à un jeu pour le découvrir dans sa globalité, noter son gameplay et sa trame scénaristique, si du moins elle y est. C'est pas pour autant que je n'ai aucun jeu actuel qui m'impose de gros pallier de difficulté, The Binding of Isaac en tête pour le moment.
-Datant d'avant les années 2000...alors j'ai beaucoup été marqué par la N64 et la PS1, et il y a plusieurs jeux sur ces deux consoles qui ont façonné mon enfance: Ocarina of Time et Goldeneye 007 sur N64, Tomb Raider et Tekken 3 sur PS1. Ce sont les 4 jeux sur lesquelles j'ai passé le plus de temps au niveau de ces deux consoles.
Bluefox82- L’Utopiste
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Localisation : Dans mon humble demeure, ou dans une auberge quelconque, tant que je peux boire et écouter les bardes.
Re: Dans la tête de l'entêté
Salut à tous ! Nous y sommes...quinzième critique...au tour d'un anime...il est temps d'enfin le sortir. Pas de longue introduction aujourd'hui, puisqu'il me tarde déjà de vous parler de l'oeuvre de cette case. Armée d'une bande-son extraordinaire, possédant les personnages les plus attachants qu'il m'ait été donné de voir et nous présentant un héros venu d'une étrange planète pour protéger un jeune homme...nous y sommes.
Aujourd'hui...c'est ping-pong.
15 Décembre : Jamais je ne vouerais ma vie au Ping-Pong
Le Ping-Pong on est d'accord, c'est pas sexy ?
Vous me connaissez assez bien, je déteste le sport. Ca n'a jamais été ma tasse de thé, et je ne pense pas m'y remettre avant bien longtemps. Parmi tous les sports, il y en est un que je trouve encore plus con que les autres...le Ping-Pong. J'ai fais un peu de tennis, et pour moi ce sport était physique. Alors quand on voit le Ping-Pong avec sa table riquiqui et sa balle qui est éjectée à perpet' au moindre geste trop puissant...beh on peut pas dire que ça fasse rêver.
Et pourtant, c'était sans compter le génie d'un homme...un Mangaka en passe de devenir mon auteur favoris dans ce média (J'ai pour le moment pu accéder à trois de ses œuvres, et les trois m'ont marquées). Cet homme...c'est Taiyô Matsumoto. Et à la fin de cette critique vous comprendrez sans mal pourquoi je le vénère.
Pour parler un peu de l'auteur
Notre chers Taiyô est un artiste très considéré par ses pairs. On dit que nombre de ses productions sa placent en marge des canons du genre, et l'homme a prouvé à maintes reprises être capables d'allier un style graphique original avec des histoires bien construites.
Comme dit plus haut, je ne connais que trois de ses oeuvres, mais les trois forment un bel échantillon de ce que propose le bonhomme. Pour commencer il y a son film d'animation "Amer Béton" racontant un an de la vie de deux jeunes enfants baptisés "Blanc" et "Noir". La réalisation est incroyable et la dualité entre les protagonistes vaut le détour. Le tour de force du monsieur étant quand même de nous faire aimer chaque personnage qu'il nous présente...quel que soit le camp de celui-ci.
La deuxième de ses oeuvre c'est Number Five et...bah là le résumé va pas être possible. Number Five raconte une histoire futuriste aux enjeux tout bonnement impressionnants. Je vous laisse découvrir l'oeuvre par vous même sans rien révéler, l'impact n'en sera que plus grand à mon humble avis.
Enfin, et c'est paradoxalement l'oeuvre qui m'a fait découvrir cet auteur, nous avons son mangas Ping Pong...adapté en anime en 2014 sous le nom de "Ping Pong the Animation"...c'est de ça dont on va causer.
C'est l'histoire de quatre jeune qui jouent au Ping Pong
Ouais je sais là tout de suite ça donne pas envie...mais laissez moi développer ! Cet anime nous raconte donc l'histoire de deux grands amis jouant au Ping Pong, ils vont tenter de participer au fameux tournois inter-lycée présent dans chaque mangas de sports...et...c'est tout. Oui le synopsis casse rien du tout...mais encore une fois dans ce mangas ce sont les personnages qui sont le centre de tout. Je vais vous les décrire pour que vous compreniez mieux le travail de l'artiste (Par égard pour mes yeux, et pour m'épargner la retranscription des noms japonais...j'userais des surnoms de ces personnages.
-Peco : Il est celui qui se rapproche le plus du héros de l'histoire. Peco est un jeune insouciant, passant son temps à se lancer dans des débats sur la nourriture et pratiquant le Ping Pong par passion. Il est très doué à ce sport, et s'amuse quand il gagne...mais la défaite l’anéanti à chaque fois. Peco est très peu travailleur, il a un don pour le Ping Pong et s'appuie dessus sans autres entraînements.
-Smile : Tout le contraire de Peco ! Smile est froid, calculateur, intelligent et complètement asocial. Il ne laisse jamais transparaître la moindre émotion. Le Ping Pong l'ennuie, et si il y joue ce n'est que pour être avec son ami Peco. Néanmoins...Smile se révèle être un véritable génie dans ce sport. On le surnomme "Le Robot", car il parvient à deviner les mouvements de ses adversaires. Travailleur acharné, il finira par s’entraîner jour et nuit afin de devenir imbattable...devenant de plus en plus insensible au reste du monde.
-China : Ancien grand champion en Chine, il fut forcé de quitter son pays après une défaite ayant jetée le déshonneur sur sa nation. Pour pouvoir rentrer chez lui il doit gagner le championnat Japonais...étant de ce fait celui qui a le plus d’intérêt à acquérir la victoire. Il est arrogant, prend les Japonais pour des nuls et se révèle être un excellent joueur.
-Dragon : Meilleur joueur Japonais, c'est tout simplement le monstre ultime de ce sport. Invaincu, il fait la fierté de son école et de sa famille et sacrifie tout pour le Ping Pong. Prétentieux sans vraiment le vouloir, il vit surtout en décalage par rapport au reste de la société. Alors que tout le monde le croit inhumain, il se révèle en réalité craintif envers l'avenir. Il assure la place de numéro un, mais ressent une terreur sourde à l'idée de la perdre.
Le fil conducteur de l'amitié
L'amitié entre Péco et Smile se trouve au centre de l'histoire, les deux suivant un parcourt complètement inversé. Si au début de l'histoire c'est Peco qui brille et Smile qui reste dans l'ombre, le court des choses va complètement se retourner pour laisser Smile filer vers les sommets tandis que Peco sombre lamentablement.
Pourtant on sent que les deux ont besoin l'un de l'autre, Peco étant le seul à être capable d'amener Smile à être digne de porter un tel nom. Le Robot semblant toujours l'attendre, comme si son ami était le seul à être capable de le sortir de toute cette machine infernale que le sport est devenu pour lui.
Qu'on se le dise, dans chaque anime de sport le pouvoir de l'amitié fait tout...mais ici c'est différent. Ce n'est pas l'amitié qui permet à ces deux là d'avancer dans la vie...non...c'est simplement un lien qui les unis et que tout deux semblent avoir oubliés. Elle est bien souvent la réponse à leur interrogation, mais semble avoir été bien malmenée par ce sport qui les rapprochait autrefois.
Une analyse et une critique du talent
la notion de Talent est majestueusement mis en scène dans cet oeuvre, occupant la place de message que celle-ci délivre. Taiyo nous pose un éventail de question sur ce sujet et tente, avec ses personnages, d'apporter le plus de réponses possibles.
Entre le talentueux se reposant sur ses lauriers et n'admettant pas l’échec, celui qui possède un réel don mais qui en devient prisonnier au point de perdre la passion qui l'animait, celui que l'on acclamait dans son pays et qui se retrouve exilé à cause d'une simple défaite...et celui que l'on considère comme un champion mais dont les épaules semblent sur le point de céder sous le poids qu'un tel titre fait peser...on se rend bien vite compte que cette notion de talent n'est jamais acquise, et qu'elle ne fait pas tout.
S'autres personnages viennent également porter leur point de vue dessus, à l'image de "Démon" jeune volontaire et acharné de l'entrainement à qui il semble manquer ce fameux "Talent"...et qui sombrera à cause de cela.
Une réalisation unique
Non je ne taris pas d'éloge sur cet anime, et sur le point de la réalisation encore moins. Alors je sais ce que vous allez me dire "Oui mais je trouve que les dessins sont moches"...et je peux vous comprendre. Personnellement je trouve le partis prit artistique tout bonnement dingue, mais il faut un certain temps d'adaptation.
Point de vue musique par contre...le constat est sans appel. la bande-son est tout simplement celle que je préfère tout anime confondu...on est en face d'un vrais sans faute. J'écoute encore l'OST bien après avoir finit de regarder l'anime
Ping Pong the Animation...on s'en fiche de pour qui puisque je vais vous le faire bouffer
Je déteste les préjuger concernant les œuvres... c'est un réel fléau. Ping Pong et à coup sur l'anime qui aurait eut le moins de chance de m'attirer...et pourtant aujourd'hui je le considère comme la meilleure oeuvre que j'ai pu voir depuis bien des années. Original, possédant les meilleurs personnages de la sphère des mangas...c'est un véritable incontournable que je vous montrerais à coup sur au nouvel an. Rien de plus à ajouter, c'est de la bonne !
Cette case se termine et je vous pose mes questions avant de vous laisser !
-Et toi niveau sport quelles sont tes préférences, et ce que tu n'aimes pas ?
-Possèdes-tu un domaine où tu penses avoir du talent ?
-Y a-t-il une oeuvre dont tu t'es méfié avant de l'adorer ?
Aujourd'hui...c'est ping-pong.
15 Décembre : Jamais je ne vouerais ma vie au Ping-Pong
Le Ping-Pong on est d'accord, c'est pas sexy ?
Vous me connaissez assez bien, je déteste le sport. Ca n'a jamais été ma tasse de thé, et je ne pense pas m'y remettre avant bien longtemps. Parmi tous les sports, il y en est un que je trouve encore plus con que les autres...le Ping-Pong. J'ai fais un peu de tennis, et pour moi ce sport était physique. Alors quand on voit le Ping-Pong avec sa table riquiqui et sa balle qui est éjectée à perpet' au moindre geste trop puissant...beh on peut pas dire que ça fasse rêver.
Et pourtant, c'était sans compter le génie d'un homme...un Mangaka en passe de devenir mon auteur favoris dans ce média (J'ai pour le moment pu accéder à trois de ses œuvres, et les trois m'ont marquées). Cet homme...c'est Taiyô Matsumoto. Et à la fin de cette critique vous comprendrez sans mal pourquoi je le vénère.
Pour parler un peu de l'auteur
Notre chers Taiyô est un artiste très considéré par ses pairs. On dit que nombre de ses productions sa placent en marge des canons du genre, et l'homme a prouvé à maintes reprises être capables d'allier un style graphique original avec des histoires bien construites.
Comme dit plus haut, je ne connais que trois de ses oeuvres, mais les trois forment un bel échantillon de ce que propose le bonhomme. Pour commencer il y a son film d'animation "Amer Béton" racontant un an de la vie de deux jeunes enfants baptisés "Blanc" et "Noir". La réalisation est incroyable et la dualité entre les protagonistes vaut le détour. Le tour de force du monsieur étant quand même de nous faire aimer chaque personnage qu'il nous présente...quel que soit le camp de celui-ci.
La deuxième de ses oeuvre c'est Number Five et...bah là le résumé va pas être possible. Number Five raconte une histoire futuriste aux enjeux tout bonnement impressionnants. Je vous laisse découvrir l'oeuvre par vous même sans rien révéler, l'impact n'en sera que plus grand à mon humble avis.
Enfin, et c'est paradoxalement l'oeuvre qui m'a fait découvrir cet auteur, nous avons son mangas Ping Pong...adapté en anime en 2014 sous le nom de "Ping Pong the Animation"...c'est de ça dont on va causer.
C'est l'histoire de quatre jeune qui jouent au Ping Pong
Ouais je sais là tout de suite ça donne pas envie...mais laissez moi développer ! Cet anime nous raconte donc l'histoire de deux grands amis jouant au Ping Pong, ils vont tenter de participer au fameux tournois inter-lycée présent dans chaque mangas de sports...et...c'est tout. Oui le synopsis casse rien du tout...mais encore une fois dans ce mangas ce sont les personnages qui sont le centre de tout. Je vais vous les décrire pour que vous compreniez mieux le travail de l'artiste (Par égard pour mes yeux, et pour m'épargner la retranscription des noms japonais...j'userais des surnoms de ces personnages.
-Peco : Il est celui qui se rapproche le plus du héros de l'histoire. Peco est un jeune insouciant, passant son temps à se lancer dans des débats sur la nourriture et pratiquant le Ping Pong par passion. Il est très doué à ce sport, et s'amuse quand il gagne...mais la défaite l’anéanti à chaque fois. Peco est très peu travailleur, il a un don pour le Ping Pong et s'appuie dessus sans autres entraînements.
-Smile : Tout le contraire de Peco ! Smile est froid, calculateur, intelligent et complètement asocial. Il ne laisse jamais transparaître la moindre émotion. Le Ping Pong l'ennuie, et si il y joue ce n'est que pour être avec son ami Peco. Néanmoins...Smile se révèle être un véritable génie dans ce sport. On le surnomme "Le Robot", car il parvient à deviner les mouvements de ses adversaires. Travailleur acharné, il finira par s’entraîner jour et nuit afin de devenir imbattable...devenant de plus en plus insensible au reste du monde.
-China : Ancien grand champion en Chine, il fut forcé de quitter son pays après une défaite ayant jetée le déshonneur sur sa nation. Pour pouvoir rentrer chez lui il doit gagner le championnat Japonais...étant de ce fait celui qui a le plus d’intérêt à acquérir la victoire. Il est arrogant, prend les Japonais pour des nuls et se révèle être un excellent joueur.
-Dragon : Meilleur joueur Japonais, c'est tout simplement le monstre ultime de ce sport. Invaincu, il fait la fierté de son école et de sa famille et sacrifie tout pour le Ping Pong. Prétentieux sans vraiment le vouloir, il vit surtout en décalage par rapport au reste de la société. Alors que tout le monde le croit inhumain, il se révèle en réalité craintif envers l'avenir. Il assure la place de numéro un, mais ressent une terreur sourde à l'idée de la perdre.
Le fil conducteur de l'amitié
L'amitié entre Péco et Smile se trouve au centre de l'histoire, les deux suivant un parcourt complètement inversé. Si au début de l'histoire c'est Peco qui brille et Smile qui reste dans l'ombre, le court des choses va complètement se retourner pour laisser Smile filer vers les sommets tandis que Peco sombre lamentablement.
Pourtant on sent que les deux ont besoin l'un de l'autre, Peco étant le seul à être capable d'amener Smile à être digne de porter un tel nom. Le Robot semblant toujours l'attendre, comme si son ami était le seul à être capable de le sortir de toute cette machine infernale que le sport est devenu pour lui.
Qu'on se le dise, dans chaque anime de sport le pouvoir de l'amitié fait tout...mais ici c'est différent. Ce n'est pas l'amitié qui permet à ces deux là d'avancer dans la vie...non...c'est simplement un lien qui les unis et que tout deux semblent avoir oubliés. Elle est bien souvent la réponse à leur interrogation, mais semble avoir été bien malmenée par ce sport qui les rapprochait autrefois.
Une analyse et une critique du talent
la notion de Talent est majestueusement mis en scène dans cet oeuvre, occupant la place de message que celle-ci délivre. Taiyo nous pose un éventail de question sur ce sujet et tente, avec ses personnages, d'apporter le plus de réponses possibles.
Entre le talentueux se reposant sur ses lauriers et n'admettant pas l’échec, celui qui possède un réel don mais qui en devient prisonnier au point de perdre la passion qui l'animait, celui que l'on acclamait dans son pays et qui se retrouve exilé à cause d'une simple défaite...et celui que l'on considère comme un champion mais dont les épaules semblent sur le point de céder sous le poids qu'un tel titre fait peser...on se rend bien vite compte que cette notion de talent n'est jamais acquise, et qu'elle ne fait pas tout.
S'autres personnages viennent également porter leur point de vue dessus, à l'image de "Démon" jeune volontaire et acharné de l'entrainement à qui il semble manquer ce fameux "Talent"...et qui sombrera à cause de cela.
Une réalisation unique
Non je ne taris pas d'éloge sur cet anime, et sur le point de la réalisation encore moins. Alors je sais ce que vous allez me dire "Oui mais je trouve que les dessins sont moches"...et je peux vous comprendre. Personnellement je trouve le partis prit artistique tout bonnement dingue, mais il faut un certain temps d'adaptation.
Point de vue musique par contre...le constat est sans appel. la bande-son est tout simplement celle que je préfère tout anime confondu...on est en face d'un vrais sans faute. J'écoute encore l'OST bien après avoir finit de regarder l'anime
Ping Pong the Animation...on s'en fiche de pour qui puisque je vais vous le faire bouffer
Je déteste les préjuger concernant les œuvres... c'est un réel fléau. Ping Pong et à coup sur l'anime qui aurait eut le moins de chance de m'attirer...et pourtant aujourd'hui je le considère comme la meilleure oeuvre que j'ai pu voir depuis bien des années. Original, possédant les meilleurs personnages de la sphère des mangas...c'est un véritable incontournable que je vous montrerais à coup sur au nouvel an. Rien de plus à ajouter, c'est de la bonne !
Cette case se termine et je vous pose mes questions avant de vous laisser !
-Et toi niveau sport quelles sont tes préférences, et ce que tu n'aimes pas ?
-Possèdes-tu un domaine où tu penses avoir du talent ?
-Y a-t-il une oeuvre dont tu t'es méfié avant de l'adorer ?
Re: Dans la tête de l'entêté
Oh, encore un anime, et pour le coup, un que je connait, bien que je ne l'ai jamais regarder, l'apparence graphique ne me disant pas grand chose. ^^'
Je sais que c'est stupide de s'arrêter sur ça, mais bon, si on va le voir pendant la semaine du nouvel an, pas besoin de le regarder de mon côté, je préfère attendre d'être avec tout le monde. ^^
Question :
-J'ai jamais été très sport, mais si je devais en choisir, ça serait le Handball et le Tennis je pense. Je sais pas vraiment pourquoi, mais ça reste deux sports que j'aime. Le tennis de table est sympa aussi parfois. ^^
-Je déteste cette question, car je pense toujours que non. Alors je dirais non.
-Hum... Punch Line, pour citer les anime ? x)
Et bientôt Ping-Pong The Animation à ce que j'en lit. xD
Je sais que c'est stupide de s'arrêter sur ça, mais bon, si on va le voir pendant la semaine du nouvel an, pas besoin de le regarder de mon côté, je préfère attendre d'être avec tout le monde. ^^
Question :
-J'ai jamais été très sport, mais si je devais en choisir, ça serait le Handball et le Tennis je pense. Je sais pas vraiment pourquoi, mais ça reste deux sports que j'aime. Le tennis de table est sympa aussi parfois. ^^
-Je déteste cette question, car je pense toujours que non. Alors je dirais non.
-Hum... Punch Line, pour citer les anime ? x)
Et bientôt Ping-Pong The Animation à ce que j'en lit. xD
Shiki Van Shërza- Les Fondateurs
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Re: Dans la tête de l'entêté
Ah, notre cher chef a enfin sortit Ping-Pong!
Après avoir lu la critique, et vu le résumé que tu fais des personnages, je comprends mieux pourquoi tu l'apprécies. S'ils sont de telle qualité, sans aucun doute faut-il que je regarde l'anime, moi qui aime les personnages bien construits....
....M'enfin de toute manière j'ai pas le choix, vu que tu vas nous le faire bouffer dans deux semaines! x'D (spoiler: je prends le fauteuil avec les sangles pour les poignets, si ça dérange personne.)
Réponses:
-Alors niveaux sports que j'aime: les sports de combat, et le badminton qui est actuellement mon sport préféré, et dans lequel j'excède.
Ceux que j'aime pas: les sports collectifs, en particulier le football. Surtout que ce dernier est médiatisé comme c'est pas possible, chose qui m'énerve au plus haut point.
-A ce jour...non, je ne pense pas avoir de talent particulier pour un quelconque domaine. Plus tard peut être.
-Actuellement, je ne pense pas non.
Après avoir lu la critique, et vu le résumé que tu fais des personnages, je comprends mieux pourquoi tu l'apprécies. S'ils sont de telle qualité, sans aucun doute faut-il que je regarde l'anime, moi qui aime les personnages bien construits....
....M'enfin de toute manière j'ai pas le choix, vu que tu vas nous le faire bouffer dans deux semaines! x'D (spoiler: je prends le fauteuil avec les sangles pour les poignets, si ça dérange personne.)
Réponses:
-Alors niveaux sports que j'aime: les sports de combat, et le badminton qui est actuellement mon sport préféré, et dans lequel j'excède.
Ceux que j'aime pas: les sports collectifs, en particulier le football. Surtout que ce dernier est médiatisé comme c'est pas possible, chose qui m'énerve au plus haut point.
-A ce jour...non, je ne pense pas avoir de talent particulier pour un quelconque domaine. Plus tard peut être.
-Actuellement, je ne pense pas non.
Bluefox82- L’Utopiste
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Re: Dans la tête de l'entêté
Je pense qu'on peut effectivement dire "Ha bah enfin!"
Pas la peine de le mettre sur la liste, tu vas nous le faire manger au nouvel an, et avec nos dents en plus!
-Je suis pas du tout endurante ni rapide, pourtant j'aime bien les sports d'équipe et de balle, genre foot et basket. J'aimais bien faire de l'escalade. maintenant, mon sport, c'est plutôt foutez-moi-la-paix-dans-mon-canapé. ^^'
-Un domaine où j'ai du talent... Je diras l'imagination. Il suffit que je vous cause de mes rèves pour que vous ayez les yeux ronds comme des soucoupes, té! XD
-Une oeuvre dont je me suis méfiée avant de l'aimer, hummm... Là comme ça, je dirais Doctor Who. J'avais peur que ce soit répétitif avec les saisons (en mode Naruto), avec des raisons de changements d'acteurs à la noix, mais en fait, non. Je pleurerais presque qu'on soit pas encore à la sortie de la saison 10! XD
Ho oui, et il y a Artemis Fowl! Ma soeur m'avait offert le premier tome, j'étais convaincu qu'elle me prenait pour un bébé et m'avait offert un livre en conséquence. Par la suite, c'est devenu une de saga préférée. Tiens d'ailleurs, pour en revenir sur une de tes questions, sur mes rêves persos, je rêvais que j'étais une fée surpuissante du nom de Allia, dans Artemis Fowl! ^^
Vala, impatiente de bouffer ton PingPong, vu les ost que tu nous en balance '^' J'espère juste qu'on aura le temps!
Pas la peine de le mettre sur la liste, tu vas nous le faire manger au nouvel an, et avec nos dents en plus!
-Je suis pas du tout endurante ni rapide, pourtant j'aime bien les sports d'équipe et de balle, genre foot et basket. J'aimais bien faire de l'escalade. maintenant, mon sport, c'est plutôt foutez-moi-la-paix-dans-mon-canapé. ^^'
-Un domaine où j'ai du talent... Je diras l'imagination. Il suffit que je vous cause de mes rèves pour que vous ayez les yeux ronds comme des soucoupes, té! XD
-Une oeuvre dont je me suis méfiée avant de l'aimer, hummm... Là comme ça, je dirais Doctor Who. J'avais peur que ce soit répétitif avec les saisons (en mode Naruto), avec des raisons de changements d'acteurs à la noix, mais en fait, non. Je pleurerais presque qu'on soit pas encore à la sortie de la saison 10! XD
Ho oui, et il y a Artemis Fowl! Ma soeur m'avait offert le premier tome, j'étais convaincu qu'elle me prenait pour un bébé et m'avait offert un livre en conséquence. Par la suite, c'est devenu une de saga préférée. Tiens d'ailleurs, pour en revenir sur une de tes questions, sur mes rêves persos, je rêvais que j'étais une fée surpuissante du nom de Allia, dans Artemis Fowl! ^^
Vala, impatiente de bouffer ton PingPong, vu les ost que tu nous en balance '^' J'espère juste qu'on aura le temps!
Albynn- Le Respectable
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Re: Dans la tête de l'entêté
Non.... je ne ferais pas la blague moisi du genre "Boku No Peco".... et flûte.
Alors, c'est partit pour passer pour un rabat-joie. Mais du fin fond de mon âme je déteste les animes de sports! Et surtout malgré la passion qui transparait de l'analyse, pour moi exposé selon t'es mots, c'est un shonen de sport classique.
Le délire de deux amis qui s'entraide dans l'adversité, on peut retrouver ça dans Kuruko no Basket et les personnages développé il y en a dans la majorité des anime de qualité (ce qui doit faire de Ping Pong un anime de qualité)
Donc selon mon avis de Jean-Marie Préjugé, l'anime peut êtres bien, voir très bien, mais il ne m’intéresse que très peu et surtout je ne pense pas que c'est un anime extraordinaire.
Bon désolé pour le cassage d'ambiance, mais je préfère êtres franc que lâcher un "Lol c tro b1!".
Bon passons aux questions!
1: La natation, vu que c'est le seul sport ou je me sens libre de mes mouvement malgré ma charge pondérale importante.
2: Bon on reste sur les sujets qui fâche, je pense pas en avoir vraiment. A part peu êtres une bonne imagination (à voir si c'est vraiment un talent).
3: Fate, vu que le graphisme sortait pas vraiment de la norme et qu'un pote ma saoulé de m'en causer tout le temps. mais au final ça ma plutôt plu.
Ps: Pour le sujet sur le rétro-gaming, j'ai pas répond parce que le rétro gaming c'est un peu comme la Corée du Nord, je sais que ça existe mais je m'en fou.
Alors, c'est partit pour passer pour un rabat-joie. Mais du fin fond de mon âme je déteste les animes de sports! Et surtout malgré la passion qui transparait de l'analyse, pour moi exposé selon t'es mots, c'est un shonen de sport classique.
Le délire de deux amis qui s'entraide dans l'adversité, on peut retrouver ça dans Kuruko no Basket et les personnages développé il y en a dans la majorité des anime de qualité (ce qui doit faire de Ping Pong un anime de qualité)
Donc selon mon avis de Jean-Marie Préjugé, l'anime peut êtres bien, voir très bien, mais il ne m’intéresse que très peu et surtout je ne pense pas que c'est un anime extraordinaire.
Bon désolé pour le cassage d'ambiance, mais je préfère êtres franc que lâcher un "Lol c tro b1!".
Bon passons aux questions!
1: La natation, vu que c'est le seul sport ou je me sens libre de mes mouvement malgré ma charge pondérale importante.
2: Bon on reste sur les sujets qui fâche, je pense pas en avoir vraiment. A part peu êtres une bonne imagination (à voir si c'est vraiment un talent).
3: Fate, vu que le graphisme sortait pas vraiment de la norme et qu'un pote ma saoulé de m'en causer tout le temps. mais au final ça ma plutôt plu.
Ps: Pour le sujet sur le rétro-gaming, j'ai pas répond parce que le rétro gaming c'est un peu comme la Corée du Nord, je sais que ça existe mais je m'en fou.
Mama Koi- L’Activiste
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Date d'inscription : 07/09/2014
Age : 30
Localisation : Je sais pas ... ya de la lumière là bas...
Re: Dans la tête de l'entêté
Mercredi 16 décembre. Pour vous ce n'est peut être pas une date importante, mais pour moi cela signifiait une fin. La fin de la deuxième saison d'une série m'ayant collée une sacrée gifle. Oh son nom vous est familier, je l'ai déjà prononcé plusieurs fois.
Une nouvelle fois bien peu de préambules en cette jour particulier, non la hâte de vous parler de l'oeuvre se fait bien trop forte. Aujourd'hui on va causer de vingt épisodes m'ayant retournés le crâne, d'une série s'affichant désormais fièrement en tête de mes séries préférées...
Et oui, il est venu le temps de Fargo.
16 Décembre : Loi d'emmerdement maximal.
Fargo, c'est quoi ?
Fargo ? Bah c'est une ville américaine.
Ah vous voulez savoir ce qu'est l'oeuvre Fargo ? Bah c'est un film réalisé par les frères Coen sortie en 1996.
Toujours pas ? Ah on parle de la série Fargo ! Ok c'est partis !
Fargo est une série qui a débutée en avril 2014 et qui est réalisée par Noah Hawley, basée en partit sur le film cité plus haut. la série se découpe en deux saisons, présentant deux histoires différentes jouées par des acteurs différents au cours d'époques différentes.
Si un genre devait être attribué à Fargo se serait le "Thriller Absurde"...mais on va dire que ça colle pas vraiment. La série nous dépeint des événements réalistes...mais avec à chaque fois des éléments venant bien souligner que c'est une fiction. Le réalisateur joue énormément avec ça, commençant chacun de ses épisodes par un encart stipulant que : "Ceci est une histoire vraie. Par égard pour les survivants les noms ont été changés. Le reste des faits a été raconté tel qu'ils se sont produis.
Pour cette critique je vais vous faire un résumé des deux saisons, parler du point commun scénaristique qui fait la force de la série....avant de vous dire pourquoi je l'aime à ce point.
La saison 1 ou le cercle des animaux
La première saison se déroule dans la petite ville de Bémidji. On y suit le quotidien de Lester Nygaard, un vendeur en assurance aux allures de loser et qui se fait rabaisser par sa femme. Au cours de l'une de ses très nombreuses journée de merde, il recroise une ancienne brute qui le victimisait plus jeune. Par sa faute, il termine à l’hôpital et tombe sur un bien étrange personnage. L'homme se fait appeler Lorne Malvo, et il va lui tenir un long discours sur ce qu'implique le fait d'être un homme.
Suite à un quiproquo...Lester va accepter la proposition d'assassinat que Lorne lui faisait. Lorne tuera la brute...et un flot d'emmerdes considérable tombera sur nos deux compères.
Le meilleur personnage que j'ai pu voir...
Si il y a bien une raison qui doit vous pousser à regarder Fargo...c'est son antagoniste : Lorne Malvo. C'est un assassin violent et manipulateur, laissant toujours planer le doute sur qui il est vraiment. Il voue un véritable culte aux accès de violence humains et fait tout son possible pour les provoquer. Il détient une mallette contenant enregistrements de ces accès de rages et de désespoir, et les écoute dès qu'il le peut.
Lorne quelqu'un de dangereux, par ses actes et se paroles il fera changer Lester...et l'amènera peu à peu vers la voie de la violence. Il justifie ses choix et ses actes par une myriade d'histoires illustrant les exemples qu'il cherche parfois à reproduire...et même à la fin de cette saison il y a bien des choses que l'on ignore sur lui.
La saison 2, ou la reproduction d'une guerre totale
La saison 2 se passe bien des années avant la première, et suit l'histoire de Lou Solverson. Tout juste rentré du Vietman, notre bonhomme se voit chargé d'une enquête sur un massacre étant survenu dans un restaurant. Le responsable de ce crime se nomme Rye Guehardt et se trouve être le fils d'une famille de malfrat allemands contrôlant une ferme de la région.
Le territoire de ces derniers semble intéresser de près une autre organisation de malfrat, et les deux familles entrent bien vite en guerre. La seule chose semblant capable d'arrêter tout ces massacre se trouve être l'intervention de notre chers Rye...mais...
Mais il est mort. Renversé par la voiture d'une jeune femme un peu perdue. Son mari et elle se retrouvent donc mêlés à une guerre les dépassant complètement, tandis que Lou cherche à démêler ce véritable paquet de nœud.
Les objectifs différents, la porte ouverte sur les problèmes
Véritable tour de force scénaristique, cette deuxième saison nous présente une myriade de personnages rudement bien construits...aux objectifs complètement différents les uns des autres. Ils ne cessent de rentrer en conflit et à aucun moment la série ne nous laisse confiant concernant leur avenir. On ne peut tout simplement pas deviner comment ces hommes étranges finiront tant leur ego et leurs désirs semblent se détruire entre eux.
Entre les deux familles voulant la pleine victoire, certains membres des deux camps nourrissant des ambitions bien plus personnelles, notre couple à la masse et les forces de l'ordre...c'est un véritable remue ménage que nous sert cette saison pleine de surprises.
La loi de Murphy n'a jamais été aussi bien représentée
La loi de Murphy, aussi appelée loi de l'emmerdement maximal, est une règle stipulant que durant une situation ayant plusieurs résolutions possibles...c'est toujours la pire qui intervient.
Cette règle décrit à merveille Fargo dans son intégralité. A de très nombreux moments on en vient à se dire que ça y est...tout semble finit...avant que l'un des personnages ne vienne changer complètement la donne. L'histoire va ainsi de rebondissements en rebondissements, et fait des postulats de base les plus simplistes...les origines de mésaventures incroyables.
Chaque épisode de Fargo vous surprendra, d'une façon ou d'une autre, et a aucun moment la série ne restera sur la voie et le dénouement qui semnle tracé.
Un petit mot sur la réalisation
De toutes les oeuvres présentées auparavant...Fargo est celle avec la mise en scène la plus dingue ! Entre les plans audacieux, les idées mises en place pour raconter cette histoire (avec un narrateur, une suite de plan visant à nous faire comprendre l'importance d'une situation...etc) on a affaire à un véritable travail d'auteur ! Noah Hawley s'est amusé dans cette série, se permettant moult extravagances qui rendent très très bien !
Au point de vue de la bande son on est sur du très très bon. Elle colle très bien avec l'ambiance générale de la série, et certains thèmes seront parvenus à me marquer...le travail est fait.
Mouais...pas convaincu...pourquoi tu l'aimes cette série ?
Faire une critique sur Fargo est très casse gueule...car rien ne saurait décrire cette série. Il faut la voir pour comprendre pourquoi je l'adule. Tout ce que je peux vous dire c’est que pour l'heure on est en face du meilleur scénario de série disponible.J'ai toujours du mal à croire qu'une telle histoire est pu germer dans l'esprit d'un homme, tout y est étroitement lié et le moindre geste d'un personnage est lourd de conséquence vis à vis d'un autre.
Je ne sais pas trop à qui conseiller cette oeuvre, elle pourra plaire à tous pour peu que l'on s'y intéresse un minimum. Je pense néanmoins qu'il faut accepter l'idée que la série prend parfois son temps...pour mieux nous retourner la tronche ensuite.
Et voilà qui finit cette case, l'oeuvre d'aujourd'hui ayant été la plus dure à présenter. J'espère que cela vous plaira et je vous laisse avec mes fameuses questions :
-Que penses-tu de ces nouvelles séries qui changent tout d'une saison à l'autre ?
-As-tu souvenir d'une oeuvre où la loi de Murphy était bien représentée ?
Une nouvelle fois bien peu de préambules en cette jour particulier, non la hâte de vous parler de l'oeuvre se fait bien trop forte. Aujourd'hui on va causer de vingt épisodes m'ayant retournés le crâne, d'une série s'affichant désormais fièrement en tête de mes séries préférées...
Et oui, il est venu le temps de Fargo.
16 Décembre : Loi d'emmerdement maximal.
Fargo, c'est quoi ?
Fargo ? Bah c'est une ville américaine.
Ah vous voulez savoir ce qu'est l'oeuvre Fargo ? Bah c'est un film réalisé par les frères Coen sortie en 1996.
Toujours pas ? Ah on parle de la série Fargo ! Ok c'est partis !
Fargo est une série qui a débutée en avril 2014 et qui est réalisée par Noah Hawley, basée en partit sur le film cité plus haut. la série se découpe en deux saisons, présentant deux histoires différentes jouées par des acteurs différents au cours d'époques différentes.
Si un genre devait être attribué à Fargo se serait le "Thriller Absurde"...mais on va dire que ça colle pas vraiment. La série nous dépeint des événements réalistes...mais avec à chaque fois des éléments venant bien souligner que c'est une fiction. Le réalisateur joue énormément avec ça, commençant chacun de ses épisodes par un encart stipulant que : "Ceci est une histoire vraie. Par égard pour les survivants les noms ont été changés. Le reste des faits a été raconté tel qu'ils se sont produis.
Pour cette critique je vais vous faire un résumé des deux saisons, parler du point commun scénaristique qui fait la force de la série....avant de vous dire pourquoi je l'aime à ce point.
La saison 1 ou le cercle des animaux
La première saison se déroule dans la petite ville de Bémidji. On y suit le quotidien de Lester Nygaard, un vendeur en assurance aux allures de loser et qui se fait rabaisser par sa femme. Au cours de l'une de ses très nombreuses journée de merde, il recroise une ancienne brute qui le victimisait plus jeune. Par sa faute, il termine à l’hôpital et tombe sur un bien étrange personnage. L'homme se fait appeler Lorne Malvo, et il va lui tenir un long discours sur ce qu'implique le fait d'être un homme.
Suite à un quiproquo...Lester va accepter la proposition d'assassinat que Lorne lui faisait. Lorne tuera la brute...et un flot d'emmerdes considérable tombera sur nos deux compères.
Le meilleur personnage que j'ai pu voir...
Si il y a bien une raison qui doit vous pousser à regarder Fargo...c'est son antagoniste : Lorne Malvo. C'est un assassin violent et manipulateur, laissant toujours planer le doute sur qui il est vraiment. Il voue un véritable culte aux accès de violence humains et fait tout son possible pour les provoquer. Il détient une mallette contenant enregistrements de ces accès de rages et de désespoir, et les écoute dès qu'il le peut.
Lorne quelqu'un de dangereux, par ses actes et se paroles il fera changer Lester...et l'amènera peu à peu vers la voie de la violence. Il justifie ses choix et ses actes par une myriade d'histoires illustrant les exemples qu'il cherche parfois à reproduire...et même à la fin de cette saison il y a bien des choses que l'on ignore sur lui.
La saison 2, ou la reproduction d'une guerre totale
La saison 2 se passe bien des années avant la première, et suit l'histoire de Lou Solverson. Tout juste rentré du Vietman, notre bonhomme se voit chargé d'une enquête sur un massacre étant survenu dans un restaurant. Le responsable de ce crime se nomme Rye Guehardt et se trouve être le fils d'une famille de malfrat allemands contrôlant une ferme de la région.
Le territoire de ces derniers semble intéresser de près une autre organisation de malfrat, et les deux familles entrent bien vite en guerre. La seule chose semblant capable d'arrêter tout ces massacre se trouve être l'intervention de notre chers Rye...mais...
Mais il est mort. Renversé par la voiture d'une jeune femme un peu perdue. Son mari et elle se retrouvent donc mêlés à une guerre les dépassant complètement, tandis que Lou cherche à démêler ce véritable paquet de nœud.
Les objectifs différents, la porte ouverte sur les problèmes
Véritable tour de force scénaristique, cette deuxième saison nous présente une myriade de personnages rudement bien construits...aux objectifs complètement différents les uns des autres. Ils ne cessent de rentrer en conflit et à aucun moment la série ne nous laisse confiant concernant leur avenir. On ne peut tout simplement pas deviner comment ces hommes étranges finiront tant leur ego et leurs désirs semblent se détruire entre eux.
Entre les deux familles voulant la pleine victoire, certains membres des deux camps nourrissant des ambitions bien plus personnelles, notre couple à la masse et les forces de l'ordre...c'est un véritable remue ménage que nous sert cette saison pleine de surprises.
La loi de Murphy n'a jamais été aussi bien représentée
La loi de Murphy, aussi appelée loi de l'emmerdement maximal, est une règle stipulant que durant une situation ayant plusieurs résolutions possibles...c'est toujours la pire qui intervient.
Cette règle décrit à merveille Fargo dans son intégralité. A de très nombreux moments on en vient à se dire que ça y est...tout semble finit...avant que l'un des personnages ne vienne changer complètement la donne. L'histoire va ainsi de rebondissements en rebondissements, et fait des postulats de base les plus simplistes...les origines de mésaventures incroyables.
Chaque épisode de Fargo vous surprendra, d'une façon ou d'une autre, et a aucun moment la série ne restera sur la voie et le dénouement qui semnle tracé.
Un petit mot sur la réalisation
De toutes les oeuvres présentées auparavant...Fargo est celle avec la mise en scène la plus dingue ! Entre les plans audacieux, les idées mises en place pour raconter cette histoire (avec un narrateur, une suite de plan visant à nous faire comprendre l'importance d'une situation...etc) on a affaire à un véritable travail d'auteur ! Noah Hawley s'est amusé dans cette série, se permettant moult extravagances qui rendent très très bien !
Au point de vue de la bande son on est sur du très très bon. Elle colle très bien avec l'ambiance générale de la série, et certains thèmes seront parvenus à me marquer...le travail est fait.
Mouais...pas convaincu...pourquoi tu l'aimes cette série ?
Faire une critique sur Fargo est très casse gueule...car rien ne saurait décrire cette série. Il faut la voir pour comprendre pourquoi je l'adule. Tout ce que je peux vous dire c’est que pour l'heure on est en face du meilleur scénario de série disponible.J'ai toujours du mal à croire qu'une telle histoire est pu germer dans l'esprit d'un homme, tout y est étroitement lié et le moindre geste d'un personnage est lourd de conséquence vis à vis d'un autre.
Je ne sais pas trop à qui conseiller cette oeuvre, elle pourra plaire à tous pour peu que l'on s'y intéresse un minimum. Je pense néanmoins qu'il faut accepter l'idée que la série prend parfois son temps...pour mieux nous retourner la tronche ensuite.
Et voilà qui finit cette case, l'oeuvre d'aujourd'hui ayant été la plus dure à présenter. J'espère que cela vous plaira et je vous laisse avec mes fameuses questions :
-Que penses-tu de ces nouvelles séries qui changent tout d'une saison à l'autre ?
-As-tu souvenir d'une oeuvre où la loi de Murphy était bien représentée ?
Re: Dans la tête de l'entêté
Et enfin l'arrivée de Fargo, une autre qu'on pouvait attendre de ta part!
Quand tu avais dis que le "mec" pousse les gens à commetre des crimes, je m'attendais à du surnaturel, un peu à la Death Note, mais visiblement, j'avais pas compris: c'est de la manipulation pure et simple, de ce que tu en dis.
-Je pense que le changement, c'est bien. ca evite de tomber dans uen routine qui fini, à force, par être lassante.
-Ouip: Eureka. Là où la bande de scientifique cause des soucis et choisissent toujours les pires solutions, le shérif "bas de plafond" arrive et résoud ça avec du scotch et un toupet pas possible! J'adore cette série, et j'ai trouvé dommage qu'elle n'ai pas eu droit à d'autres saisons.
Quand tu avais dis que le "mec" pousse les gens à commetre des crimes, je m'attendais à du surnaturel, un peu à la Death Note, mais visiblement, j'avais pas compris: c'est de la manipulation pure et simple, de ce que tu en dis.
-Je pense que le changement, c'est bien. ca evite de tomber dans uen routine qui fini, à force, par être lassante.
-Ouip: Eureka. Là où la bande de scientifique cause des soucis et choisissent toujours les pires solutions, le shérif "bas de plafond" arrive et résoud ça avec du scotch et un toupet pas possible! J'adore cette série, et j'ai trouvé dommage qu'elle n'ai pas eu droit à d'autres saisons.
Albynn- Le Respectable
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Localisation : Devant mon ordi! T'as cru quoi?
Re: Dans la tête de l'entêté
Hem... Pas grand chose à dire aujourd'hui, surtout que je n'ai pas vu la série. ^^'
Je sais pas si je la regarderais un jour, mais elle m'a l'ai intéressante, de ce que j'ai lut. ^^
Questions :
-Pareil que Bybyn, mais avec une réserve : si c'est bien amener, et que ça reste quand même cohérent. Et si l'histoire ne part pas trop en n'importe quoi, aussi. ^^'
-Et... Non, aucune malheureusement. Donc pour le coup, sans réponse à cette question, désolé. ^^'
Je sais pas si je la regarderais un jour, mais elle m'a l'ai intéressante, de ce que j'ai lut. ^^
Questions :
-Pareil que Bybyn, mais avec une réserve : si c'est bien amener, et que ça reste quand même cohérent. Et si l'histoire ne part pas trop en n'importe quoi, aussi. ^^'
-Et... Non, aucune malheureusement. Donc pour le coup, sans réponse à cette question, désolé. ^^'
Shiki Van Shërza- Les Fondateurs
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Localisation : Sufokia
Re: Dans la tête de l'entêté
De retour pour une nouvelle critique, je les enchaîne depuis 17 jours maintenant et suis le premier surprit à l'idée d'avoir encore pas mal de choses à vous présenter. On retourne sur les oeuvres papier aujourd'hui et on va parler d'une production française pour le coup !
Oh je vous vois déjà vous trémousser en tentant d'imaginer de quel bande dessinée je vais vous parler...sauf que je ne vais pas parler de ce média là. Et non aujourd'hui on va parler d'un mangas français que vous connaissez peut-être, l'une des oeuvres préféré de notre chers Ihephe...
Aujourd'hui c'est Dreamland !
17 Décembre : Phobies au pays des rêves
Oui oui, on parle bien d'un mangas Français
Qu'on se le dise...les mangas sont avant tout des oeuvres localisés au pays du soleil levant. La plupart des grands mangaka s'y trouvent et il est bien rare de voir de tels oeuvres être produites en dehors de leur pays d'origine. Et pourtant...depuis quelques années certains mangas ont émergés en France, et comble du bonheur : ils sont pour certain vraiment bien !
J'aurais pu vous parler de City Hall, uchronie géniale usant à merveille de personnages historiques...mais j'ai préféré m'arrêter sur ce que j'estime être la plus grande oeuvre Française dans ce milieu !
Dreamland est donc un mangas dessiné par un Montpelliérain du nom de Reno Lemaire ayant débuté sa publication en 2006. Il se compose pour l'heure de 14 volumes et est toujours en cours de publication. Il est très souvent considéré comme étant le fer de lance du mouvement "Manfra" (pour MANgas FRAnçais).
Une nouvelle histoire sur le pays des rêves
Comme son nom l'indique, Dreamland nous dépeint une histoire se déroulant dans le monde fantastique que forment nos rêves.
Chaque personne, lorsqu'elle s'endort, atterrit dans là-bas et y passe la nuit. Si la plupart du temps à leur réveille ils ne se souviennent plus de grand choses, certains d'entres eux peuvent devenir des "Voyageur" : Des personnes capables de s'aventurer pleinement dans ce monde et d'en garder tous les souvenirs.
Nous suivons le jeune Terrence, un lycéen un brin paumé ne possédant pas de grands buts dans la vie. Menant une vie des plus paisible, il va finalement devenir un voyageur et va découvrir un monde incroyable. Se formant un groupe d'ami sur place, il décide de partir en direction d'une terre de légende nommée Edenia...le monde où iraient les âmes des défunt. Il espère retrouver sa mère là-bas, celle-ci étant morte dans un incendie bien des années auparavant .
Un univers génial !
Dreamland possède un monde savamment orchestré. Se découpant en plusieurs grandes zones et regroupant des royaumes thématiques, l'oeuvre nous offre une multitude de décors qui auraient pu se trouver dans nos rêves.
La façon de devenir un Voyageur est également très intéressante, se basant sur la notion de Phobie. Ainsi, quand un rêveur parvient à dépasser sa phobie au cour de l'un de ses cauchemars...il devient alors un Voyageur possédant un pouvoir lié à cette phobie. Terrence étant pyrophobe (phobie du feu pour rappel) en devenant voyageur il acquiert la capacité de manier les flammes. Cette notion de surpassement de ses craintes à quelque chose d'assez poétique, et il est drôle de penser que ses faiblesses deviennent ainsi une force.
Le monde des rêves à également sa propre histoire et de nombreuses créatures fantastiques y vivent. On retrouve ainsi les grands seigneurs des rêves, dont la puissance dépend du nombre de personnes qui les adulent (par exemple le seigneur des rêves Midas est l'un des plus puissant, celui-ci régnant sur le royaume de l'argent). Face à eux se trouvent les seigneurs des cauchemars...les deux camps se livrant une lutte acharnée.
C'est donc un mélange de guerres incroyables et de destins de grands voyageurs que nous propose Reno...et il faut bien avouer que le tout est très bien amené.
Un mangas drôle et pourtant venant poser de bonnes questions
Dreamland est tout bonnement hilarant. Entre ses personnages caricaturaux formant la bande de Terrence (le paumé, le dragueur, la bimbo et le drogué flemmard), ses répliques cultes et ses pouvoirs débiles (donnant lieux à de grandes interrogations du genre : "Comment peut-on avoir la phobie des casseroles...?") on ne s'ennuie jamais en lisant le mangas.
L'oeuvre vient également nous représenter le quotidien de nos protagonistes au sein du monde réel, nous permettant ainsi de les voir sous un autre angle. Et là l'oeuvre vire pour moi au génie, en nous offrant une véritable métaphore du conflit opposant le réel aux rêves. Plus l'oeuvre avance et plus il devient évident que certaines personnes (Terrence en tête) se désintéressent complètement de leur vie pour s'accomplir pleinement au sein du monde onirique. Ils abandonnent parfois relations et avenir en ne se vouant qu'à leur quête irréelle...bien que très réaliste pour eux.
Le réel viendra de nombreuses fois influencer sur le déroulement de la quête de nos protagonistes au sein du monde des rêves, et l'inverse se produira parfois. C'est un tour de force que d'avoir réfléchit à une histoire aussi bien fichue, tout en la rendant des plus accessible.
Des personnages...dingues
Les personnages de Dreamland, et leurs relations, sont extrêmement bien maîtrisés. On parvient à s'attacher à chaque personnage qui nous est représenté, et l'oeuvre nous délivre des antagonistes de qualité.
C'est le cas de Shun...un personnage particulièrement bien construit (mais nous y reviendrons un peu plus tard voulez-vous). Ce monde recèle de nombreuses légendes et de personnages énigmatiques, et plus les tomes passent...plus le nombre de personnages devient impressionnant.
Chacun ayant leurs buts, leurs forces et leurs faiblesses...et l'éventail est large. Nous avons des rois venant s'effondrer lorsqu'ils apprennent la vérité sur leur état, les grands guerriers manipulés, le numéros un portant ce titre comme sa croix personnelle, les seigneurs des rêves aux ambitions démesurées...et Toro Picana (Le personnage le plus cool et le plus étrange de l'oeuvre entière).
Point de vue dessin
Autant le dire tout de suite, les premiers tomes risquent de ne pas vous donner envie. Le style de dessin, bien que parfaitement lisible, est assez basique durant le premier arc. Mais à mesure que la série continue, Reno Lemaire s'améliore. Les derniers tomes possèdent un style vraiment beau, et l'auteur se permet même certaines pages en couleur.
Il faudra une nouvelle fois faire abstraction des graphismes au début, la suite étant vraiment largement mieux je vous le promet. Reno expérimente pas mal, que se soit au niveau du remplissage ou du découpage de ses cases...nous offrant ainsi une oeuvre se voulant assez unique.
Dreamland, pourquoi ? Dreamland pour qui ?
Dreamland est une oeuvre grand public qui saura plaire au plus grand nombre. Je pense que tout le monde saura y trouver son compte, et en s'intéressant un peu à tout ce que ce Mangas peut soulever comme thème il y a matière à faire. Le rythme de parussions assez chaotiques est néanmoins un problème avec le quel il va falloir vivre, mais en général après de nombreux mois d'attente le nouveau tome comble toujours nos attentes. Je vous le conseille avec grande joie, c'est du tout bon.
Et voici qui clôt cette case, on se retrouve demain pour la prochaine ! Comme d'habitude je vous pose mes questions (dont je lis toujours les réponses avec assiduité).
-Et toi si tu étais dans Dreamland quel serait ton pouvoir ?
-Quel royaume aimerais-tu visiter, que chercherais-tu à y faire ?
-Te souviens-tu d'un rêve qui t'as marqué ?
Oh je vous vois déjà vous trémousser en tentant d'imaginer de quel bande dessinée je vais vous parler...sauf que je ne vais pas parler de ce média là. Et non aujourd'hui on va parler d'un mangas français que vous connaissez peut-être, l'une des oeuvres préféré de notre chers Ihephe...
Aujourd'hui c'est Dreamland !
17 Décembre : Phobies au pays des rêves
Oui oui, on parle bien d'un mangas Français
Qu'on se le dise...les mangas sont avant tout des oeuvres localisés au pays du soleil levant. La plupart des grands mangaka s'y trouvent et il est bien rare de voir de tels oeuvres être produites en dehors de leur pays d'origine. Et pourtant...depuis quelques années certains mangas ont émergés en France, et comble du bonheur : ils sont pour certain vraiment bien !
J'aurais pu vous parler de City Hall, uchronie géniale usant à merveille de personnages historiques...mais j'ai préféré m'arrêter sur ce que j'estime être la plus grande oeuvre Française dans ce milieu !
Dreamland est donc un mangas dessiné par un Montpelliérain du nom de Reno Lemaire ayant débuté sa publication en 2006. Il se compose pour l'heure de 14 volumes et est toujours en cours de publication. Il est très souvent considéré comme étant le fer de lance du mouvement "Manfra" (pour MANgas FRAnçais).
Une nouvelle histoire sur le pays des rêves
Comme son nom l'indique, Dreamland nous dépeint une histoire se déroulant dans le monde fantastique que forment nos rêves.
Chaque personne, lorsqu'elle s'endort, atterrit dans là-bas et y passe la nuit. Si la plupart du temps à leur réveille ils ne se souviennent plus de grand choses, certains d'entres eux peuvent devenir des "Voyageur" : Des personnes capables de s'aventurer pleinement dans ce monde et d'en garder tous les souvenirs.
Nous suivons le jeune Terrence, un lycéen un brin paumé ne possédant pas de grands buts dans la vie. Menant une vie des plus paisible, il va finalement devenir un voyageur et va découvrir un monde incroyable. Se formant un groupe d'ami sur place, il décide de partir en direction d'une terre de légende nommée Edenia...le monde où iraient les âmes des défunt. Il espère retrouver sa mère là-bas, celle-ci étant morte dans un incendie bien des années auparavant .
Un univers génial !
Dreamland possède un monde savamment orchestré. Se découpant en plusieurs grandes zones et regroupant des royaumes thématiques, l'oeuvre nous offre une multitude de décors qui auraient pu se trouver dans nos rêves.
La façon de devenir un Voyageur est également très intéressante, se basant sur la notion de Phobie. Ainsi, quand un rêveur parvient à dépasser sa phobie au cour de l'un de ses cauchemars...il devient alors un Voyageur possédant un pouvoir lié à cette phobie. Terrence étant pyrophobe (phobie du feu pour rappel) en devenant voyageur il acquiert la capacité de manier les flammes. Cette notion de surpassement de ses craintes à quelque chose d'assez poétique, et il est drôle de penser que ses faiblesses deviennent ainsi une force.
Le monde des rêves à également sa propre histoire et de nombreuses créatures fantastiques y vivent. On retrouve ainsi les grands seigneurs des rêves, dont la puissance dépend du nombre de personnes qui les adulent (par exemple le seigneur des rêves Midas est l'un des plus puissant, celui-ci régnant sur le royaume de l'argent). Face à eux se trouvent les seigneurs des cauchemars...les deux camps se livrant une lutte acharnée.
C'est donc un mélange de guerres incroyables et de destins de grands voyageurs que nous propose Reno...et il faut bien avouer que le tout est très bien amené.
Un mangas drôle et pourtant venant poser de bonnes questions
Dreamland est tout bonnement hilarant. Entre ses personnages caricaturaux formant la bande de Terrence (le paumé, le dragueur, la bimbo et le drogué flemmard), ses répliques cultes et ses pouvoirs débiles (donnant lieux à de grandes interrogations du genre : "Comment peut-on avoir la phobie des casseroles...?") on ne s'ennuie jamais en lisant le mangas.
L'oeuvre vient également nous représenter le quotidien de nos protagonistes au sein du monde réel, nous permettant ainsi de les voir sous un autre angle. Et là l'oeuvre vire pour moi au génie, en nous offrant une véritable métaphore du conflit opposant le réel aux rêves. Plus l'oeuvre avance et plus il devient évident que certaines personnes (Terrence en tête) se désintéressent complètement de leur vie pour s'accomplir pleinement au sein du monde onirique. Ils abandonnent parfois relations et avenir en ne se vouant qu'à leur quête irréelle...bien que très réaliste pour eux.
Le réel viendra de nombreuses fois influencer sur le déroulement de la quête de nos protagonistes au sein du monde des rêves, et l'inverse se produira parfois. C'est un tour de force que d'avoir réfléchit à une histoire aussi bien fichue, tout en la rendant des plus accessible.
Des personnages...dingues
Les personnages de Dreamland, et leurs relations, sont extrêmement bien maîtrisés. On parvient à s'attacher à chaque personnage qui nous est représenté, et l'oeuvre nous délivre des antagonistes de qualité.
C'est le cas de Shun...un personnage particulièrement bien construit (mais nous y reviendrons un peu plus tard voulez-vous). Ce monde recèle de nombreuses légendes et de personnages énigmatiques, et plus les tomes passent...plus le nombre de personnages devient impressionnant.
Chacun ayant leurs buts, leurs forces et leurs faiblesses...et l'éventail est large. Nous avons des rois venant s'effondrer lorsqu'ils apprennent la vérité sur leur état, les grands guerriers manipulés, le numéros un portant ce titre comme sa croix personnelle, les seigneurs des rêves aux ambitions démesurées...et Toro Picana (Le personnage le plus cool et le plus étrange de l'oeuvre entière).
Point de vue dessin
Autant le dire tout de suite, les premiers tomes risquent de ne pas vous donner envie. Le style de dessin, bien que parfaitement lisible, est assez basique durant le premier arc. Mais à mesure que la série continue, Reno Lemaire s'améliore. Les derniers tomes possèdent un style vraiment beau, et l'auteur se permet même certaines pages en couleur.
Il faudra une nouvelle fois faire abstraction des graphismes au début, la suite étant vraiment largement mieux je vous le promet. Reno expérimente pas mal, que se soit au niveau du remplissage ou du découpage de ses cases...nous offrant ainsi une oeuvre se voulant assez unique.
Dreamland, pourquoi ? Dreamland pour qui ?
Dreamland est une oeuvre grand public qui saura plaire au plus grand nombre. Je pense que tout le monde saura y trouver son compte, et en s'intéressant un peu à tout ce que ce Mangas peut soulever comme thème il y a matière à faire. Le rythme de parussions assez chaotiques est néanmoins un problème avec le quel il va falloir vivre, mais en général après de nombreux mois d'attente le nouveau tome comble toujours nos attentes. Je vous le conseille avec grande joie, c'est du tout bon.
Et voici qui clôt cette case, on se retrouve demain pour la prochaine ! Comme d'habitude je vous pose mes questions (dont je lis toujours les réponses avec assiduité).
-Et toi si tu étais dans Dreamland quel serait ton pouvoir ?
-Quel royaume aimerais-tu visiter, que chercherais-tu à y faire ?
-Te souviens-tu d'un rêve qui t'as marqué ?
Re: Dans la tête de l'entêté
Ayant été absent pour la case précédente, je vais me rattraper et donc poster deux réponses.
Case du 16 Décembre: Fargo.
Aaaah...Fargo. Ca aussi, ça fait depuis un bon moment que tu nous le présente, et personnellement je n'ai jamais su ce qui te faisait tant kiffer la série...du moins, jusqu'à ce que je lise ton analyse.
Donc une série mettant en scène des personnages rudement bien construits, et le fameux Lorne Malvo que tu nous a présenté maintes fois. Effectivement, on comprend mieux la structure d'un méchant bien travaillé (si on fait par analogie aux "méchants" sur le RP d'Astrub, cf nos discussions antérieures.)
Mais...ce Malvo n'est pas développé encore plus...voir il n'est même pas présent dans la saison 2? (Si c'est vrai, c'est dommage...)
Réponses:
-Qu'il y ait du changement, c'est cool à condition qu'il ne soit pas global, auquel cas ça peut perturber fortement le lecteur.
-Hmm...ça dépend, mais je pense que la loi de Murphy est un minimum présente dans le jeu Until Dawn, en plus de l'effet papillon. Tes choix peuvent faire prendre le pire scénario possible...donc bon.
*************************************************
Case du 17 Décembre: Dreamland.
J'aime bien le principe d'obtenir ses pouvoirs en surpassant nos phobies!
Ca donne un effet de "ma faiblesse devient ma force", c'est intéressant.
C'est appréciable aussi de voir que ça se base sur un principe de monde onirique (personnellement, c'est une des choses que j'aime le plus).
Réponses:
-Et bien, étant Apiphobe, j'aurai donc le pouvoir de contrôler des essaims de guêpes et de frelons. Ce qui, au passage, peut être super bourrin.
-Connaissant pas le manga Dreamland, et par conséquent tous les constituants de son monde...bah je peux pas répondre.
-Pleins de rêves m'ont marqué, mais là actuellement j'ai du mal à m'en souvenir en détail.
Case du 16 Décembre: Fargo.
Aaaah...Fargo. Ca aussi, ça fait depuis un bon moment que tu nous le présente, et personnellement je n'ai jamais su ce qui te faisait tant kiffer la série...du moins, jusqu'à ce que je lise ton analyse.
Donc une série mettant en scène des personnages rudement bien construits, et le fameux Lorne Malvo que tu nous a présenté maintes fois. Effectivement, on comprend mieux la structure d'un méchant bien travaillé (si on fait par analogie aux "méchants" sur le RP d'Astrub, cf nos discussions antérieures.)
Mais...ce Malvo n'est pas développé encore plus...voir il n'est même pas présent dans la saison 2? (Si c'est vrai, c'est dommage...)
Réponses:
-Qu'il y ait du changement, c'est cool à condition qu'il ne soit pas global, auquel cas ça peut perturber fortement le lecteur.
-Hmm...ça dépend, mais je pense que la loi de Murphy est un minimum présente dans le jeu Until Dawn, en plus de l'effet papillon. Tes choix peuvent faire prendre le pire scénario possible...donc bon.
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Case du 17 Décembre: Dreamland.
J'aime bien le principe d'obtenir ses pouvoirs en surpassant nos phobies!
Ca donne un effet de "ma faiblesse devient ma force", c'est intéressant.
C'est appréciable aussi de voir que ça se base sur un principe de monde onirique (personnellement, c'est une des choses que j'aime le plus).
Réponses:
-Et bien, étant Apiphobe, j'aurai donc le pouvoir de contrôler des essaims de guêpes et de frelons. Ce qui, au passage, peut être super bourrin.
-Connaissant pas le manga Dreamland, et par conséquent tous les constituants de son monde...bah je peux pas répondre.
-Pleins de rêves m'ont marqué, mais là actuellement j'ai du mal à m'en souvenir en détail.
Bluefox82- L’Utopiste
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Localisation : Dans mon humble demeure, ou dans une auberge quelconque, tant que je peux boire et écouter les bardes.
Re: Dans la tête de l'entêté
DREAMLAND! Un truc! Que je connais! Enfin, joie, alégresse, yahou!
Et étant une grande réveuse, j'adoooore ce manga, il me parle autant que Sword art Online!
Et toi si tu étais dans Dreamland quel serait ton pouvoir ?
-Quel royaume aimerais-tu visiter, que chercherais-tu à y faire ?
-Te souviens-tu d'un rêve qui t'as marqué ?
Mon pouvoir... Dommage qu'on puisse pas choisir. J'ai relativement peur facilement, mais si je prend le mot "phobie" au sens propre (peur incontrolée et rarement raisonnable), je dirais les bestioles de mers. (J'ai toujours l'impression qu'ils sont vivants, avec leur petits yeux noirs qui se ferment pas, brrrrr)
Je serais un Savane Donelli bis, probablement. Je trouve ça un peu zarbi, personellement. XD
M'enfin brefouille. Je ferais fureur dans les apéros chics. "PLUIE DE CREVETTES MAYONNAISE!" *om nomnom*
Hmmmm... Un royaume de reve à visiter... je dirais, soit le royaume céleste, parce qu'il a l'air mystérieux et peu connu, ou le royaume des chats. Le premier, pour l'envie de découverte, les second... PARCE QUE CHATS! *ronron*
.....Houuuuu, mauvaise question, la troisième. J'en ai pleiiiinnnns!
Mais genre. Pleins pleins pleins. Comme j'ai dis plus haut, la vie m'était trop chiante et moche, alors je me suis réfugiée dans mes rêves. Je me souvenais bien plus souvent de mes rêves que n'importe qui d'autre. Je vais en mentionné une petite liste, tiens.
Un de mes plus vieux est une attaque d'alien dans une cage d'escaliers. Les alien étaient ceux d'une film célèbre que j'ai pas vu, ceux avec une tête toute rallongée. (merci les potes de l'école et leur images!)
Un autre vieux, c'est celui où le royaume des enfers est une énorme boule de magma qui coule dans la mer, et où je dois rentrer en effraction pour sortir les gens envoyés là bas par erreur, et où mon groupe et moi embarquons donc dans un sous marin avec une perceuse et une princesse japonais incognito dans le groupe.
J'ai eu plusieurs rêves types "try again". Le rêve débute, je finis par crever par un mauvais choix, j'ai un game over, et je recommence avec un autre chemin. Le premier du genre dont je me rappel bien est un endroit dont je dois partir à tout prix (invasions de Huns à dos de dinosaure dans un complexe scientifique en Amazonie, faut pas chercher.)
J'ai même fais un rêves où je suis un garçon. Plus exactement, un garçon d'une dizaine d'années et je commande un vaisseau qui atterris sur une planète inconnue, dont tout mes collègues précédents ne sont pas revenus. J'ai une peluche type girafe qui me sert de clef (bah oui, à 10 ans, tu veille sur tes peluches donc "nos" super scientifique ont trouvé ça pour éviter qu'on n'y fasse pas attention.). Je me crash dessus, puis je me réveil dans un espèce d’hôpital, je déambule en découvrant des scientifique et médecins qui ressemblent à mon espèce humaine, et je cherche mon vaisseau. Je finis ensuite par découvrir qu'on me prend pour un dieu, car toutes les anciennes peluches de mes collègues crashés servent d'idole de culte, et donc on veut pas que je me tire, etc. La bonne merde, quoi.
Dans un autre, je suis sur une planète fantaisie type Avatar le film, mais les habitants sont humains et se battent à l'épée. Je suis une surdouée mais je dois faire mes preuves, et je suis donc en "classe" de survie. Un collègue voit que j'écoute pas, il m'emmerde, prend son épée neuve super jolie et m'attaque, et je l’arrête et l’expose d'une main avec ma vieille épée rouillée parce que "mon vieux sabre est peut-être rouillé, mais il a fait ses preuves, lui."
Dans un autre qui est en fait une série, et dont j'ai commencé à faire des bouquins, j'incarne Allia, une jeune fille, et j'aide un scientifique qui met au point une machine pratique à base de sons, en montagne. J'habite dans un hôtel abandonné, avec d'autres enfants, et un jour, la mafia envoi ses gorilles nous chercher, le scientifique, la machien et moi, et on se débarrasse d'eux en les faisant tomber dans l'escalier avant que les flics arrivent.
Dans la suite de cette série, qui est en fait le prélude, je suis Allia dans son pays d'origine, et les Ombres m'appellent, disant que je dois les aider. La lumière les grignotte, car le monde moderne met de plus en plus de lumière et renie le noir, causant la disparition de l'ombre partout, et je dois venir les voir chez eux pour faire fuir la lumière qui envahis leur monde.
Et toujours dans cette série avec Allia, Allia est en voyage et gagne des rollers qui l'aident à planer, mais dans la ville, des momies et des gardes en vieille armure d'or se promènent, rappelant une prophétie teintée de sang. Les gardes enlèvent les amies d'Allia, qui va au temple des "revenants" (en évitant les fosses aux crocodiles et les chutes de scorpions du plafond) et découvre qu'il s'agit "juste" de son ennemi, le chef mafieux de l'épisode précédent, voulant se venger de sa défaite.
J'ai aussi une poursuite par deux pervers alors que je me promenais en maillot dans une oasis.
J'ai, à mes débuts de roleplay, un rêve où Alb dors dans son lit (la chambre est identique à la mienne), et pour le sauver de ses soucis, je l'enlève et saute avec par la fenetre en mode "ninja style" sur une joli fond de nuit et une grosse lune blanche.
Et aussi un reve X de roleplay, mais ça, tu sais déjà! XD (Non non je n'ai absolument pas rêvé d'un moment chaud entre Alb, Lenz fille et Idéal, je NIE!!)
Quoi d'autre encore... ha oui, Jean. Celle là, je vais juste parler du début, c'est une nouvelle que j'aime beaucoup, il faudra que je la finisse. Une des rares que j'ai à la 3eme personne.
Jean est un rebelle qui refuse que son peuple soit assujettis, ils vivent dans la jungle, mais leur habitat est envahis, et leur peuple, enchainé. Il rassemble alors les derniers survivants, les déguise en militaire ennemis, traverse les rangs ennemi, et se dirige vers la Plaine inconnue. Une plaine vide, étendue à des milliers de kilomètres, hostiles as fuck, bref, personne n'y met jamais les pieds. Ils fait traverser son peuple, et les emmène dans une plaine paradisiaque, à des lieux derrière les plaines... Et je m’arrête là \o/ Je dirais juste que la fin était couuuuuuuuuul. Faut que je l'écrive en entière, elle vaut le coup.
Hmmm... Là comme ça, c'est tout. Mais c'est pas mal quand même. \o/
Ho, si. J'ai fais un rêve où j'étais Kilari et où je devait échanger ma voix contre ce que j'ai de plus cher. Avec un échange dans un hangar chelou.
Voili voilà. Je vais m’arrêter là, hein! XD
Et étant une grande réveuse, j'adoooore ce manga, il me parle autant que Sword art Online!
Et toi si tu étais dans Dreamland quel serait ton pouvoir ?
-Quel royaume aimerais-tu visiter, que chercherais-tu à y faire ?
-Te souviens-tu d'un rêve qui t'as marqué ?
Mon pouvoir... Dommage qu'on puisse pas choisir. J'ai relativement peur facilement, mais si je prend le mot "phobie" au sens propre (peur incontrolée et rarement raisonnable), je dirais les bestioles de mers. (J'ai toujours l'impression qu'ils sont vivants, avec leur petits yeux noirs qui se ferment pas, brrrrr)
Je serais un Savane Donelli bis, probablement. Je trouve ça un peu zarbi, personellement. XD
M'enfin brefouille. Je ferais fureur dans les apéros chics. "PLUIE DE CREVETTES MAYONNAISE!" *om nomnom*
Hmmmm... Un royaume de reve à visiter... je dirais, soit le royaume céleste, parce qu'il a l'air mystérieux et peu connu, ou le royaume des chats. Le premier, pour l'envie de découverte, les second... PARCE QUE CHATS! *ronron*
.....Houuuuu, mauvaise question, la troisième. J'en ai pleiiiinnnns!
Mais genre. Pleins pleins pleins. Comme j'ai dis plus haut, la vie m'était trop chiante et moche, alors je me suis réfugiée dans mes rêves. Je me souvenais bien plus souvent de mes rêves que n'importe qui d'autre. Je vais en mentionné une petite liste, tiens.
Un de mes plus vieux est une attaque d'alien dans une cage d'escaliers. Les alien étaient ceux d'une film célèbre que j'ai pas vu, ceux avec une tête toute rallongée. (merci les potes de l'école et leur images!)
Un autre vieux, c'est celui où le royaume des enfers est une énorme boule de magma qui coule dans la mer, et où je dois rentrer en effraction pour sortir les gens envoyés là bas par erreur, et où mon groupe et moi embarquons donc dans un sous marin avec une perceuse et une princesse japonais incognito dans le groupe.
J'ai eu plusieurs rêves types "try again". Le rêve débute, je finis par crever par un mauvais choix, j'ai un game over, et je recommence avec un autre chemin. Le premier du genre dont je me rappel bien est un endroit dont je dois partir à tout prix (invasions de Huns à dos de dinosaure dans un complexe scientifique en Amazonie, faut pas chercher.)
J'ai même fais un rêves où je suis un garçon. Plus exactement, un garçon d'une dizaine d'années et je commande un vaisseau qui atterris sur une planète inconnue, dont tout mes collègues précédents ne sont pas revenus. J'ai une peluche type girafe qui me sert de clef (bah oui, à 10 ans, tu veille sur tes peluches donc "nos" super scientifique ont trouvé ça pour éviter qu'on n'y fasse pas attention.). Je me crash dessus, puis je me réveil dans un espèce d’hôpital, je déambule en découvrant des scientifique et médecins qui ressemblent à mon espèce humaine, et je cherche mon vaisseau. Je finis ensuite par découvrir qu'on me prend pour un dieu, car toutes les anciennes peluches de mes collègues crashés servent d'idole de culte, et donc on veut pas que je me tire, etc. La bonne merde, quoi.
Dans un autre, je suis sur une planète fantaisie type Avatar le film, mais les habitants sont humains et se battent à l'épée. Je suis une surdouée mais je dois faire mes preuves, et je suis donc en "classe" de survie. Un collègue voit que j'écoute pas, il m'emmerde, prend son épée neuve super jolie et m'attaque, et je l’arrête et l’expose d'une main avec ma vieille épée rouillée parce que "mon vieux sabre est peut-être rouillé, mais il a fait ses preuves, lui."
Dans un autre qui est en fait une série, et dont j'ai commencé à faire des bouquins, j'incarne Allia, une jeune fille, et j'aide un scientifique qui met au point une machine pratique à base de sons, en montagne. J'habite dans un hôtel abandonné, avec d'autres enfants, et un jour, la mafia envoi ses gorilles nous chercher, le scientifique, la machien et moi, et on se débarrasse d'eux en les faisant tomber dans l'escalier avant que les flics arrivent.
Dans la suite de cette série, qui est en fait le prélude, je suis Allia dans son pays d'origine, et les Ombres m'appellent, disant que je dois les aider. La lumière les grignotte, car le monde moderne met de plus en plus de lumière et renie le noir, causant la disparition de l'ombre partout, et je dois venir les voir chez eux pour faire fuir la lumière qui envahis leur monde.
Et toujours dans cette série avec Allia, Allia est en voyage et gagne des rollers qui l'aident à planer, mais dans la ville, des momies et des gardes en vieille armure d'or se promènent, rappelant une prophétie teintée de sang. Les gardes enlèvent les amies d'Allia, qui va au temple des "revenants" (en évitant les fosses aux crocodiles et les chutes de scorpions du plafond) et découvre qu'il s'agit "juste" de son ennemi, le chef mafieux de l'épisode précédent, voulant se venger de sa défaite.
J'ai aussi une poursuite par deux pervers alors que je me promenais en maillot dans une oasis.
J'ai, à mes débuts de roleplay, un rêve où Alb dors dans son lit (la chambre est identique à la mienne), et pour le sauver de ses soucis, je l'enlève et saute avec par la fenetre en mode "ninja style" sur une joli fond de nuit et une grosse lune blanche.
Et aussi un reve X de roleplay, mais ça, tu sais déjà! XD (Non non je n'ai absolument pas rêvé d'un moment chaud entre Alb, Lenz fille et Idéal, je NIE!!)
Quoi d'autre encore... ha oui, Jean. Celle là, je vais juste parler du début, c'est une nouvelle que j'aime beaucoup, il faudra que je la finisse. Une des rares que j'ai à la 3eme personne.
Jean est un rebelle qui refuse que son peuple soit assujettis, ils vivent dans la jungle, mais leur habitat est envahis, et leur peuple, enchainé. Il rassemble alors les derniers survivants, les déguise en militaire ennemis, traverse les rangs ennemi, et se dirige vers la Plaine inconnue. Une plaine vide, étendue à des milliers de kilomètres, hostiles as fuck, bref, personne n'y met jamais les pieds. Ils fait traverser son peuple, et les emmène dans une plaine paradisiaque, à des lieux derrière les plaines... Et je m’arrête là \o/ Je dirais juste que la fin était couuuuuuuuuul. Faut que je l'écrive en entière, elle vaut le coup.
Hmmm... Là comme ça, c'est tout. Mais c'est pas mal quand même. \o/
Ho, si. J'ai fais un rêve où j'étais Kilari et où je devait échanger ma voix contre ce que j'ai de plus cher. Avec un échange dans un hangar chelou.
Voili voilà. Je vais m’arrêter là, hein! XD
Albynn- Le Respectable
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Localisation : Devant mon ordi! T'as cru quoi?
Re: Dans la tête de l'entêté
Dans la mesure où je suis mentionné que je ne peux que laisser une réponse
Oui, clairement Dreamland est le phare du "Manfra", l'un des précurseurs même ! Ce manga est tout bonnement génial !
Au passage si vous chercher d'autre manga français faut aller voir du côté d'ankama éditions, ils sont pas mauvais les bougres, notamment Radiant de Tony Valente qui a d'ailleurs eu le droit a une publication Jap ( c'est dire le niveau) Dreamland a faillit être publié au Japon mais a cause d'une certaine scène contenant de la nudité ça ne c'est pas fait ( ce qui est absurde de la part de japonais et de leurs fétiche de poulpe X') )
Pour ce qui est du temps d'attente, la publication est annuel, Reno voudrait faire mieux mais il ne peut pas faute de moyen, ce qui est vraiment dommage mais l'histoire envoie tellement du pâté que ça vaut l'attente !
Ah, et ce que tu dis pour le style graphique des premiers tomes n'est plus valable, pour la sortie européenne ( ou Allemande je sais plus), les tomes 1 a 3 ont été totalement refait, c'est bien pour les nouveaux lecteurs et pour attirer de nouveaux fan mais je trouve ça un peu dommage parce que du coup on ne se rend plus compte de la progression de l'auteur ( J'aurais personnellement préféré avoir les premiers éditions plutôt que les nouvelles mais bon)
-Et toi si tu étais dans Dreamland quel serait ton pouvoir ?
Comme Nico probablement, apiphobe power !
-Quel royaume aimerais-tu visiter, que chercherais-tu à y faire ?
Délirium city ! C'est trop la classe !
-Te souviens-tu d'un rêve qui t'as marqué ?
C'est pas un rêve mais plutôt un cauchemar que je faisais plus jeune, dans un sens j'aimais bien ce cauchemar car je le faisait a chaque fois, je dis bien a chaque fois que j'allais être malade ! C'était dingue, tu pouvais être sûre que le lendemain ou le jour d'après j'allais me taper une fièvre a 39/40°C
Oui, clairement Dreamland est le phare du "Manfra", l'un des précurseurs même ! Ce manga est tout bonnement génial !
Au passage si vous chercher d'autre manga français faut aller voir du côté d'ankama éditions, ils sont pas mauvais les bougres, notamment Radiant de Tony Valente qui a d'ailleurs eu le droit a une publication Jap ( c'est dire le niveau) Dreamland a faillit être publié au Japon mais a cause d'une certaine scène contenant de la nudité ça ne c'est pas fait ( ce qui est absurde de la part de japonais et de leurs fétiche de poulpe X') )
Pour ce qui est du temps d'attente, la publication est annuel, Reno voudrait faire mieux mais il ne peut pas faute de moyen, ce qui est vraiment dommage mais l'histoire envoie tellement du pâté que ça vaut l'attente !
Ah, et ce que tu dis pour le style graphique des premiers tomes n'est plus valable, pour la sortie européenne ( ou Allemande je sais plus), les tomes 1 a 3 ont été totalement refait, c'est bien pour les nouveaux lecteurs et pour attirer de nouveaux fan mais je trouve ça un peu dommage parce que du coup on ne se rend plus compte de la progression de l'auteur ( J'aurais personnellement préféré avoir les premiers éditions plutôt que les nouvelles mais bon)
-Et toi si tu étais dans Dreamland quel serait ton pouvoir ?
Comme Nico probablement, apiphobe power !
-Quel royaume aimerais-tu visiter, que chercherais-tu à y faire ?
Délirium city ! C'est trop la classe !
-Te souviens-tu d'un rêve qui t'as marqué ?
C'est pas un rêve mais plutôt un cauchemar que je faisais plus jeune, dans un sens j'aimais bien ce cauchemar car je le faisait a chaque fois, je dis bien a chaque fois que j'allais être malade ! C'était dingue, tu pouvais être sûre que le lendemain ou le jour d'après j'allais me taper une fièvre a 39/40°C
Ihephe- Les Fondateurs
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Localisation : Problament ici dans la taverne, sinon dans une aventure
Re: Dans la tête de l'entêté
Hem... Encore un mangas que j'ai pas lut, joie ! xD
Mais au moins, je le connait celui là ! Et je sais plus ou moins comment marche l'univers pour le coup, et encore mieux maintenant, après cette case. ^^
Encore un que je lirais sans doute plus tard, ça commence à faire beaucoup ! xD
Question :
-Heu... Bonne question ! '-'
Je pense pas avoir de phobie assez forte pour avoir un pouvoir baser sur ça. Ou alors je suis juste con. '-'
-Je connait pas les différents royaumes, malheureusement. ^^'
-Malheureusement, je me souvient jamais de mes rêves.
(Ou comment répondre trois questions plus ou moins de la même manière... '-')
Mais au moins, je le connait celui là ! Et je sais plus ou moins comment marche l'univers pour le coup, et encore mieux maintenant, après cette case. ^^
Encore un que je lirais sans doute plus tard, ça commence à faire beaucoup ! xD
Question :
-Heu... Bonne question ! '-'
Je pense pas avoir de phobie assez forte pour avoir un pouvoir baser sur ça. Ou alors je suis juste con. '-'
-Je connait pas les différents royaumes, malheureusement. ^^'
-Malheureusement, je me souvient jamais de mes rêves.
(Ou comment répondre trois questions plus ou moins de la même manière... '-')
Shiki Van Shërza- Les Fondateurs
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Localisation : Sufokia
Re: Dans la tête de l'entêté
Un manga qui a l'air franchement sympa, le ManFra va surement continuer d'évoluer vu que la France est une des nations qui échange le plus avec le Japon, et vice versa.
J'aime bien les héros un peu trollesque (Saitama rules) et vu le visuel du héros, et un passage que j'avais lu a propos d'un caca (Oui j'ai pas tout saisi) je pense que Terrence est ce genre de héros.
Question 1:
Un pouvoir lié aux abysse océanique me conviendrais (étant donné que je flippe comme une pucelle à la vu de fond marin et que j'adore la nage)
Question 2:
Je connais pas donc... (enfin si y'a un royaume sur les rêves érotique vous savez où me trouver)
Question 3:
Quand j'étais plus jeune j'avais un cauchemar qui se répétait sans cesse, un tueur avec un grand masque blanc me prenait en chasse. Ça me stressé à un point que j'avais peur de dormir. Jusqu’à une nuit où au lieu de fuir je me suis retourné, et lui envoyé un coup de latte dans les gencives, depuis il n'est jamais réapparu.
J'aime bien les héros un peu trollesque (Saitama rules) et vu le visuel du héros, et un passage que j'avais lu a propos d'un caca (Oui j'ai pas tout saisi) je pense que Terrence est ce genre de héros.
Question 1:
Un pouvoir lié aux abysse océanique me conviendrais (étant donné que je flippe comme une pucelle à la vu de fond marin et que j'adore la nage)
Question 2:
Je connais pas donc... (enfin si y'a un royaume sur les rêves érotique vous savez où me trouver)
Question 3:
Quand j'étais plus jeune j'avais un cauchemar qui se répétait sans cesse, un tueur avec un grand masque blanc me prenait en chasse. Ça me stressé à un point que j'avais peur de dormir. Jusqu’à une nuit où au lieu de fuir je me suis retourné, et lui envoyé un coup de latte dans les gencives, depuis il n'est jamais réapparu.
Mama Koi- L’Activiste
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Localisation : Je sais pas ... ya de la lumière là bas...
Re: Dans la tête de l'entêté
Mama: Pour ton coup de latte, tu as dû faire un reve éveillé. Lorsque ton cycle de sommeil se rapproche trop de la phase légère et que tu dors encore, tu peux influer consciemment ton reve ou cauchemard et le retourner comme tu veux. C'est ce qui a du se produire.
Albynn- Le Respectable
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Localisation : Devant mon ordi! T'as cru quoi?
Re: Dans la tête de l'entêté
18 janvier. Alors que je prépare mes affaires pour rentrer dans le grand ouest je me dois décrire la critique du jour avant de prendre mon train. L'ironie veut que ce soit le tour de l'analyse de l'un de mes personnages...et pas n'importe lequel. Je vous connais un peu, et je me doute que lorsque j'ai lancé ce thème vous saviez que j'en viendrais à aborder mon personnage le plus important. C'est le cas aujourd'hui...avec un problème similaire à toutes les dernières critiques : Il y aurait trop à en dire.
Que se soit Fargo, Ping Pong, Dream Land ou Final Fantasy Tactics...nous sommes en face d'oeuvre qui demanderaient des pages et des pages d'analyses. Pour parvenir à vous les présenter je me dois de m'axer sur un point bien précis et de le développer au mieux...et c'est ce que je vais faire une nouvelle fois. Alors accrochez-vous...aujourd'hui on parle du personnage qui m'a valut mon pseudo.
18 Décembre : De l'image que l'on se fait...à la réalité : il y a Lenz
Un Background monstrueux
Lenz est le deuxième personnage que j'ai créé sur Wakfu, et le premier personnage que j'ai réellement développé. Il a été créé fin mai 2013, son design est une référence à ma propre apparence : Des cheveux blonds et le bleu de mes yeux comme couleur de ses vêtements.
A l'époque je travaillais sur un JdR opposant les joueurs à un mystérieux groupe terroriste dont les membres portaient tous le nom d'émotion anglaises :
Boring
Immature
Realistic
Traitor
Hateful
L'initial de chaque nom donnant "Birth", nom de ce fameux groupe. Le nom me plaisait énormément alors je l'ai apposé à mon Sacrieur. Deux ans et demi après il est devenu le nom que vous utilisez quand vous parlez de moi, et est encore aujourd'hui mon pseudo officiel sur Wakfu. Son vrais nom, "Lenz Dogaïl" n'ayant été inventé que deux mois plus tard.
Le personnage est devenu celui que je joue le plus et très certainement celui avec lequel j'ai le plus pratiqué le Roleplay. A côté de ça j'ai imaginé chaque pan de sa vie (passé et futur) et il est aujourd'hui le personnage, toute oeuvre confondues, que j'ai le plus développé.
Faire une analyse complète de lui serait complexe, aussi j'ai décidé de m'axer sur ce qui me semble le plus intéressant chez lui...le rapport à l'apparence.
Un chef incertain, un symbole se contestant de lui même
On va de prime abord se pencher sur la fonction qu'exerce Lenz. Chef de la guilde Get Free, un groupe de révolutionnaires, il semble sur de lui et déterminé à faire changer les choses. Ses membres l'admirent pour la plupart, et lui font entièrement confiance.
Néanmoins Lenz n'a de cesse de se remettre en question, et ne se considère absolument pas comme un bon chef. Ayant par le passé perdu bon nombre d'unités, il est persuadé que ses décisions entraîneront la perte de tous ses proches. Ses épaules portent les espoirs d'une guilde entière, et il ne se sent jamais apte à cela. Si on lui demandait pourquoi il occupe la place de chef, il répondrait sans hésiter que c'est car il est celui qui a vu le plus de conflit. C'est l'expérience qui parle...mais tout semble démontrer que Lenz est bien plus un soldat suiveur qu'un chef donneur d'ordres.
Ainsi dès que la situation lui échappe, qu'il essuie une nouvelle perte ou que sa confiance s'émousse une fois encore...il prend la fuite et cherche à épargner ses membres de la longue descente dans laquelle il semble engagé.
Un combattant aguerris...aux milles et unes défaites
Lenz se bat au corps à corps, usant de ses poings pour se défendre et attaquer. Si on analyse un peu son style de combat, on repère bien vite qu'il ne semble pas se diriger vers un art martial précis. Usant de coups provenant de la boxe, aussi bien que d'esquive pouvant être assimilées à de la capoeira...il donne l'illusion de s'y connaitre.
La réalité est une nouvelle fois tout autre : Lenz n'a tout simplement jamais reçu le moindre entrainement dans cette discipline. Il improvise en se servant des coups et des techniques qu'il a pu apercevoir, et se fait bien souvent vaincre par une personne maîtrisant un art martial.
Il se débrouille bien mieux à l'épée, qu'il a manié de sa prime jeunesse jusqu'à ses dix-neuf ans. C'ets un bretteur accomplis...mais qui ne désire plus faire usage de sa lame. Ayant tué de nombreuses personnes avec, il assimile ce maniement à toute une période destructrice de sa vie. Il porte de nouveau une épée depuis peu, mais semble bien peu enclin à la dégainer.
Enfin nous pouvons parler de ses pouvoirs de disciple de Sacrieur, qu'il ne manie presque pas. Il dira toujours à haute voix que c'est une volonté personnelle...mais la vérité est ailleurs. Malgré un entrainement intensif il n'est jamais parvenu à les maîtriser convenablement...et a donc préféré s'en passer.
Une nouvelle fois on voit que l'image du combattant à main nue refusant de tuer est bien plus dû à nombres obligations...plutôt qu'à un réel choix de sa part.
Une personne se cachant la vérité...et évoluant ainsi
La vie de Lenz a été remplie d'échecs, d'erreurs et d’événements l'ayant marqué. Lorsqu'il ne peut accepter ces moments, il tente de se cacher la vérité et finit par s'adapter à cela. On peut le voir à travers trois évènements bien précis :
-Son extrémisme et son implication dans la disparition de son frère de coeur : Durant sa jeunesse, Lenz sombra dans une période bien sombre. Persuadé que les révoltes ne pouvaient se résoudre que par la violence, il n'hésitera pas à infliger de lourdes pertes dans les rangs des civils afin de faire tomber des dictateurs. Alors que son ami faisait tout pour le ramener à la raison, il l'attaqua et provoqua accidentellement sa disparition. Dés lors il préférera renier son nom et ce qu'il était, plutôt que de l'assumer. Et il mentira à son ami quand celui-ci réapparaîtra, amenant ce dernier à croire que la situation avait été inversée. Se sera là les prémices qui feront de son ami Jolian un véritable terroriste, l'homme étant persuadé que les erreurs de Lenz étaient les siennes.
-La mort de celle qu'il aimait : La mort de Sayana, cette femme qu'il aimait et qui portait le titre de "Birth" fut des plus traumatisant pour lui. Pour lui faire honneur il décida de faire du combat de la jeune femme le sien, et prit alors à son tour le surnom "Birth". Il finira par se persuader d'avoir fait tout cela de lui même, oubliant Sayana et devenant la représentation de ses rêves.
-Le sacrifice de son unité : Quand ses hommes se sacrifièrent sans lui, voulant le voir continuer ses idéaux nobles, Lenz se persuada d'être un mauvais chef. Il n'eut de cesse de se comparer à Venremos, son ancien maître, devenant peu à peu sur qu'il aurait fait mieux. Il ne parvint jamais à comprendre que ses décisions, bien que difficiles, avaient été les meilleures...et que ces hommes l'admiraient pour ça.
Lenz se cache donc bien souvent la vérité, et semble s'auto-détruire lentement...
Quand les masques tombent, et que l'image rejoint la réalité
Lenz se détestait, et ne continuer à avancer que dans l'espoir de parvenir un jour à atteindre le niveau de ceux qu'il admirait tant. Réitérant bien souvent ses erreurs passées, il semblait en proie à de profonds doutes, qu'il dissimulait toujours par tout les moyens.
Il fallut un changement aussi radical que bénéfique pour lui changer sa façon de se voir. Ce changement c'est celui de son apparence et de son sexe, provoqué par une bien étrange potion alors que son métabolisme était déjà en proie à des modifications fantastiques. Lenz devint une femme, et étrangement s'accepta ainsi. Elle changea son point de vue sur elle même, acceptant enfin de quitter son déguisement de chef. Gardant ses longs débats sur le monde, elle décida néanmoins de se séparer de ses attitudes de chef qu'elle se forçait à garder pour faire bonne figure.
Elle devint plus spontanée, et accepta de laisser éclater ses émotions. Se laissant aller aux larmes lorsqu'elle se trouvait triste, s'adonnant à sa grande gloutonnerie sans grande retenue...elle devint enfin plus vivante qu'elle ne l'avait jamais été. Faisant de ses amis sa grande famille, elle accepta enfin d'aller de l'avant en combinant tout ce qu'avait pu lui apporter les personnes qu'elle admirait. Bien plus idéaliste encore, elle décida de reprendre son rêve d'être une héroïne à part entière, et se détacha enfin de toutes ces obligations qu'elle s'était fixée.
Conclusion sur ce personnage que j'adore
Lenz est à coup sur mon personnage préféré. Vivante, espiègle et sans grandes retenues...elle a su évoluer en l'espace de deux ans pour gagner en maturité et faire fit de ses démons du passé. Elle avance désormais en acceptant d'être autre chose qu'une révolutionnaire, cette fonction lui étant tombée dessus sans qu'elle ne le choisisse jamais vraiment.
Bien loin d'être comme son maître ou son fils...elle ne sera jamais la meneuse incroyable qu'elle voulait devenir. C'est en tant que combattante indépendante que Lenz brille, mettant ainsi toutes ses forces dans la protection des êtres qui lui sont chers. Elle restera à jamais un soldat aguerris, qui sait bien plus se battre qu'ordonner.
Voilà qui met fin à cette case, j'espère qu'elle vous aura plut. Comme dit plus haut, faire une analyse de ce personnage était des plus complexe, et j'espère y être parvenus. Je vous laisse avec mes fameuses questions, et on se retrouve demain pour une autre case !
-Et toi que penses-tu de Lenz ?
-Tes persos ont quelle relation avec elle, que pensent-ils de la Sacrieuse ?
-Une scène qui t'as marqué avec la terrible Zouzouille ?
Que se soit Fargo, Ping Pong, Dream Land ou Final Fantasy Tactics...nous sommes en face d'oeuvre qui demanderaient des pages et des pages d'analyses. Pour parvenir à vous les présenter je me dois de m'axer sur un point bien précis et de le développer au mieux...et c'est ce que je vais faire une nouvelle fois. Alors accrochez-vous...aujourd'hui on parle du personnage qui m'a valut mon pseudo.
18 Décembre : De l'image que l'on se fait...à la réalité : il y a Lenz
Un Background monstrueux
Lenz est le deuxième personnage que j'ai créé sur Wakfu, et le premier personnage que j'ai réellement développé. Il a été créé fin mai 2013, son design est une référence à ma propre apparence : Des cheveux blonds et le bleu de mes yeux comme couleur de ses vêtements.
A l'époque je travaillais sur un JdR opposant les joueurs à un mystérieux groupe terroriste dont les membres portaient tous le nom d'émotion anglaises :
Boring
Immature
Realistic
Traitor
Hateful
L'initial de chaque nom donnant "Birth", nom de ce fameux groupe. Le nom me plaisait énormément alors je l'ai apposé à mon Sacrieur. Deux ans et demi après il est devenu le nom que vous utilisez quand vous parlez de moi, et est encore aujourd'hui mon pseudo officiel sur Wakfu. Son vrais nom, "Lenz Dogaïl" n'ayant été inventé que deux mois plus tard.
Le personnage est devenu celui que je joue le plus et très certainement celui avec lequel j'ai le plus pratiqué le Roleplay. A côté de ça j'ai imaginé chaque pan de sa vie (passé et futur) et il est aujourd'hui le personnage, toute oeuvre confondues, que j'ai le plus développé.
Faire une analyse complète de lui serait complexe, aussi j'ai décidé de m'axer sur ce qui me semble le plus intéressant chez lui...le rapport à l'apparence.
Un chef incertain, un symbole se contestant de lui même
On va de prime abord se pencher sur la fonction qu'exerce Lenz. Chef de la guilde Get Free, un groupe de révolutionnaires, il semble sur de lui et déterminé à faire changer les choses. Ses membres l'admirent pour la plupart, et lui font entièrement confiance.
Néanmoins Lenz n'a de cesse de se remettre en question, et ne se considère absolument pas comme un bon chef. Ayant par le passé perdu bon nombre d'unités, il est persuadé que ses décisions entraîneront la perte de tous ses proches. Ses épaules portent les espoirs d'une guilde entière, et il ne se sent jamais apte à cela. Si on lui demandait pourquoi il occupe la place de chef, il répondrait sans hésiter que c'est car il est celui qui a vu le plus de conflit. C'est l'expérience qui parle...mais tout semble démontrer que Lenz est bien plus un soldat suiveur qu'un chef donneur d'ordres.
Ainsi dès que la situation lui échappe, qu'il essuie une nouvelle perte ou que sa confiance s'émousse une fois encore...il prend la fuite et cherche à épargner ses membres de la longue descente dans laquelle il semble engagé.
Un combattant aguerris...aux milles et unes défaites
Lenz se bat au corps à corps, usant de ses poings pour se défendre et attaquer. Si on analyse un peu son style de combat, on repère bien vite qu'il ne semble pas se diriger vers un art martial précis. Usant de coups provenant de la boxe, aussi bien que d'esquive pouvant être assimilées à de la capoeira...il donne l'illusion de s'y connaitre.
La réalité est une nouvelle fois tout autre : Lenz n'a tout simplement jamais reçu le moindre entrainement dans cette discipline. Il improvise en se servant des coups et des techniques qu'il a pu apercevoir, et se fait bien souvent vaincre par une personne maîtrisant un art martial.
Il se débrouille bien mieux à l'épée, qu'il a manié de sa prime jeunesse jusqu'à ses dix-neuf ans. C'ets un bretteur accomplis...mais qui ne désire plus faire usage de sa lame. Ayant tué de nombreuses personnes avec, il assimile ce maniement à toute une période destructrice de sa vie. Il porte de nouveau une épée depuis peu, mais semble bien peu enclin à la dégainer.
Enfin nous pouvons parler de ses pouvoirs de disciple de Sacrieur, qu'il ne manie presque pas. Il dira toujours à haute voix que c'est une volonté personnelle...mais la vérité est ailleurs. Malgré un entrainement intensif il n'est jamais parvenu à les maîtriser convenablement...et a donc préféré s'en passer.
Une nouvelle fois on voit que l'image du combattant à main nue refusant de tuer est bien plus dû à nombres obligations...plutôt qu'à un réel choix de sa part.
Une personne se cachant la vérité...et évoluant ainsi
La vie de Lenz a été remplie d'échecs, d'erreurs et d’événements l'ayant marqué. Lorsqu'il ne peut accepter ces moments, il tente de se cacher la vérité et finit par s'adapter à cela. On peut le voir à travers trois évènements bien précis :
-Son extrémisme et son implication dans la disparition de son frère de coeur : Durant sa jeunesse, Lenz sombra dans une période bien sombre. Persuadé que les révoltes ne pouvaient se résoudre que par la violence, il n'hésitera pas à infliger de lourdes pertes dans les rangs des civils afin de faire tomber des dictateurs. Alors que son ami faisait tout pour le ramener à la raison, il l'attaqua et provoqua accidentellement sa disparition. Dés lors il préférera renier son nom et ce qu'il était, plutôt que de l'assumer. Et il mentira à son ami quand celui-ci réapparaîtra, amenant ce dernier à croire que la situation avait été inversée. Se sera là les prémices qui feront de son ami Jolian un véritable terroriste, l'homme étant persuadé que les erreurs de Lenz étaient les siennes.
-La mort de celle qu'il aimait : La mort de Sayana, cette femme qu'il aimait et qui portait le titre de "Birth" fut des plus traumatisant pour lui. Pour lui faire honneur il décida de faire du combat de la jeune femme le sien, et prit alors à son tour le surnom "Birth". Il finira par se persuader d'avoir fait tout cela de lui même, oubliant Sayana et devenant la représentation de ses rêves.
-Le sacrifice de son unité : Quand ses hommes se sacrifièrent sans lui, voulant le voir continuer ses idéaux nobles, Lenz se persuada d'être un mauvais chef. Il n'eut de cesse de se comparer à Venremos, son ancien maître, devenant peu à peu sur qu'il aurait fait mieux. Il ne parvint jamais à comprendre que ses décisions, bien que difficiles, avaient été les meilleures...et que ces hommes l'admiraient pour ça.
Lenz se cache donc bien souvent la vérité, et semble s'auto-détruire lentement...
Quand les masques tombent, et que l'image rejoint la réalité
Lenz se détestait, et ne continuer à avancer que dans l'espoir de parvenir un jour à atteindre le niveau de ceux qu'il admirait tant. Réitérant bien souvent ses erreurs passées, il semblait en proie à de profonds doutes, qu'il dissimulait toujours par tout les moyens.
Il fallut un changement aussi radical que bénéfique pour lui changer sa façon de se voir. Ce changement c'est celui de son apparence et de son sexe, provoqué par une bien étrange potion alors que son métabolisme était déjà en proie à des modifications fantastiques. Lenz devint une femme, et étrangement s'accepta ainsi. Elle changea son point de vue sur elle même, acceptant enfin de quitter son déguisement de chef. Gardant ses longs débats sur le monde, elle décida néanmoins de se séparer de ses attitudes de chef qu'elle se forçait à garder pour faire bonne figure.
Elle devint plus spontanée, et accepta de laisser éclater ses émotions. Se laissant aller aux larmes lorsqu'elle se trouvait triste, s'adonnant à sa grande gloutonnerie sans grande retenue...elle devint enfin plus vivante qu'elle ne l'avait jamais été. Faisant de ses amis sa grande famille, elle accepta enfin d'aller de l'avant en combinant tout ce qu'avait pu lui apporter les personnes qu'elle admirait. Bien plus idéaliste encore, elle décida de reprendre son rêve d'être une héroïne à part entière, et se détacha enfin de toutes ces obligations qu'elle s'était fixée.
Conclusion sur ce personnage que j'adore
Lenz est à coup sur mon personnage préféré. Vivante, espiègle et sans grandes retenues...elle a su évoluer en l'espace de deux ans pour gagner en maturité et faire fit de ses démons du passé. Elle avance désormais en acceptant d'être autre chose qu'une révolutionnaire, cette fonction lui étant tombée dessus sans qu'elle ne le choisisse jamais vraiment.
Bien loin d'être comme son maître ou son fils...elle ne sera jamais la meneuse incroyable qu'elle voulait devenir. C'est en tant que combattante indépendante que Lenz brille, mettant ainsi toutes ses forces dans la protection des êtres qui lui sont chers. Elle restera à jamais un soldat aguerris, qui sait bien plus se battre qu'ordonner.
Voilà qui met fin à cette case, j'espère qu'elle vous aura plut. Comme dit plus haut, faire une analyse de ce personnage était des plus complexe, et j'espère y être parvenus. Je vous laisse avec mes fameuses questions, et on se retrouve demain pour une autre case !
-Et toi que penses-tu de Lenz ?
-Tes persos ont quelle relation avec elle, que pensent-ils de la Sacrieuse ?
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