Albynn, porte-poisse?
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Albynn, porte-poisse?
Dernière fiche à jour sur Alby:
Date et N° de la fiche: 2 octobre 2014, n°4
Nom : Sanplum
Prénom : Albynn, le véritable.
Apparence : inchangée physiquement. Son regard est à nouveau doux, moins mélancolique.
Caractère : Albynn le véritable est la fusion de ses deux extrémités : le bien et le mal. Être contemment tout noir ou tout blanc n’est pas supportable humainement, et il s’en est rendu compte.
Naturellement naïf, Albynn préfère parfois fermer les yeux sur certaines choses, tel les sous-entendu salaces, et préfère conserver un esprit clair.
Il est intimement convaincu que le monde évoluera, et que c’est à ses habitants de décider dans quel sens. Lui a décidé de donner sa chance à chacun, tant qu’il le peut.
Albynn est toujours mal à l’aise en ce qui concerne la sexualité et la drague, mais rien ne compte plus à ses yeux que sa femme et ses enfants. Il se préoccupera des problèmes d’autrui, sans pour autant mésestimer les siens, dorénavant.
Al s’attachera toujours facilement aux gens, mais sans tomber dans l’excès avec ceux qui ne sont pas vraiment des proches : il a compris qu’il faisait une erreur en mettant chacun au même plan affectif, aussi bien famille que personnes croisées.
Albynn déteste très peu de monde, et en hais encore moins. En revanche, il ne sera plus question de se taire lorsque quelque chose le gènera, au plan moral.
Albynn apprend très doucement à dissocier sentiments et actions, malgrè qu’il reste sensible à l’association des deux… Avec toujours un léger excès.
Albynn est parfaitement capable de jalousie, mais n’arrivera jamais à la vengeance. Il préfèrera ouvrir son cœur sur sa jalousie plutôt que la garder et se morfondre avec.
Aime : les orties (plantes très utiles avec une fleurs en pics) les bananagrummes (son jus est doux, sirupeux et un peu crémeux) le riz-légion (la forme étrange de ces graines l’a toujours amusé, et c’est une plante très nourrissante et simple à cultiver) le vert (c’est une couleur qu’il porte très bien, et elle symbolise le calme de la nature) les bananagrummiers (qui portent les bananagrummes) et les araknes (qui mangent les vilains ronciers)
N’aime pas : Les orchidées (cette fleurs si prisée qu’elle détrône beaucoup d’autres, parfois même le crozoli qui ne pousse que sur incarnam) la noix de cajou (très dur à récolter, de part la difficulté à trouver des acajou, et trop croquant à son gout) la citrouille (ca tache, c’est dur à trouver et son gout lui donne des maux d’estomacs) le bleu foncé (Cela rappel les jours de tempêtes dans le ciel) et les ronciers (qui poussent très facilement, sont dur à retirer et ont des piquants acérés)
Moralité : Albynn crois à la fidèlité, au respect humains et de la loi, et rejette le vol, les viols, le meurtre… En revanche, il estime qu’on peut sortir de la loi lorsque celle-ci est injuste.
Les meurtres en masses, les génocides n’ont pour lui pas de justification, hors mit une guerre, qui n’est pas la faute des combattants, mais c’est inévitable…
Sur le plan matériel, le vol est répréhensible, sauf en cas de survie absolue : nourriture, couverture en hiver, etc...
Le vol d’argent est toujours répréhensible : il est possible de survivre sans, par la chasse ou la culture.
Il se refuse catégoriquement à tout meurtre: Interdiction de tuer un animal de compagnie, un humain ou tout créature pourvue d’intelligence équivalente. (Les iops sont humains, même si stupides) EN revanche, les blessures peuvent être inévitables en cas de défense.
Albynn ne croit pas en la vengeance suite à un meurtre. Une mort supplementaire ne ramènera pas la personne décédée, et ça ammènera une nouvelle vengeance. C’est un cercle sans fin, mais il peut ressentir a haine.
Albynn dépense peu son argent, mais il lui arrive maintenant de se faire parfois plaisir avec un bon verre de jus de fruit ou une sucrerie…
Dévotion : Albynn est né Eniripsa, et est bien content d’avoir été stoppé dans sa folie d’art roublard. Il est, certe, un peu injuste qu’il n’ai pas eu son choix de dévotion, mais en y repensant, elle fait ce qu’il est et a toujours été, et pour rien au monde il ne changerait d’avis.
Date et N° de la fiche: 2 octobre 2014, n°4
Nom : Sanplum
Prénom : Albynn, le véritable.
Apparence : inchangée physiquement. Son regard est à nouveau doux, moins mélancolique.
Caractère : Albynn le véritable est la fusion de ses deux extrémités : le bien et le mal. Être contemment tout noir ou tout blanc n’est pas supportable humainement, et il s’en est rendu compte.
Naturellement naïf, Albynn préfère parfois fermer les yeux sur certaines choses, tel les sous-entendu salaces, et préfère conserver un esprit clair.
Il est intimement convaincu que le monde évoluera, et que c’est à ses habitants de décider dans quel sens. Lui a décidé de donner sa chance à chacun, tant qu’il le peut.
Albynn est toujours mal à l’aise en ce qui concerne la sexualité et la drague, mais rien ne compte plus à ses yeux que sa femme et ses enfants. Il se préoccupera des problèmes d’autrui, sans pour autant mésestimer les siens, dorénavant.
Al s’attachera toujours facilement aux gens, mais sans tomber dans l’excès avec ceux qui ne sont pas vraiment des proches : il a compris qu’il faisait une erreur en mettant chacun au même plan affectif, aussi bien famille que personnes croisées.
Albynn déteste très peu de monde, et en hais encore moins. En revanche, il ne sera plus question de se taire lorsque quelque chose le gènera, au plan moral.
Albynn apprend très doucement à dissocier sentiments et actions, malgrè qu’il reste sensible à l’association des deux… Avec toujours un léger excès.
Albynn est parfaitement capable de jalousie, mais n’arrivera jamais à la vengeance. Il préfèrera ouvrir son cœur sur sa jalousie plutôt que la garder et se morfondre avec.
Aime : les orties (plantes très utiles avec une fleurs en pics) les bananagrummes (son jus est doux, sirupeux et un peu crémeux) le riz-légion (la forme étrange de ces graines l’a toujours amusé, et c’est une plante très nourrissante et simple à cultiver) le vert (c’est une couleur qu’il porte très bien, et elle symbolise le calme de la nature) les bananagrummiers (qui portent les bananagrummes) et les araknes (qui mangent les vilains ronciers)
N’aime pas : Les orchidées (cette fleurs si prisée qu’elle détrône beaucoup d’autres, parfois même le crozoli qui ne pousse que sur incarnam) la noix de cajou (très dur à récolter, de part la difficulté à trouver des acajou, et trop croquant à son gout) la citrouille (ca tache, c’est dur à trouver et son gout lui donne des maux d’estomacs) le bleu foncé (Cela rappel les jours de tempêtes dans le ciel) et les ronciers (qui poussent très facilement, sont dur à retirer et ont des piquants acérés)
Moralité : Albynn crois à la fidèlité, au respect humains et de la loi, et rejette le vol, les viols, le meurtre… En revanche, il estime qu’on peut sortir de la loi lorsque celle-ci est injuste.
Les meurtres en masses, les génocides n’ont pour lui pas de justification, hors mit une guerre, qui n’est pas la faute des combattants, mais c’est inévitable…
Sur le plan matériel, le vol est répréhensible, sauf en cas de survie absolue : nourriture, couverture en hiver, etc...
Le vol d’argent est toujours répréhensible : il est possible de survivre sans, par la chasse ou la culture.
Il se refuse catégoriquement à tout meurtre: Interdiction de tuer un animal de compagnie, un humain ou tout créature pourvue d’intelligence équivalente. (Les iops sont humains, même si stupides) EN revanche, les blessures peuvent être inévitables en cas de défense.
Albynn ne croit pas en la vengeance suite à un meurtre. Une mort supplementaire ne ramènera pas la personne décédée, et ça ammènera une nouvelle vengeance. C’est un cercle sans fin, mais il peut ressentir a haine.
Albynn dépense peu son argent, mais il lui arrive maintenant de se faire parfois plaisir avec un bon verre de jus de fruit ou une sucrerie…
Dévotion : Albynn est né Eniripsa, et est bien content d’avoir été stoppé dans sa folie d’art roublard. Il est, certe, un peu injuste qu’il n’ai pas eu son choix de dévotion, mais en y repensant, elle fait ce qu’il est et a toujours été, et pour rien au monde il ne changerait d’avis.
Albynn- Le Respectable
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Date d'inscription : 19/10/2014
Age : 32
Localisation : Devant mon ordi! T'as cru quoi?
Re: Albynn, porte-poisse?
Date et N° de la fiche: 23 septembre 2014, n°3
Nom : Sanplum
Prénom : Albynn, dit « Dark Albynn », ou Dalbynn en abrégé.
Apparence : inchangée physiquement. Son regard doux est devenu dur et froid, tranchant comme une lame. Son air nostalgique habituel est remplacé par un rictus moqueur quasi-permanant.
Age: 20 ans
Nation: Sufokia
Caractère : Dalbynn est né d’Albynn. Il est lui, avec uniquement son coté mauvais. Poussé dans ses propres retranchement par le doute, la peur, les reproches et les accusations, Albynn a renoncé à son coté gentil pour virer en égoiste sadique. Il garde néanmoins son coté de manque affectif : Il aime les câlins, les peluches et les animaux de compagnie.
Dalbynn est au antipod d’Albynn. Il n’est pas naïf, il est même plus proche de la paranoïa. Il se méfie de tout ce qu’on lui demande, compensant sa naïveté naturelle par une sur-autoprotection. Il est le Albynn méfiant, à chaque instant.
Il est intimement convaincu que le monde est voué à perte et va finir dans le chaos, donc autant en profiter tant qu’on vit.
Dalbynn passe pour un fanfaron : abandonnant sa timidité naturelle, il la compense par la fanfaronnade, voir de la surestime de soi. C’est un vrai lâche qui tournera le dos aux problèmes qui « ne le concernent pas », contrairement à Albynn.
Dal ne s’attache plus au gens. A quoi bon, si c’est pour toujours être abandonné ou roulé dans la farine ? Pas d’attache, pas de problème. Et de ce fait, pas question d’attendre de la charité de sa part : ses soins, il le fera payer, tant qu’il peut en lancer.
Dalbynn déteste très peu de monde, et en hais encore moins. En revanche, il est emplis de mépris envers chacun, pour des raisons différentes. Plus il s’est sentis blessé, plus il sera acerbe et dur, et utilisera ses connaissances pour faire mouche.
Dalbynn dissocie actions et sentiments. De ce fait, il ne va pas hésiter à faire l’impasse sur sa timidité, et à faire du rentre-dedans à certaines personnes, même s’il ne laissera rien aboutir : en effet, il reste cramponné à la fidélité amoureuse, malgré que son comportement pourra paraitre contradictoire…
Dal est parfaitement capable de vengeance ou de jalousie, mais il n’est pas idiot, et sait que le sang entraine le sang.
Aime : les orties (plantes très utiles avec une fleurs en pics) les bananagrummes (son jus est doux, sirupeux et un peu crémeux) le riz-légion (la forme étrange de ces graines l’a toujours amusé, et c’est une plante très nourrissante et simple à cultiver) le vert (c’est une couleur qu’il porte très bien, et elle symbolise le calme de la nature) les bananagrummiers (qui portent les bananagrummes) et les araknes (qui mangent les vilains ronciers)
N’aime pas : Les orchidées (cette fleurs si prisée qu’elle détrône beaucoup d’autres, parfois même le crozoli qui ne pousse que sur incarnam) la noix de cajou (très dur à récolter, de part la difficulté à trouver des acajou, et trop croquant à son gout) la citrouille (ca tache, c’est dur à trouver et son gout lui donne des maux d’estomacs) le bleu foncé (Cela rappel les jours de tempêtes dans le ciel) et les ronciers (qui poussent très facilement, sont dur à retirer et ont des piquants acérés)
Moralité : Dalbynn a complètement abandonné la moralité : il fait ce qu’il veut comme il veut, mais se refuse au meurtre : il y a bien mieux pour faire souffrir.
Les meurtres en masses, les génocides, en revanche, n’ont pour lui pas de justification, hors mit une guerre, qui n’est pas la faute des combattants, mais c’est inévitable que ça arrive… tant que c’est pas à lui ou aux Sanplum.
Sur le plan matériel, le vol est répréhensible, sauf en cas de survie absolue : nourriture, couverture en hiver, etc...
Le vol d’argent est toujours répréhensible : il est possible de survivre sans, par la chasse ou la culture. Sauf que maintenant, il ne s’en scandalisera pas.
Il se refuse catégoriquement à tout « meurtre ou blessures : Interdiction de tuer un animal de compagnie, un humain ou tout créature pourvue d’intelligence équivalente. (Les iops sont humains, même si stupides) Mais il n’aura aucun mal à blesser une personne, même une connaissance. Dalbynn puise dans ses anciennes déception pour renvoyer les blessures morales en blessure physique, généralement plus fort que ce que subit.
Dalbynn ne croit pas en la vengeance suite à un meurtre. Une mort supplementaire ne ramènera pas la personne décédée, en revanche, ca peut bien soulager.
Il est dépensier, estimant que ça suffisait de vivre dans la vertu : Bon plats, bonne boissons, habits neufs, soyons extravagant ! De toute manière, à quoi bon envoyer l’argent à la famille ? Ils se débrouillent très bien, sur leur île.
Dévotion : Dalbynn viens d’Albynn, né eniripsa. Mais il en a assez d’être le « gentil nini », et compte bien perdre sa dévotion en utilisant les arts roublards : il sait qu’un bon tir bien placé fera plus mal qu’une de ses malheureuse bulle de soins dénaturée… Dommage pour les paiements de consultation, en revanche.
Nom : Sanplum
Prénom : Albynn, dit « Dark Albynn », ou Dalbynn en abrégé.
Apparence : inchangée physiquement. Son regard doux est devenu dur et froid, tranchant comme une lame. Son air nostalgique habituel est remplacé par un rictus moqueur quasi-permanant.
Age: 20 ans
Nation: Sufokia
Caractère : Dalbynn est né d’Albynn. Il est lui, avec uniquement son coté mauvais. Poussé dans ses propres retranchement par le doute, la peur, les reproches et les accusations, Albynn a renoncé à son coté gentil pour virer en égoiste sadique. Il garde néanmoins son coté de manque affectif : Il aime les câlins, les peluches et les animaux de compagnie.
Dalbynn est au antipod d’Albynn. Il n’est pas naïf, il est même plus proche de la paranoïa. Il se méfie de tout ce qu’on lui demande, compensant sa naïveté naturelle par une sur-autoprotection. Il est le Albynn méfiant, à chaque instant.
Il est intimement convaincu que le monde est voué à perte et va finir dans le chaos, donc autant en profiter tant qu’on vit.
Dalbynn passe pour un fanfaron : abandonnant sa timidité naturelle, il la compense par la fanfaronnade, voir de la surestime de soi. C’est un vrai lâche qui tournera le dos aux problèmes qui « ne le concernent pas », contrairement à Albynn.
Dal ne s’attache plus au gens. A quoi bon, si c’est pour toujours être abandonné ou roulé dans la farine ? Pas d’attache, pas de problème. Et de ce fait, pas question d’attendre de la charité de sa part : ses soins, il le fera payer, tant qu’il peut en lancer.
Dalbynn déteste très peu de monde, et en hais encore moins. En revanche, il est emplis de mépris envers chacun, pour des raisons différentes. Plus il s’est sentis blessé, plus il sera acerbe et dur, et utilisera ses connaissances pour faire mouche.
Dalbynn dissocie actions et sentiments. De ce fait, il ne va pas hésiter à faire l’impasse sur sa timidité, et à faire du rentre-dedans à certaines personnes, même s’il ne laissera rien aboutir : en effet, il reste cramponné à la fidélité amoureuse, malgré que son comportement pourra paraitre contradictoire…
Dal est parfaitement capable de vengeance ou de jalousie, mais il n’est pas idiot, et sait que le sang entraine le sang.
Aime : les orties (plantes très utiles avec une fleurs en pics) les bananagrummes (son jus est doux, sirupeux et un peu crémeux) le riz-légion (la forme étrange de ces graines l’a toujours amusé, et c’est une plante très nourrissante et simple à cultiver) le vert (c’est une couleur qu’il porte très bien, et elle symbolise le calme de la nature) les bananagrummiers (qui portent les bananagrummes) et les araknes (qui mangent les vilains ronciers)
N’aime pas : Les orchidées (cette fleurs si prisée qu’elle détrône beaucoup d’autres, parfois même le crozoli qui ne pousse que sur incarnam) la noix de cajou (très dur à récolter, de part la difficulté à trouver des acajou, et trop croquant à son gout) la citrouille (ca tache, c’est dur à trouver et son gout lui donne des maux d’estomacs) le bleu foncé (Cela rappel les jours de tempêtes dans le ciel) et les ronciers (qui poussent très facilement, sont dur à retirer et ont des piquants acérés)
Moralité : Dalbynn a complètement abandonné la moralité : il fait ce qu’il veut comme il veut, mais se refuse au meurtre : il y a bien mieux pour faire souffrir.
Les meurtres en masses, les génocides, en revanche, n’ont pour lui pas de justification, hors mit une guerre, qui n’est pas la faute des combattants, mais c’est inévitable que ça arrive… tant que c’est pas à lui ou aux Sanplum.
Sur le plan matériel, le vol est répréhensible, sauf en cas de survie absolue : nourriture, couverture en hiver, etc...
Le vol d’argent est toujours répréhensible : il est possible de survivre sans, par la chasse ou la culture. Sauf que maintenant, il ne s’en scandalisera pas.
Il se refuse catégoriquement à tout « meurtre ou blessures : Interdiction de tuer un animal de compagnie, un humain ou tout créature pourvue d’intelligence équivalente. (Les iops sont humains, même si stupides) Mais il n’aura aucun mal à blesser une personne, même une connaissance. Dalbynn puise dans ses anciennes déception pour renvoyer les blessures morales en blessure physique, généralement plus fort que ce que subit.
Dalbynn ne croit pas en la vengeance suite à un meurtre. Une mort supplementaire ne ramènera pas la personne décédée, en revanche, ca peut bien soulager.
Il est dépensier, estimant que ça suffisait de vivre dans la vertu : Bon plats, bonne boissons, habits neufs, soyons extravagant ! De toute manière, à quoi bon envoyer l’argent à la famille ? Ils se débrouillent très bien, sur leur île.
Dévotion : Dalbynn viens d’Albynn, né eniripsa. Mais il en a assez d’être le « gentil nini », et compte bien perdre sa dévotion en utilisant les arts roublards : il sait qu’un bon tir bien placé fera plus mal qu’une de ses malheureuse bulle de soins dénaturée… Dommage pour les paiements de consultation, en revanche.
Dernière édition par Albynn le Jeu 23 Oct - 10:20, édité 1 fois
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
Docteur Jekyll et Mister Hyde spotted ^^.
Mama Koi- L’Activiste
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Localisation : Je sais pas ... ya de la lumière là bas...
Re: Albynn, porte-poisse?
En un sens ouaip, mais Dalbynn a été enterrré très loin. ^^
Date et numéro de fiche: juillet 2011, n°1
Identité : Albynn
Identité complete : Albynn Korüdo
Age : 17 ans
Origine : Amakna
Nation : Bonta
Description physique : Peau blanche, cheveux blancs, yeux rouges.
Taille : 1.57
Poid moyen : 592 pods (environ 59 kilos)
Cheveux longs en mèches
Aspect maigrichon
Air plus jeune que son age
Traits particuliers : une cicatrice de jeunesse au dessus du coude, grisatre
Sang blanc
Tatouage des Tisseurs à l’avant-bras droit (lune blanche sur fond noir)
Cœur situé à droite et non à gauche
Problèmes de poumons en cas de respiration de feu ou de substance piquantes
Caractère : Albynn a vécu majoritairement à la rue. Puis ayant découvert l’amitié et l’amour, ce sont devenu les deux choses importantes de sa vie. Quitte à se prendre des coups, il fait tout pour protéger ou soigner ses proches. Son manque affectif en jeunesse lui a révélé un comportement parfaitement infantile en société : Il aime les câlins, les peluches et les animaux de compagnie.
Albynn est naïf, du moins le laisse il croire. Il laisse souvent les illusions qu’on lui jette le bercer. Mais lors de ses périodes de méfiance, les illusions ne prennent plus, il se méfie de tout, et son monde aux allures roses crozoli revient à la dure réalité d’un monde sans pitié.
Il est intimement convaincu que le monde peut s’entendre de lui-même, sans batailles ni guerre.
Il passe pour un peureux et un idiot par méprise. Effectivement, il a peur, mais la peur est un moyen de protection : reflexes accrus, aux aguets, c’est un moyen de survit. De plus, de part son passé, et son allure, Al a peur de ce qui représente un danger véritable. Non pas la simple peur-surprise lorsqu’on lui hurle « BOUH dans son dos, mais celle qui court l’échine comme avertissement. Fort hélas, les dangers véritables sont nombreux autours de lui, provoquant un retour de peur fréquent, et on le prend pour un peureux.
Al s’attache très facilement aux gens, et pardonne de même. Sa dévotion envers ses camarades et amis est exemplaire. Il fera toujours tout pour aider ceux qui lui demande, dans la mesure du possible. Il sait aussi que, dans ce monde en reconstruction, les gens vont parfois trop loin sur ce qu’ils voulaient faire, et dépassent les limites.
Albynn déteste très peu de monde, et en hais encore moins. Sa haine s’associe au degré de monstruosité et à l’ampleur de la méchanceté de la personne. Il peut pardonner à quelqu’un qui l’a torturé, mais ce sera autre chose si la personne a torturé un de ses proches. Il s’attache tellement qu’il peut en confondre attachement fort et amour, lui posant de nombreux problèmes.
Le petit eniripsa associe beaucoup action et sentiments. Il est incapable de coucher avec quelqu’un s’il ne l’aime pas, au sens amoureux du terme. Pourtant, il suffit qu’il apprécie quelqu’un, et que cette personne agisse directement, pour lui fendre le cœur d’amour (embrassade, bisou, calin, ou toute marque affective)
Al n’est pas capable de vengeance ou de jalousie, mais il se sent profondement triste s’il a l’impression qu’on l’a trahis.
Aime : les orties (plantes très utiles avec une fleurs en pics) les bananagrummes (son jus est doux, sirupeux et un peu crémeux) le riz-légion (la forme étrange de ces graines l’a toujours amusé, et c’est une plante très nourrissante et simple à cultiver) le vert (c’est une couleur qu’il porte très bien, et elle symbolise le calme de la nature) les bananagrummiers (qui portent les bananagrummes) et les araknes (qui mangent les vilains ronciers)
N’aime pas : Les orchidées (cette fleurs si prisée qu’elle détrone beaucoup d’autres, parfois meme le crozoli qui ne pousse que sur incarnam) la noix de cajou (très dur à récolter, de part la difficulté à trouver des acajou, et trop croquant à son gout) la citrouille (ca tache, c’est dur à trouver et son gout lui donne des maux d’estomacs) le bleu foncé (Cela rappel les jours de tempêtes dans le ciel) et les ronciers (qui poussent très facilement, sont dur à retirer et ont des piquants acérés)
Moralité : La moralité de cet eniripsa est complexe. Il pense qu’un meurtre est horrible, mais peut se justifier, surtout s’il s’agit de protéger quelqu’un.
Les meurtres en masses, les génocides, en revanche, n’ont pour lui pas de justification, hors mit une guerre, qui n’est pas la faute des combatants.
Sur le plan matériel, le vol est répréhensible, sauf en cas de survie absolue : nourriture, couverture en hiver, etc...
Le vol d’argent est toujours répréhensible : il est possible de survivre sans, par la chasse ou la culture.
Il se refuse catégoriquement à tout « meurtre ou blessures : Interdiction de tuer un animal de compagnie, un humain ou tout créature pourvue d’intelligence équivalente. (Les iops sont humains, meme si stupides) Mais il peut se résoudre à blesser, voir même à tuer, s’il ne voit pas d’autres alternatives. Il ne le fera jamais de gaieté de cœur, et meme si c’était « inévitable , il le portera sur la conscience comme un poid.
Albynn ne croit pas en la vengeance suite à un meurtre. Une mort supplementaire ne ramènera pas la personne décédée.
Il n’est pas dépensier, préfèrant vivre tranquilement, à l’abris avec un bon repas.
En amour, il croit fermement à la fidèlité jusqu'à la mort, et a du mal à supporter l’idée d’aimer plusieurs personnes à la fois. Il n’aime pas le rapport sexuel juste pour le rapport, il doit y avoir Amour avec. Il se tourne naturellement vers les femmes, mais juge avant tout sur son cœur. Il est peut-être possible qu’un homme lui plaise...
Devotion : Albynn est un né eniripsa. Autrefois dévoués à la Grande Soigneuse, ses parents lui ont transmis un savoir naturel. Dès son jeune âge, il était donc capable d’utiliser la brise, sans être passé par le rituel. Ayant eu plus de temps que d’autres, il est donc capable de soigner pratiquement toute blessures. Certaines personnes pensent même qu’il serait capable de faire repousser des membres ou de ramener à la vie, très probablement à tort.
Albynn est un pur Eniripsa : dévoué à la Déesse, il prie souvent en son honneur, et est convaincu qu’elle n’est que douceur et bonté. Pour lui, tout le monde a droit à ses soins, car il n’est pas médecin, et que son don lui vient de sa Déesse, à qui il en est redevable.
Habileté : Albynn vit dans la nature depuis longtemps, relativement seul. Il a donc obtenu clandestinement, et au minimum, se trente classes par chaque métiers de récoltes. La peche demande une patience que l’eniripsa ne pouvait que rarement se permettre, c’est pourquoi ses autres métiers sont au bas mot de classe cinquante. La cuisine de piou et de viande en pleine nature lui as appris les bases d’un bon cuisinier, d’au moins de classe trente.
L‘eniripsa n’a pas particulièrement besoin de baguette, mais il avait besoin d’arc fins et de plus en plus performant pour embrocher les oiseaux et autres bestioles rapides pour se nourrir. Cela lui confère une habilité propre à l’obtention de la classe 40 de maitre à distance.
En temps normal, Al semble très maladroit. En fait, il manque juste d’un peu de chance et de confiance en lui. Mais lorsque la situation devient grave voir meme urgente, il est capable de prouesses d’habilités ou de rapidités.
Pouvoirs, energies, manies : Suite aux conseils d’amis, Al cache les pouvoirs qu’il a appris pour se défendre. Sa magie de glace est donc peu connue, et peu utilisée.
Al entend très bien, et est capable de diriger ses oreilles pointues pour entendre vers une direction ou une autre, chose qui le trahis rarement, étant donné qu’il a aussi l’habitude de les bouger pour manifester corporellement ses émotions. Droites lorsqu’il est aux aguets. L’une droite et l’autre penchée lorsqu il ne comprend pas ou se pose une question. Baissées lorsqu’il se sent coupable, mal à l’aise ou honteux, et baissées vers l’arrière lorsqu’il a peur. La position de ses ailes aide aussi à déterminer ce qui lui arrive : il croise les deux dernières phalanges dans son dos lorsqu’il se sent mal à l’aise. Elles se relèvent droite comme des i quand il est surpris ou heureux. Il les plaque sur les omoplates quand il est honteux.
Al est en rapport très fort avec le Wakfu. Son cœur de wakfu est pur, et celui-ci est envelopé d’une épaisse couche de Wakfu dérivé, laissant uniquement 7% de la place disponible. Lorsqu’il est inconscient ou mal en point, son wakfu dérivé réagit comme un aimant à Wakfu. Si des personnes ayant beaucoup de wakfu se situent dans la zone, Al ira inconsciemment les chercher. Il peut drainer le wakfu de manière lente mais sure, par deux points d’accès : une blessure profonde ou la tête. Il drainera jusqu'à recouvrir entièrement son wakfu d’origine, et une fois guéris ; à moins qu’on ne lui rende conscience.
Familiers : Al possède sept animaux.
Neko, son lapino, ne vient que lorsqu’il lui demande présence. C’est un simple lapino, un peu peureux, qui connait quatres ordres differents : soigner, se placer, sauter et tracter le porteur par une liaison magique. Neko n'est pas compté dans la ménagerie, car il est un don de Mère Eniripsa, et ne vit pas comme un animal classique.
Karasu est un chacha noir, comme bien de ses collègues. C’est un bon chacha pépère, mais qui n’aime pas qu’on l’insulte, et sortira les griffes dans ce cas. Il aime beaucoup Al qui prend soin de lui donner à manger tous les jours et soigne ses petits bobos. Il adore les caresses, et encore plus les dames, qui adorent le caresser, en général.
Karasu, après une balade agitée à Incarnam, a traversé un étrange nuage de l'endroit, le changeant en un chacha bleu clair. Il ne semble pas s'en incommoder le moindre du monde. Pour eviter qu'on l'enlève, à cause de sa couleur étrange, albynn a rajouté un pompom à son habituel collier de cuir. Ce collier possède une médaille, dont les deux faces sont gravée. L'une est au nom d'Albynn, l'autre porte le nom du chacha, Karasu.
Le troisième arrivé est Ufo, un tofu encore jeunot mais capable d’amener des lettres et des petits colis ne dépassant pas les 700 kamagrammes. C’est un tofu un peu hautains, qui n’aime pas vraiment se bouger autre que pour les lettres et la nourriture. C’est pour cela qu’il reste constamment sur la tête ou le dos de Karasu, trônant sur le poil comme un roi sur ses sujets. C'est aussi le chef de la bande animal, au caractère plus autoritaire que les autre.
Le dernier arrivé est le bébé slek Aku. Ce slekinou est tout gluant, en principe, mais Al pense à le laver tout les jours, en le sèchant bien à la sortie du bain. Son poil très court qui retient habituellement son mucus, très utile dans les grottes, mais pas l’exterieur, devient alors tout doux et soyeux. C’est un slekinou affectueux, prenant Al comme mère de substitution : il dors avec lui, le suit comme son ombre, refuse de manger s’il ne le lui donne pas lui-même, et fait parfois des caprices dignes de n’importe quelle race de bébé. Karasu ne l’aime pas, le voyant un peu comme le chouchou qui va prendre la première place. En plus, cette odeur de terre mouillée, berk ! Sensible, le chacha...
En fin de l'année 971 sont arrivés trois autres compagnons, et un quatrième encore dans l'oeuf.
Snuff est un snouffle curieux mais in dépendant. Il part souvent en vadrouille afin de chercher de quoi satisfaire son appetit particulier, ou partir sentir les filons de minerais encore "frais". Cette bestiole curieuse a la sale manie de vouloir fouiner dans les poches à la cherche de kamas ou de minerais, mettant Alb dans l'embarras. C'est pourquoi il laisse l'animal aller et venir entre les mine et lui, afin qu'il assouvisse lui même ses envies de minerais et de matière culinaires. Il ne dit pas non à un poisson pané de temps en temps.
Pero est un péroucan que l'eniripsa a sortit d'une cage, en compagnie de Lagotar et de membres de la Première Heure. Ce piaf aime voler, cherchant suremen rattraper son temps passé dans la cage. il livre les lettres en étant plutôt content, puisque la livraison lui garantit une petite récompense de la part de Byby, et que cela lui permet de voler plus loin que d'habitude. Mais sa tendance à trainer, obnibulé par le fait de pouvoir voler, oblige tout de même A à envoyer Ufo en priorité pour ses courriers. Il adore les greuvettes fraiches.
Kouino est un koinkoin malicieu qui a tiré sur la canne à pêche d'Albynn, à la foire du trool. Albynn lui a donné les croutons qui lui restait du zoo, et le koinkoin n'a plus voulu le lacher, malgrè l'air interessé de Karasu. Kouino est un familier peureux, paresseux. Il n'aime surtout pas marcher, ne serait-ce que d'un pas, ou même pour venir chercher un crouton. Il passe donc son temps à faire la sieste dans le havre sac.
Leiada, la jeune corbic blanc n'a que quelque mois. Issu de la reproduction entre le corbac blanc Aiedal, familier d'Etreka, et une corbette normale, Albynn a gardé l'oeuf dans son havre sac juqu’a éclosion. Offert par Nectarinne, Albynn a confié l'oeuf à Kouino, le laisant couver jusqu'a maturité. La cobic a pu faire connaissance de son père, Aiedal, quand Albynn a pu obtenir la garde de celui-ci, auprès de son propriétaire, un roublard. Leiada est une corbic albinos, hors mis un trait unique trait noir sur les ailes.
Albynn a obtenu de son beau frère, Sponys Sanplum, un chacha des glaces, censé l'aider à canaliser sa magie de soins. La petite bète, du nom de Jojo, en mémoire à feu Jojo Valoria, un "patient" d'Albynn décédé sur le champs de bataille, est calme et silencieuse.
En martalo 972, une amie sram lui as demandé de dresser son bouftou albinos comme ses propres animaux. La femme mourru avant la fin du dressage. Le bouftou albinos Bellin est le neuvième de la ménagerie. Il est querelleur et possessif, mais perd bien souvent face au chef de meute, Ufo le tofu.
Arni est une arakne que Al a sortit de l'eau au cours d'une partie de pêche, en jouillet 972. Y voyant une aubaine pour être nourrie sans effort, la bestiole est restée. Quand il l'emmène, elle réside dans son chapeau de pirate bontarien. Elle aime les insectes croustillant, et est très docile par intéret, c'est le dixième de la ménagerie.
Oeuf à éclore: Un autre oeuf d'Aiedal, confié cette fois ci par Jacob. Bientot sur le point d'éclore....
Date et numéro de fiche: juillet 2011, n°1
Identité : Albynn
Identité complete : Albynn Korüdo
Age : 17 ans
Origine : Amakna
Nation : Bonta
Description physique : Peau blanche, cheveux blancs, yeux rouges.
Taille : 1.57
Poid moyen : 592 pods (environ 59 kilos)
Cheveux longs en mèches
Aspect maigrichon
Air plus jeune que son age
Traits particuliers : une cicatrice de jeunesse au dessus du coude, grisatre
Sang blanc
Tatouage des Tisseurs à l’avant-bras droit (lune blanche sur fond noir)
Cœur situé à droite et non à gauche
Problèmes de poumons en cas de respiration de feu ou de substance piquantes
Caractère : Albynn a vécu majoritairement à la rue. Puis ayant découvert l’amitié et l’amour, ce sont devenu les deux choses importantes de sa vie. Quitte à se prendre des coups, il fait tout pour protéger ou soigner ses proches. Son manque affectif en jeunesse lui a révélé un comportement parfaitement infantile en société : Il aime les câlins, les peluches et les animaux de compagnie.
Albynn est naïf, du moins le laisse il croire. Il laisse souvent les illusions qu’on lui jette le bercer. Mais lors de ses périodes de méfiance, les illusions ne prennent plus, il se méfie de tout, et son monde aux allures roses crozoli revient à la dure réalité d’un monde sans pitié.
Il est intimement convaincu que le monde peut s’entendre de lui-même, sans batailles ni guerre.
Il passe pour un peureux et un idiot par méprise. Effectivement, il a peur, mais la peur est un moyen de protection : reflexes accrus, aux aguets, c’est un moyen de survit. De plus, de part son passé, et son allure, Al a peur de ce qui représente un danger véritable. Non pas la simple peur-surprise lorsqu’on lui hurle « BOUH dans son dos, mais celle qui court l’échine comme avertissement. Fort hélas, les dangers véritables sont nombreux autours de lui, provoquant un retour de peur fréquent, et on le prend pour un peureux.
Al s’attache très facilement aux gens, et pardonne de même. Sa dévotion envers ses camarades et amis est exemplaire. Il fera toujours tout pour aider ceux qui lui demande, dans la mesure du possible. Il sait aussi que, dans ce monde en reconstruction, les gens vont parfois trop loin sur ce qu’ils voulaient faire, et dépassent les limites.
Albynn déteste très peu de monde, et en hais encore moins. Sa haine s’associe au degré de monstruosité et à l’ampleur de la méchanceté de la personne. Il peut pardonner à quelqu’un qui l’a torturé, mais ce sera autre chose si la personne a torturé un de ses proches. Il s’attache tellement qu’il peut en confondre attachement fort et amour, lui posant de nombreux problèmes.
Le petit eniripsa associe beaucoup action et sentiments. Il est incapable de coucher avec quelqu’un s’il ne l’aime pas, au sens amoureux du terme. Pourtant, il suffit qu’il apprécie quelqu’un, et que cette personne agisse directement, pour lui fendre le cœur d’amour (embrassade, bisou, calin, ou toute marque affective)
Al n’est pas capable de vengeance ou de jalousie, mais il se sent profondement triste s’il a l’impression qu’on l’a trahis.
Aime : les orties (plantes très utiles avec une fleurs en pics) les bananagrummes (son jus est doux, sirupeux et un peu crémeux) le riz-légion (la forme étrange de ces graines l’a toujours amusé, et c’est une plante très nourrissante et simple à cultiver) le vert (c’est une couleur qu’il porte très bien, et elle symbolise le calme de la nature) les bananagrummiers (qui portent les bananagrummes) et les araknes (qui mangent les vilains ronciers)
N’aime pas : Les orchidées (cette fleurs si prisée qu’elle détrone beaucoup d’autres, parfois meme le crozoli qui ne pousse que sur incarnam) la noix de cajou (très dur à récolter, de part la difficulté à trouver des acajou, et trop croquant à son gout) la citrouille (ca tache, c’est dur à trouver et son gout lui donne des maux d’estomacs) le bleu foncé (Cela rappel les jours de tempêtes dans le ciel) et les ronciers (qui poussent très facilement, sont dur à retirer et ont des piquants acérés)
Moralité : La moralité de cet eniripsa est complexe. Il pense qu’un meurtre est horrible, mais peut se justifier, surtout s’il s’agit de protéger quelqu’un.
Les meurtres en masses, les génocides, en revanche, n’ont pour lui pas de justification, hors mit une guerre, qui n’est pas la faute des combatants.
Sur le plan matériel, le vol est répréhensible, sauf en cas de survie absolue : nourriture, couverture en hiver, etc...
Le vol d’argent est toujours répréhensible : il est possible de survivre sans, par la chasse ou la culture.
Il se refuse catégoriquement à tout « meurtre ou blessures : Interdiction de tuer un animal de compagnie, un humain ou tout créature pourvue d’intelligence équivalente. (Les iops sont humains, meme si stupides) Mais il peut se résoudre à blesser, voir même à tuer, s’il ne voit pas d’autres alternatives. Il ne le fera jamais de gaieté de cœur, et meme si c’était « inévitable , il le portera sur la conscience comme un poid.
Albynn ne croit pas en la vengeance suite à un meurtre. Une mort supplementaire ne ramènera pas la personne décédée.
Il n’est pas dépensier, préfèrant vivre tranquilement, à l’abris avec un bon repas.
En amour, il croit fermement à la fidèlité jusqu'à la mort, et a du mal à supporter l’idée d’aimer plusieurs personnes à la fois. Il n’aime pas le rapport sexuel juste pour le rapport, il doit y avoir Amour avec. Il se tourne naturellement vers les femmes, mais juge avant tout sur son cœur. Il est peut-être possible qu’un homme lui plaise...
Devotion : Albynn est un né eniripsa. Autrefois dévoués à la Grande Soigneuse, ses parents lui ont transmis un savoir naturel. Dès son jeune âge, il était donc capable d’utiliser la brise, sans être passé par le rituel. Ayant eu plus de temps que d’autres, il est donc capable de soigner pratiquement toute blessures. Certaines personnes pensent même qu’il serait capable de faire repousser des membres ou de ramener à la vie, très probablement à tort.
Albynn est un pur Eniripsa : dévoué à la Déesse, il prie souvent en son honneur, et est convaincu qu’elle n’est que douceur et bonté. Pour lui, tout le monde a droit à ses soins, car il n’est pas médecin, et que son don lui vient de sa Déesse, à qui il en est redevable.
Habileté : Albynn vit dans la nature depuis longtemps, relativement seul. Il a donc obtenu clandestinement, et au minimum, se trente classes par chaque métiers de récoltes. La peche demande une patience que l’eniripsa ne pouvait que rarement se permettre, c’est pourquoi ses autres métiers sont au bas mot de classe cinquante. La cuisine de piou et de viande en pleine nature lui as appris les bases d’un bon cuisinier, d’au moins de classe trente.
L‘eniripsa n’a pas particulièrement besoin de baguette, mais il avait besoin d’arc fins et de plus en plus performant pour embrocher les oiseaux et autres bestioles rapides pour se nourrir. Cela lui confère une habilité propre à l’obtention de la classe 40 de maitre à distance.
En temps normal, Al semble très maladroit. En fait, il manque juste d’un peu de chance et de confiance en lui. Mais lorsque la situation devient grave voir meme urgente, il est capable de prouesses d’habilités ou de rapidités.
Pouvoirs, energies, manies : Suite aux conseils d’amis, Al cache les pouvoirs qu’il a appris pour se défendre. Sa magie de glace est donc peu connue, et peu utilisée.
Al entend très bien, et est capable de diriger ses oreilles pointues pour entendre vers une direction ou une autre, chose qui le trahis rarement, étant donné qu’il a aussi l’habitude de les bouger pour manifester corporellement ses émotions. Droites lorsqu’il est aux aguets. L’une droite et l’autre penchée lorsqu il ne comprend pas ou se pose une question. Baissées lorsqu’il se sent coupable, mal à l’aise ou honteux, et baissées vers l’arrière lorsqu’il a peur. La position de ses ailes aide aussi à déterminer ce qui lui arrive : il croise les deux dernières phalanges dans son dos lorsqu’il se sent mal à l’aise. Elles se relèvent droite comme des i quand il est surpris ou heureux. Il les plaque sur les omoplates quand il est honteux.
Al est en rapport très fort avec le Wakfu. Son cœur de wakfu est pur, et celui-ci est envelopé d’une épaisse couche de Wakfu dérivé, laissant uniquement 7% de la place disponible. Lorsqu’il est inconscient ou mal en point, son wakfu dérivé réagit comme un aimant à Wakfu. Si des personnes ayant beaucoup de wakfu se situent dans la zone, Al ira inconsciemment les chercher. Il peut drainer le wakfu de manière lente mais sure, par deux points d’accès : une blessure profonde ou la tête. Il drainera jusqu'à recouvrir entièrement son wakfu d’origine, et une fois guéris ; à moins qu’on ne lui rende conscience.
Familiers : Al possède sept animaux.
Neko, son lapino, ne vient que lorsqu’il lui demande présence. C’est un simple lapino, un peu peureux, qui connait quatres ordres differents : soigner, se placer, sauter et tracter le porteur par une liaison magique. Neko n'est pas compté dans la ménagerie, car il est un don de Mère Eniripsa, et ne vit pas comme un animal classique.
Karasu est un chacha noir, comme bien de ses collègues. C’est un bon chacha pépère, mais qui n’aime pas qu’on l’insulte, et sortira les griffes dans ce cas. Il aime beaucoup Al qui prend soin de lui donner à manger tous les jours et soigne ses petits bobos. Il adore les caresses, et encore plus les dames, qui adorent le caresser, en général.
Karasu, après une balade agitée à Incarnam, a traversé un étrange nuage de l'endroit, le changeant en un chacha bleu clair. Il ne semble pas s'en incommoder le moindre du monde. Pour eviter qu'on l'enlève, à cause de sa couleur étrange, albynn a rajouté un pompom à son habituel collier de cuir. Ce collier possède une médaille, dont les deux faces sont gravée. L'une est au nom d'Albynn, l'autre porte le nom du chacha, Karasu.
Le troisième arrivé est Ufo, un tofu encore jeunot mais capable d’amener des lettres et des petits colis ne dépassant pas les 700 kamagrammes. C’est un tofu un peu hautains, qui n’aime pas vraiment se bouger autre que pour les lettres et la nourriture. C’est pour cela qu’il reste constamment sur la tête ou le dos de Karasu, trônant sur le poil comme un roi sur ses sujets. C'est aussi le chef de la bande animal, au caractère plus autoritaire que les autre.
Le dernier arrivé est le bébé slek Aku. Ce slekinou est tout gluant, en principe, mais Al pense à le laver tout les jours, en le sèchant bien à la sortie du bain. Son poil très court qui retient habituellement son mucus, très utile dans les grottes, mais pas l’exterieur, devient alors tout doux et soyeux. C’est un slekinou affectueux, prenant Al comme mère de substitution : il dors avec lui, le suit comme son ombre, refuse de manger s’il ne le lui donne pas lui-même, et fait parfois des caprices dignes de n’importe quelle race de bébé. Karasu ne l’aime pas, le voyant un peu comme le chouchou qui va prendre la première place. En plus, cette odeur de terre mouillée, berk ! Sensible, le chacha...
En fin de l'année 971 sont arrivés trois autres compagnons, et un quatrième encore dans l'oeuf.
Snuff est un snouffle curieux mais in dépendant. Il part souvent en vadrouille afin de chercher de quoi satisfaire son appetit particulier, ou partir sentir les filons de minerais encore "frais". Cette bestiole curieuse a la sale manie de vouloir fouiner dans les poches à la cherche de kamas ou de minerais, mettant Alb dans l'embarras. C'est pourquoi il laisse l'animal aller et venir entre les mine et lui, afin qu'il assouvisse lui même ses envies de minerais et de matière culinaires. Il ne dit pas non à un poisson pané de temps en temps.
Pero est un péroucan que l'eniripsa a sortit d'une cage, en compagnie de Lagotar et de membres de la Première Heure. Ce piaf aime voler, cherchant suremen rattraper son temps passé dans la cage. il livre les lettres en étant plutôt content, puisque la livraison lui garantit une petite récompense de la part de Byby, et que cela lui permet de voler plus loin que d'habitude. Mais sa tendance à trainer, obnibulé par le fait de pouvoir voler, oblige tout de même A à envoyer Ufo en priorité pour ses courriers. Il adore les greuvettes fraiches.
Kouino est un koinkoin malicieu qui a tiré sur la canne à pêche d'Albynn, à la foire du trool. Albynn lui a donné les croutons qui lui restait du zoo, et le koinkoin n'a plus voulu le lacher, malgrè l'air interessé de Karasu. Kouino est un familier peureux, paresseux. Il n'aime surtout pas marcher, ne serait-ce que d'un pas, ou même pour venir chercher un crouton. Il passe donc son temps à faire la sieste dans le havre sac.
Leiada, la jeune corbic blanc n'a que quelque mois. Issu de la reproduction entre le corbac blanc Aiedal, familier d'Etreka, et une corbette normale, Albynn a gardé l'oeuf dans son havre sac juqu’a éclosion. Offert par Nectarinne, Albynn a confié l'oeuf à Kouino, le laisant couver jusqu'a maturité. La cobic a pu faire connaissance de son père, Aiedal, quand Albynn a pu obtenir la garde de celui-ci, auprès de son propriétaire, un roublard. Leiada est une corbic albinos, hors mis un trait unique trait noir sur les ailes.
Albynn a obtenu de son beau frère, Sponys Sanplum, un chacha des glaces, censé l'aider à canaliser sa magie de soins. La petite bète, du nom de Jojo, en mémoire à feu Jojo Valoria, un "patient" d'Albynn décédé sur le champs de bataille, est calme et silencieuse.
En martalo 972, une amie sram lui as demandé de dresser son bouftou albinos comme ses propres animaux. La femme mourru avant la fin du dressage. Le bouftou albinos Bellin est le neuvième de la ménagerie. Il est querelleur et possessif, mais perd bien souvent face au chef de meute, Ufo le tofu.
Arni est une arakne que Al a sortit de l'eau au cours d'une partie de pêche, en jouillet 972. Y voyant une aubaine pour être nourrie sans effort, la bestiole est restée. Quand il l'emmène, elle réside dans son chapeau de pirate bontarien. Elle aime les insectes croustillant, et est très docile par intéret, c'est le dixième de la ménagerie.
Oeuf à éclore: Un autre oeuf d'Aiedal, confié cette fois ci par Jacob. Bientot sur le point d'éclore....
Albynn- Le Respectable
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Localisation : Devant mon ordi! T'as cru quoi?
Re: Albynn, porte-poisse?
« Pensées, extrait d’un journal »
[....]
Chield me parle souvent en m’appelant son « ami ». Qu’est ce que ca veux dire ? J’ai tout oublié il y a environ huit ans.... J’ai jamais eu d’amis. Chield dis qu’on peux compter sur ses amis. C’est pas sur un boulier qu’on apprend à compter, pourtant... ? Je comprends pas. Ce serait une liaison particulière entre deux humains, ils peuvent se confier l’un à l’autre. C’est une simple question de confiance ? Chield dit que ce n’est pas si simple... Que ça se sent avec le cœur. J’ai un cœur de pierre. Est-ce que ca peux marcher avec moi ?
Farn lui as dis de laissez tomber, que je finirais bien par trouver tout seul un jour. Mais quand ?
J’ai l’impression de passer à coter de quelque chose d’important, sans cœur... Mais j’ai peur de faire remonter ma haine en le libérant...
Qu’est ce que je doit faire..... ?
J’ai peur de moi... Qu’est ce que je cache sous ma coquille de pierre.... ?
Ca va exploser.... Vague de haine....
[....]
Chield me parle souvent en m’appelant son « ami ». Qu’est ce que ca veux dire ? J’ai tout oublié il y a environ huit ans.... J’ai jamais eu d’amis. Chield dis qu’on peux compter sur ses amis. C’est pas sur un boulier qu’on apprend à compter, pourtant... ? Je comprends pas. Ce serait une liaison particulière entre deux humains, ils peuvent se confier l’un à l’autre. C’est une simple question de confiance ? Chield dit que ce n’est pas si simple... Que ça se sent avec le cœur. J’ai un cœur de pierre. Est-ce que ca peux marcher avec moi ?
Farn lui as dis de laissez tomber, que je finirais bien par trouver tout seul un jour. Mais quand ?
J’ai l’impression de passer à coter de quelque chose d’important, sans cœur... Mais j’ai peur de faire remonter ma haine en le libérant...
Qu’est ce que je doit faire..... ?
J’ai peur de moi... Qu’est ce que je cache sous ma coquille de pierre.... ?
Ca va exploser.... Vague de haine....
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
J'ai pas encore lu mais je passe pour dire un truc ! Tu te sens de raconter ton arrivée chez les Free ? :3
Re: Albynn, porte-poisse?
Normalement j'l'ai déjà fais dans le journal, mais je peux faire mieux si tu veux!
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
...Ooops, jériendi, j'ai sauté le passage 1-9 septembre, ça me motivais pas, et le recrutement était le 3 xD
S'cuse x) Bon, j'vais pondre un truc alors!
Première personne ou troisième personne, l'histoire?
S'cuse x) Bon, j'vais pondre un truc alors!
Première personne ou troisième personne, l'histoire?
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
Tu l'attendais, bah le vala!
3 septange 972
Rien ne m’avait vraiment préparé à ce soir là.
J’écoutais distraitement une dispute à propos d’eau savonneuse quand Cyd est arrivé, suivit d’une femme…
Femme qui semblait me connaitre, ses yeux brillaient en me regardant.
Elle m’a dit que l’ex-gouverneur Birth ne tarissait pas d’éloge sur moi, et voulait même me voir. Séance tenante.
Elle l’a même traité de « politicien, révolutionnaire et gros utopiste ».
Utopiste ? Il s’est passé quelque chose ?
La suite m’a de plus en plus interloqué : Cyd a demandé si Birth avait des vues sur moi. La femme a dit qu’il me voulait « parmis eux », et que selon Birth, il « ne se voit pas lancer un déploiement sur Astrub sans Albynn ».
Un déploiement ? Et c’est qui « eux » ?
Je n’y comprend rien, et j’ai l’impression d’assister à un projet enormissime.
De ce que m’endisent la femme et Cyd, c’est effectivement un gros projet. Birth veux faire d’Astrub une zone de paix, et pour cela, il a réunis une certaines quantité de guerriers valeureux pour la défendre, dont il aimerait me parler.
Me parler, à moi !?
Comment je pourrais ammener quoi que ce soit à un ex-gouverneur à la tête d’une armée ?
Ils ont d’ailleurs recruté Red, hier, selon la femme.
Mais cela ne lui parait pas important.
Je me retrouve coit quand elle me dit que Birth croit en mon rêve.
Et que c’est moi qui lui ai inspiré ce déploiement !
J’en serais tombé fesses à terre, si je n’avais pas été si surpris.
Et j’ai encore plus été surpris quand elle a dis qu’elle allait le chercher pour parler avec moi.
Et ça s’est pas arrété quand il ets arrivé…
IL S EST CHANGE EN FILLE !
…….Bfrlbg, kezako !
Bref, donc… Nous sommes aller chez Birth… Il a une fille, je l’ignorais. Et même une femme !
Femme qui me rappelle beaucoup Lainn : elle adore les calins, et est « attirée par tout ce qui a l’air perdu ».
Je dois drôlement avoir l’air perdu, alors !
Birth est allé droit au but. Il m’a parlé de Get Free, c’est une organisation spécialisée dans l’intervention en territoire de guerre civile. Ce sont des révolutionnaires qui se battent pour liberer le peuple.
Il m’a dit que, dernièrement, ils menaient une opération nouvelle. Une opération que j’ai initié sans le savoir.
Il m’a demandé si j’avais toujours le même rêve… Et a ajouté qu’il voulait le voir arriver.
J’ai devant moi un ex-gouverneur qui crois en mon rêve. Moi, simple citoyen de Sufokia.
Il veut commencer par instaurer une milice à Astrub, pour finalement arriver à… Instaurer un véritable tribunal.
Il a finit en apothéose en me demandant si je voulais prendre part à ce projet, et si j’accepterais de les rejoindre.
Si je veux aider Astrub ? Si je veux combattre l’injustice et aider à une meilleure vie humaine ici ?
Bien sûr que j’ai accepté ! Je n’allais pas passer à coté de cette occasion !
Et me voilà donc, avec un blason vert à plume blanche.
Je sens qu’une nouvelle ère va arriver.
3 septange 972
Rien ne m’avait vraiment préparé à ce soir là.
J’écoutais distraitement une dispute à propos d’eau savonneuse quand Cyd est arrivé, suivit d’une femme…
Femme qui semblait me connaitre, ses yeux brillaient en me regardant.
Elle m’a dit que l’ex-gouverneur Birth ne tarissait pas d’éloge sur moi, et voulait même me voir. Séance tenante.
Elle l’a même traité de « politicien, révolutionnaire et gros utopiste ».
Utopiste ? Il s’est passé quelque chose ?
La suite m’a de plus en plus interloqué : Cyd a demandé si Birth avait des vues sur moi. La femme a dit qu’il me voulait « parmis eux », et que selon Birth, il « ne se voit pas lancer un déploiement sur Astrub sans Albynn ».
Un déploiement ? Et c’est qui « eux » ?
Je n’y comprend rien, et j’ai l’impression d’assister à un projet enormissime.
De ce que m’endisent la femme et Cyd, c’est effectivement un gros projet. Birth veux faire d’Astrub une zone de paix, et pour cela, il a réunis une certaines quantité de guerriers valeureux pour la défendre, dont il aimerait me parler.
Me parler, à moi !?
Comment je pourrais ammener quoi que ce soit à un ex-gouverneur à la tête d’une armée ?
Ils ont d’ailleurs recruté Red, hier, selon la femme.
Mais cela ne lui parait pas important.
Je me retrouve coit quand elle me dit que Birth croit en mon rêve.
Et que c’est moi qui lui ai inspiré ce déploiement !
J’en serais tombé fesses à terre, si je n’avais pas été si surpris.
Et j’ai encore plus été surpris quand elle a dis qu’elle allait le chercher pour parler avec moi.
Et ça s’est pas arrété quand il ets arrivé…
IL S EST CHANGE EN FILLE !
…….Bfrlbg, kezako !
Bref, donc… Nous sommes aller chez Birth… Il a une fille, je l’ignorais. Et même une femme !
Femme qui me rappelle beaucoup Lainn : elle adore les calins, et est « attirée par tout ce qui a l’air perdu ».
Je dois drôlement avoir l’air perdu, alors !
Birth est allé droit au but. Il m’a parlé de Get Free, c’est une organisation spécialisée dans l’intervention en territoire de guerre civile. Ce sont des révolutionnaires qui se battent pour liberer le peuple.
Il m’a dit que, dernièrement, ils menaient une opération nouvelle. Une opération que j’ai initié sans le savoir.
Il m’a demandé si j’avais toujours le même rêve… Et a ajouté qu’il voulait le voir arriver.
J’ai devant moi un ex-gouverneur qui crois en mon rêve. Moi, simple citoyen de Sufokia.
Il veut commencer par instaurer une milice à Astrub, pour finalement arriver à… Instaurer un véritable tribunal.
Il a finit en apothéose en me demandant si je voulais prendre part à ce projet, et si j’accepterais de les rejoindre.
Si je veux aider Astrub ? Si je veux combattre l’injustice et aider à une meilleure vie humaine ici ?
Bien sûr que j’ai accepté ! Je n’allais pas passer à coté de cette occasion !
Et me voilà donc, avec un blason vert à plume blanche.
Je sens qu’une nouvelle ère va arriver.
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
J'adoooooooooooore ! Albynn dans Get Free et Harkane une heure plus tard...j'avais jamais autant hurlé de joie dans une soirée !
Re: Albynn, porte-poisse?
[Une série de cadeau pour Birthy: Albynn et les Kwaks)
(Note: ALb a rencontré les kwaks peu après cette scène, Blanche était la seconde de la Guilde. L'homme aux cheveux dorés se nomme Blaydor Ohmilla, il correspond au frère de la petite morte, dans le BG de byby. C'est grâce à ce perso que j'ai amorcé le rp "procès")
L’homme aux cheveux dorés renta dans un havre ouvert. A la vision de la personne toute blanche, il sentis de la rancœur remonter. La personne se tourna. Une femme aux yeux rouges. Adepte sacrieuse, comme lui.
- C’est fermé, monsieur.
- Ha ? s’pas d’bol, j’voulais un bon liquide à mettre raide...
Disant cela, il fixait les étagères à herbes de la sacrieuse. Blanche compris bien à son regard qu’il avait compris que toutes ces herbes ne se consommaient pas. Le plus simple était donc de s’occuper de ce que voulait ce type et le laisser se casser. Elle se drigea vers l’établis :
- De quel genre, le poison ?
- De préférence, qui fait jacasser un moment avan de finir en raide planche.
Un sadique. Elle tourna le regard pour le considerer. Il la regadais dun air légèrement malicieux.
- Qu’est ce qui vous amuse ?
- Ben je m’demais quels bavassements vous sortiez pour pas avoir fini au fond d’un trou comme les z’autres maudits. ‘Z’étiez cachée ?
La sacrieuse cessa ses mélanges et fixa l’homme. Un paysan Amaknéen. Encore un qui croyait ferme en cette histoire de transmission de poisse.
- Mes parents me disaient malade et je restais souvent à la maison.
- Ho, une gentille fifille de riches ? Pas trop dur de rester bien tranquile ?
Blanche serra le poing, décidée à ignorer le « gosse ». Un gars d’environ la vingtaine, et elle le detestais déjà. Ce genre de type qui méprisaient les personnes differentes, par origine ou allure, méritaient elles même d’être méprisées. Blanche retourna à sa préparation mais le sacrieur n’en démordait pas.
- S’pas trop dur d’voir vos autres cramer vifs pendant que vous étiez pépère à l’abris ? Ou d’les voir acceuillis à coup d’caillasse, sans z’un coin certain ?
Elle refusait de jouer son jeu, et l’insupportait. Elle s’approcha et lui colla la fiole de préparation dans les mains, prenant l’argent dans sa main droie.
- Voilà pour toi. Maintenant, dégage.
Il alla vers la sortie, mais s’arréta un court instant :
- T’inquiete va pas, toi aussi tu finira au bout d’une corde. T’as d’bol que j’sois sur un autre en c’temps.
Fixant le type qui s’en allait, Blanche eu des remords. « Pourvu qu’il ne tue pas quelqu’un comme moi avec ça. »
Elle se tourna et retourna à des préparations moins dangereuses.
« Non, j’en aurait entendu parler s’il restait des maudits chassés. »
(Note: ALb a rencontré les kwaks peu après cette scène, Blanche était la seconde de la Guilde. L'homme aux cheveux dorés se nomme Blaydor Ohmilla, il correspond au frère de la petite morte, dans le BG de byby. C'est grâce à ce perso que j'ai amorcé le rp "procès")
L’homme aux cheveux dorés renta dans un havre ouvert. A la vision de la personne toute blanche, il sentis de la rancœur remonter. La personne se tourna. Une femme aux yeux rouges. Adepte sacrieuse, comme lui.
- C’est fermé, monsieur.
- Ha ? s’pas d’bol, j’voulais un bon liquide à mettre raide...
Disant cela, il fixait les étagères à herbes de la sacrieuse. Blanche compris bien à son regard qu’il avait compris que toutes ces herbes ne se consommaient pas. Le plus simple était donc de s’occuper de ce que voulait ce type et le laisser se casser. Elle se drigea vers l’établis :
- De quel genre, le poison ?
- De préférence, qui fait jacasser un moment avan de finir en raide planche.
Un sadique. Elle tourna le regard pour le considerer. Il la regadais dun air légèrement malicieux.
- Qu’est ce qui vous amuse ?
- Ben je m’demais quels bavassements vous sortiez pour pas avoir fini au fond d’un trou comme les z’autres maudits. ‘Z’étiez cachée ?
La sacrieuse cessa ses mélanges et fixa l’homme. Un paysan Amaknéen. Encore un qui croyait ferme en cette histoire de transmission de poisse.
- Mes parents me disaient malade et je restais souvent à la maison.
- Ho, une gentille fifille de riches ? Pas trop dur de rester bien tranquile ?
Blanche serra le poing, décidée à ignorer le « gosse ». Un gars d’environ la vingtaine, et elle le detestais déjà. Ce genre de type qui méprisaient les personnes differentes, par origine ou allure, méritaient elles même d’être méprisées. Blanche retourna à sa préparation mais le sacrieur n’en démordait pas.
- S’pas trop dur d’voir vos autres cramer vifs pendant que vous étiez pépère à l’abris ? Ou d’les voir acceuillis à coup d’caillasse, sans z’un coin certain ?
Elle refusait de jouer son jeu, et l’insupportait. Elle s’approcha et lui colla la fiole de préparation dans les mains, prenant l’argent dans sa main droie.
- Voilà pour toi. Maintenant, dégage.
Il alla vers la sortie, mais s’arréta un court instant :
- T’inquiete va pas, toi aussi tu finira au bout d’une corde. T’as d’bol que j’sois sur un autre en c’temps.
Fixant le type qui s’en allait, Blanche eu des remords. « Pourvu qu’il ne tue pas quelqu’un comme moi avec ça. »
Elle se tourna et retourna à des préparations moins dangereuses.
« Non, j’en aurait entendu parler s’il restait des maudits chassés. »
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
[NDLA: oui, oui, V3, patatetoussa]
[pensées, extrait d’un journal]
Silk Mortemain, devenu garde de Brakmar, est passé. Je serais en état d’arrestation !
Qu’est ce qu’on me reproche, je ne comprends pas ?
Je peux pas faire grand-chose. Je suis entouré de toute part. Ce sacrieur blond....
Blaydor Ohmilla !?
Il a du porter plainte pour sa sœur. Je pensais avoir la paix en changeant de vie. Bonta était ma nouvelle porte. Ma nation, celle que j’ai choisie.
Silk me passe les menottes. Blanche et Cyd protestent. Ils vont finir par s’attirer des ennuis !
En état d’arrestation…
C’est une erreure judiciaire ! Je suis pas coupable !
Blaydor est le detenteur du dossier, on dirais…
Je n’ai pas touché à sa sœur, mais il refuse d’y croire, à ce qu’il semble…
Silk dit que je serais jugé d’ici quelques jours. Blanche et Cyd se demontent pas, ils veulent que je m’enfuie. Mais si je vais etre jugé, je serais libéré, puisque je n’ai rien fais.
Cyd ! ne t’en prend pas à Silk ! Il va te tuer !
Il l’a jeté dehors. Malgré ses boucliers, il est en piteux état. Silk m’a enfermé dans une cellule sans accès de sortie. Une fois débarassé de Cyd, il a ouvert le chemin, en me le barrant, bien sur. J’ai toujours les mains attachées. Il a sortis une poupée bizarre de son sac, à mon effigie. Un sceau bleu s’est mis en route, la poupée s’est mise à grandir, et j’ai rétrécis. Comment c’est possible ?
Silk est immense. A vu de ses bottes, j’ai la taille d’une poupée sadidas, tout au plus. Il tend sa main devenue gigantesque pour me ramasser. J’essaye de courir, mais avec la nouvelle difference de taille, sa main se deplace plus vite que mes jambes. Il m’empoigne sans vergogne, je suis incapable de bouger les bras, plaqué par sa paume contre mon corps. J’ai le temps de voir la poupée à mon effigie. Elle est vraiment bien faite, mais dans quel but une telle mascarade ?
Je suis coincé dans sa main, et ça l’amuse, on dirait. Je suis sur que s’il serre trop fort, je vais mourir étouffé. Mais c’est pas son but, à ce qu’il semble. Il ouvre un petit sac et m’enferme dedans. Ca sent la nourriture dedans. On n’y voit rien. J’ai la tête qui tourne…
Des vapeurs soporifiques… ?
[pensées, extrait d’un journal]
Silk Mortemain, devenu garde de Brakmar, est passé. Je serais en état d’arrestation !
Qu’est ce qu’on me reproche, je ne comprends pas ?
Je peux pas faire grand-chose. Je suis entouré de toute part. Ce sacrieur blond....
Blaydor Ohmilla !?
Il a du porter plainte pour sa sœur. Je pensais avoir la paix en changeant de vie. Bonta était ma nouvelle porte. Ma nation, celle que j’ai choisie.
Silk me passe les menottes. Blanche et Cyd protestent. Ils vont finir par s’attirer des ennuis !
En état d’arrestation…
C’est une erreure judiciaire ! Je suis pas coupable !
Blaydor est le detenteur du dossier, on dirais…
Je n’ai pas touché à sa sœur, mais il refuse d’y croire, à ce qu’il semble…
Silk dit que je serais jugé d’ici quelques jours. Blanche et Cyd se demontent pas, ils veulent que je m’enfuie. Mais si je vais etre jugé, je serais libéré, puisque je n’ai rien fais.
Cyd ! ne t’en prend pas à Silk ! Il va te tuer !
Il l’a jeté dehors. Malgré ses boucliers, il est en piteux état. Silk m’a enfermé dans une cellule sans accès de sortie. Une fois débarassé de Cyd, il a ouvert le chemin, en me le barrant, bien sur. J’ai toujours les mains attachées. Il a sortis une poupée bizarre de son sac, à mon effigie. Un sceau bleu s’est mis en route, la poupée s’est mise à grandir, et j’ai rétrécis. Comment c’est possible ?
Silk est immense. A vu de ses bottes, j’ai la taille d’une poupée sadidas, tout au plus. Il tend sa main devenue gigantesque pour me ramasser. J’essaye de courir, mais avec la nouvelle difference de taille, sa main se deplace plus vite que mes jambes. Il m’empoigne sans vergogne, je suis incapable de bouger les bras, plaqué par sa paume contre mon corps. J’ai le temps de voir la poupée à mon effigie. Elle est vraiment bien faite, mais dans quel but une telle mascarade ?
Je suis coincé dans sa main, et ça l’amuse, on dirait. Je suis sur que s’il serre trop fort, je vais mourir étouffé. Mais c’est pas son but, à ce qu’il semble. Il ouvre un petit sac et m’enferme dedans. Ca sent la nourriture dedans. On n’y voit rien. J’ai la tête qui tourne…
Des vapeurs soporifiques… ?
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
Le garde Silk ressortis du havre. Le prisonnier eniripsa était juste à ses cotés, sans aucune chaines. Cyd entrepris de lui sauter à la figure, tandis que Blanche cherchais des noises au sacrieur blond d’amakna. Blaydor ne cherchais pas la bagarre, mais si elle se lançait, il n’aurait d’autre choix que de s’y mettre aussi.
Silk evitais tout les coups du féca. Celui-ci était bien determiné à faire liberer l’eniripsa. Il lui avait sauvé la vie, et celle de Blanche surtout. De plus, les condamnations pour cet albinos n’étaient certainemetn pas valable, surtout en écoutant le discour raciste de Blaydor…
L’eni blanc en question s’interposa, et le feca se stoppa dans sa course.
- Stop. Je suis libre. Parvenu à un accord.
Silk croisa les bras et ria en regardant le féca ingénieur :
- Tu vois, tu devrais écouter avant d’attaquer tête baissée. Surtout contre Silk Mortemain, héritier Mortemain.
- Libre en attendant le jugement. Mais je devrais y venir. Calme-toi.
- C’est vrai ?
Le feca le fixa d’un air méfiant. On pouvais s’attendre à tout venant d’un gars pareil, mais l’eni n’avait effectivement plus trace de chaines.
- Sur ce, je vous laisse, moi. Adios.
Le garde fila à travers le vent. Plus derière lui, un cra au port fier arrivais. L’un et l’autre s’étaient bien reconnus. Le cra ne fit pas de poursuite, mais se dirigea vers le jeune eni blanc dès qu’il le repéra :
- Albynn ! C’est bien Silk Mortemain qui vient de partir, là ?
- Oui.
- Ha.... L‘heure est grave, suis-moi... Attends, qui t’a aidé ici ?
Raide comme un manche, l’eni pointa la sacrieuse blanche aux prises avec Blaydor, et le feca ingénieur Cyd.
- Blanche et Cyd.
Le duc s’approcha d’eux et leur fit signe de le suivre.
- On a à parler, c’est grave. Allons dans un endroit moins fréquenté.
Les quatre personnages allèrent en direction des égouts, en haut d’une des plates formes. Le cra se tourna et déclara :
- Je me présente, Duc Nathaniel de Bonta. Enfin, ex-Duc en état actuel. Je suppose que vous vous en doutez, mais ce procès sera truqué.
- Oui, j’ai vu. Ce sacrieur blond a l’air bien determiné à faire passer Al à la potence quoi qu’il advienne. Si je pouvais l’étrangler, celui là !
- Calmez-vous, miss. Si on s’en prend à un membre de ce procès, c’est sur Albynn que ca retombera. Mais d’ailleur, Al, qui est ce Blaydor qui t’en veux tant ?
Le questionné ouvrit la bouche, puis parut refléchir. Au bout de quelques secondes, il lacha :
- Oublié.
Dans un marmonement, il fini par « ié-ié-ié », mais le cra s’interessait à autre chose.
- Bref, ce n’est pas le problème. Le gros problème, c’est que, d’après ce que je vois, une forte organisation, assez puissante pour etre près des gouvernements, est bien décidé à tuer Al, et de manière officielle de surcroit.
- Tu crois ? Crois-crois-crois...
Nathaniel se tourna vers l’accusé :
- J’en suis certain. Chacune de ces accusation est bidon, archibidon. Ce ne sont que de simples pretextes. Mais qui, et pourquoi, j’en sais rien. C’est ce qui m’inquiète le plus. Jusqu’ici, tes ennemis s’en prenaient directement à toi ou à tes amis, mais là, pour passer par quelqu’un qui a l’air de te hair au plus haut point... Et de faire un procès officiel et publique, c’est plus grave qu’un simple règlement de compte.
Son regard se posa sur l’ingénieur, assis par terre, qui dormait.
- Bref, ce m’inquiète vraiment, c’est que cette organisation est à la fois influente et discrète, chose peu évidente. En tant que duc, j’en avais jamais entendu parlé. Tu as une idée, peut etre, Al ?
- Aucune. Une-une....
Le cra s’approcha doucement de l’eni qui était immobile comme un piquet. Pas different de d’habitue, mais pourtant, quelque chose avait l’air inhabituel... L’eni en question se tourna vers Blanche qui l’interpellais dans son dos.
- T’es sur que ça va ?
Le cra fixa le dos de l’eni. Ce phénomène lui semblais familier. Et ses ailes avaient l’air étranges....
- Quelque chose tourne pas rond...
Alors que l’ancien Duc allait froler ses ailes, l’eni dit d’un ton monocorde :
- Cible éloignée. Explosion dans trois....
- UN PIEGE !!
Nathaniel poussa violamment Blanche et entrepris de s’éloigner rapidement :
- TOUS A TERRE ! VITE !
Ni une ni deux, Blanche courru dans l’autre coin en empoignant son ami ingénieur totalement reveillé par les cris et les trois sautèrent au sol. A ce moment, l’eni, ou ce qui se faisait passer pour lui, explosa dans une grande gerbe de feu horizontale, passant au dessus des trois compères. Le feu ne les atteignis pas, étant trop près du sol. Nathaniel fut le premier à se relever et alla constater la chose. Il restait des morceaux de tissu blanc et vert. Il en ramassa un morceau et tâta la texture.
- Une poupée...
Arrivant par derière lui, Blanche explosa de colère :
- Ce maudit roublard !! Il nous a roulés !!
- Ce genre de poupées est fabriqué par des sadidas hérétique. J’en avait vu que deux jusqu'à maintenant... Qui est ce Silk pour avoir de tels objets, je me demande...
Blanche était hors de ses gonds. Cette fois ci, elle en avait ras la casserole :
- Nom de Sacrieur, ils sont tous de mèches ! Qu’est ce qu’il a fait de Albynn, maintenant ?
- Calmez-vous. Il ne peut pas l’avoir tué, ils ont besoin d’un accusé vivant pour le quatorze Novemaire. Mais il ne risque pas de passer des moments agréables. Après cela, j’espère bien que vous serez présents pour le procès. On compte sur vous deux.
- Ca, pour sur qu’on y sera !
L’ingénieur féca s’avança :
- C’est peut etre le moment d’appeler de la rescousse. « Il » sera ravi de se joindre à nous, tu vois de qui je parle Blanche ?
- Ouai. Et moi, je vais appeler Chield. On va le sortir de cette panade. L’injustice à ce point, c’est insupportable.
L’ancien Duc jaugea un sadidas du destin qui passait.
- Je propose qu’on en discute dans un havre, les Destins sont de sortis, donc les murs ont des oreilles.
Ils allèrent donc dans un havre, à l’abris de toute écoute.
Silk evitais tout les coups du féca. Celui-ci était bien determiné à faire liberer l’eniripsa. Il lui avait sauvé la vie, et celle de Blanche surtout. De plus, les condamnations pour cet albinos n’étaient certainemetn pas valable, surtout en écoutant le discour raciste de Blaydor…
L’eni blanc en question s’interposa, et le feca se stoppa dans sa course.
- Stop. Je suis libre. Parvenu à un accord.
Silk croisa les bras et ria en regardant le féca ingénieur :
- Tu vois, tu devrais écouter avant d’attaquer tête baissée. Surtout contre Silk Mortemain, héritier Mortemain.
- Libre en attendant le jugement. Mais je devrais y venir. Calme-toi.
- C’est vrai ?
Le feca le fixa d’un air méfiant. On pouvais s’attendre à tout venant d’un gars pareil, mais l’eni n’avait effectivement plus trace de chaines.
- Sur ce, je vous laisse, moi. Adios.
Le garde fila à travers le vent. Plus derière lui, un cra au port fier arrivais. L’un et l’autre s’étaient bien reconnus. Le cra ne fit pas de poursuite, mais se dirigea vers le jeune eni blanc dès qu’il le repéra :
- Albynn ! C’est bien Silk Mortemain qui vient de partir, là ?
- Oui.
- Ha.... L‘heure est grave, suis-moi... Attends, qui t’a aidé ici ?
Raide comme un manche, l’eni pointa la sacrieuse blanche aux prises avec Blaydor, et le feca ingénieur Cyd.
- Blanche et Cyd.
Le duc s’approcha d’eux et leur fit signe de le suivre.
- On a à parler, c’est grave. Allons dans un endroit moins fréquenté.
Les quatre personnages allèrent en direction des égouts, en haut d’une des plates formes. Le cra se tourna et déclara :
- Je me présente, Duc Nathaniel de Bonta. Enfin, ex-Duc en état actuel. Je suppose que vous vous en doutez, mais ce procès sera truqué.
- Oui, j’ai vu. Ce sacrieur blond a l’air bien determiné à faire passer Al à la potence quoi qu’il advienne. Si je pouvais l’étrangler, celui là !
- Calmez-vous, miss. Si on s’en prend à un membre de ce procès, c’est sur Albynn que ca retombera. Mais d’ailleur, Al, qui est ce Blaydor qui t’en veux tant ?
Le questionné ouvrit la bouche, puis parut refléchir. Au bout de quelques secondes, il lacha :
- Oublié.
Dans un marmonement, il fini par « ié-ié-ié », mais le cra s’interessait à autre chose.
- Bref, ce n’est pas le problème. Le gros problème, c’est que, d’après ce que je vois, une forte organisation, assez puissante pour etre près des gouvernements, est bien décidé à tuer Al, et de manière officielle de surcroit.
- Tu crois ? Crois-crois-crois...
Nathaniel se tourna vers l’accusé :
- J’en suis certain. Chacune de ces accusation est bidon, archibidon. Ce ne sont que de simples pretextes. Mais qui, et pourquoi, j’en sais rien. C’est ce qui m’inquiète le plus. Jusqu’ici, tes ennemis s’en prenaient directement à toi ou à tes amis, mais là, pour passer par quelqu’un qui a l’air de te hair au plus haut point... Et de faire un procès officiel et publique, c’est plus grave qu’un simple règlement de compte.
Son regard se posa sur l’ingénieur, assis par terre, qui dormait.
- Bref, ce m’inquiète vraiment, c’est que cette organisation est à la fois influente et discrète, chose peu évidente. En tant que duc, j’en avais jamais entendu parlé. Tu as une idée, peut etre, Al ?
- Aucune. Une-une....
Le cra s’approcha doucement de l’eni qui était immobile comme un piquet. Pas different de d’habitue, mais pourtant, quelque chose avait l’air inhabituel... L’eni en question se tourna vers Blanche qui l’interpellais dans son dos.
- T’es sur que ça va ?
Le cra fixa le dos de l’eni. Ce phénomène lui semblais familier. Et ses ailes avaient l’air étranges....
- Quelque chose tourne pas rond...
Alors que l’ancien Duc allait froler ses ailes, l’eni dit d’un ton monocorde :
- Cible éloignée. Explosion dans trois....
- UN PIEGE !!
Nathaniel poussa violamment Blanche et entrepris de s’éloigner rapidement :
- TOUS A TERRE ! VITE !
Ni une ni deux, Blanche courru dans l’autre coin en empoignant son ami ingénieur totalement reveillé par les cris et les trois sautèrent au sol. A ce moment, l’eni, ou ce qui se faisait passer pour lui, explosa dans une grande gerbe de feu horizontale, passant au dessus des trois compères. Le feu ne les atteignis pas, étant trop près du sol. Nathaniel fut le premier à se relever et alla constater la chose. Il restait des morceaux de tissu blanc et vert. Il en ramassa un morceau et tâta la texture.
- Une poupée...
Arrivant par derière lui, Blanche explosa de colère :
- Ce maudit roublard !! Il nous a roulés !!
- Ce genre de poupées est fabriqué par des sadidas hérétique. J’en avait vu que deux jusqu'à maintenant... Qui est ce Silk pour avoir de tels objets, je me demande...
Blanche était hors de ses gonds. Cette fois ci, elle en avait ras la casserole :
- Nom de Sacrieur, ils sont tous de mèches ! Qu’est ce qu’il a fait de Albynn, maintenant ?
- Calmez-vous. Il ne peut pas l’avoir tué, ils ont besoin d’un accusé vivant pour le quatorze Novemaire. Mais il ne risque pas de passer des moments agréables. Après cela, j’espère bien que vous serez présents pour le procès. On compte sur vous deux.
- Ca, pour sur qu’on y sera !
L’ingénieur féca s’avança :
- C’est peut etre le moment d’appeler de la rescousse. « Il » sera ravi de se joindre à nous, tu vois de qui je parle Blanche ?
- Ouai. Et moi, je vais appeler Chield. On va le sortir de cette panade. L’injustice à ce point, c’est insupportable.
L’ancien Duc jaugea un sadidas du destin qui passait.
- Je propose qu’on en discute dans un havre, les Destins sont de sortis, donc les murs ont des oreilles.
Ils allèrent donc dans un havre, à l’abris de toute écoute.
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
14 Novemaire 969:
J’ai mal, et c’est pour bientôt... Ils m’ont fouillé, questionné, martyrisé, aussi. Le garde bleu d’amakna est le plus sympa. Blaydor n’y va pas avec le dos de la cuiller. Il m’a fichue des baffes, des coups de matraques, des coups de pied comme à l’époque. Quand il était pas là, c’est le garde bleu qui me gardait. Son regard est bizarre, on dirait presque de la pitié.
Avec toutes leurs questions, les fouilles, les verifications, j’ai pas dormis de la nuit. Le procès est pour bientôt, disent-ils. Finalement, Ohmilla m’a trainé dehors. Le soleil commence à se coucher. Il y a un monde fou ! Il a passé le relais à Silk qui ma collé entre une eniripsa et Seltz. Mes avocats ? J’en sais rien.
J’ai du mal à rester eveillé. Il le faut !
L’eniripsa à ma droite lit mes accusations. Qu’est ce que c’est que ces méprises ?
Je suis un peu rassuré. Les accusations sont eronnées, donc je ne suis pas coupable. Ca va etre simple à réfuter.
Silk ajoute « hérésie ». Hérétique ? Moi ?
Je suis tout dévoué à Eniripsa ! Pourquoi aurais-je ecrit un soi disant livre hérétique ?
Il me tend un bouquin, le livre hérétique en question. Il est signé de mon nom ! Qu’est ce qui se passe ?? L’écriture est semblable en plus !
Une preuve montée !?
J’ai beau protester, on dirait qu’on ne m’écoute pas. Pourquoi ? Qu’est ce qui se passe, ici ?
Je fais le tour des personnes présentes. Il y a Farn, Blaydor, Seltz, Silk bien sur. Le garde d’Amakna est resté pioncer dans la prison, on dirais. Il y a monsieur Kaure Vayne Ayme, le rival de monsieur Gin. Il y des gens que je ne connais pas, comme le iop à la coupe large et grise au bar. Je ne voit pas Blanche et Cyd. Il leur est arrivé quelque chose ? Ou on les a empéché de venir ? Je ne voit aucun Tisseur, non plus. Ca vaut peut etre mieux, ils auraient essayé de me sortir de là par la force. J’espère que Matsuko va bien...
Il y a Markäan dans le fond, aussi. Et un xelor derière moi n’arrete pas de dire « Ouai, bravo c’est bien joué ! » à chaque accusation que lit ma voisine eniripsa. Et il y a Monsieur Grey’s aussi, qui m’a protégé contre Florianne. Elle n’est pas là, elle non plus ?
Silk juge qu’il y a trop de foule. Farn et ceux qui me soutiennent s’enervent. Ils veulent qu’on me laisse parler.
« Panique pas, Al ! »
Farn me dis que je dois rester calme. Je joue ma tête, c’est pas simple !
Mais pourquoi rien ne va correctement... ? On ne m’écoute pas !
Que se passe-t-il ce soir ?
Le garde Brakmarien me traine dans son propre havre. Il y a trois pièces. Il demande à ce que chacun s’installe selon sa position. Dans la première pièce, ceux qui sont neutre et mes soutenants. Dans la deuxième, tout ceux qui ont quelques chose contre moi. Dans la dernière pièce ou on m’a mis, seulement Kaure et Silk. Monsieur Kaure m’interroge à propos du livre hérétique en me le montrant. J’explique tant bien que mal que je suis dévoué à Eniripsa, et que je n’ai jamais écrit ce livre. Silk insiste en disant que c’est ma signature et mon écriture. Kaure demande donc à ce qu’on ammène du papier pour verifier. J’ai ecrit la première chose qui passait. « Tisseurs de reves ». Je remarque maintenant que je suis en face, j’ai une jolie écriture. Pas le moment de penser à ça !
Quelque chose cloche, aussi.... Je fixe Markäan. Il s’est mis dans la première pièce.
Il me manque quelque chose...
« Que je sache, si c’est pas son écriture, on a pas pu demander à son frère jumeau ! »
Jumeau ?
Le double !
« Markäan, le double à fichu le camp ! Markäan ! »
Silk m’a cogné derrière le crâne.
« Silence, l’accusé ! »
Kaure a beau regarder, il ne semble pas convaincu. C’est vrai que des lettres diffèrent.
Kaure ne cesse de me poser des questions. Je suis tellement préoccupé par Markaan qui est sorit dehors que j’en oublie de lui répondre, et cela l’énerve.
Markaan a finit par revenir en trainant le double. Monsieur Kaure n’a même pas daigné lui jeter un œil. Puis ca a viré à la pagaille. Les gens se sont mit à se crier dessus, mon double a voulu s’enfuir, Markkan l’a poursuivit en renversant la moitier du publique...
Monsieur Kaure m’empoigne soudainement en disant qu’il va s’occuper de moi un moment, et me traine à l’exterieur. Il rentre dans son sac, et demande à quelqu’un que je ne connait pas de faire le videur. Il laisse passer monsieur Grey’s, une autre eniripsa inconnue et Silk Mortemain. C’est tout.
Devant la porte, les gens se pressent en ne cessant de frapper dessus. Ils veulent savoir ce qui se passe. Kaure me houspille : il veut etre sur que je ne suis pas un hérétique. Il veux me poser des questions sur les preceptes Eniripsa.
J’espère avoir bien retenu ce que j’ai vu dans les livres, sinon ils vont me condamner tout de suite.
Silk a montré les preuves de ma culpabilité, sortie une à une de mon havre sac. La dague de Sam, avec son nom dessus. On me l’a donnée. Et on ne m’écoute pas. J’ai l’impression de dormir debout.
Reste éveillé !
Silk a continué à sortir des preuves. Des poissons protégés de Sufokia. Mes trois faux passeports. Un témoignage comme quoi je serais entré sans passeport à Amakna.
J’était partit de l’orphelinat avant qu’on me donne mes passeports amaknéen...
Les gardes qui ont cru que j’attaquais Sheram Sharm ont témoigné contre moi. Silk a le papier de déposition.
Monsieur Kaure l’a poussé, il veux être sur que je ne suis un adepte Eniripsa.
Les principaux preceptes Eniripsa : soigner, ne pas blesser d’allier, ne pas tuer.
Je suis né Eniripsa... !
Grey’s s’en mèle. Il dit à Kaure qu’il va avoir des ennuis s’il continue ainsi. Ils se mettent à polémiquer, et monsieur Grey’s m’aide à me lever. Ils m’ont pas laissé dormir pour que je puisse pas me défendre ?
Ce procès.... Est truqué ?
Non, qui peut vouloir ma mort et mon deshonneur ?
Qui est responsable !
En me relevant, Grey’s m’a mit une bombe roublarde en main. J’essaye de la cacher dans mon dos. Ce n’est vaiment pas le moment d’avoir une vraie raison d’accusation sur le dos ! Kaure conclu devant moi que je suis innocent au yeux de l’Inquisition. Silk regarde Grey’s d’un air malicieux, ses yeux pétillant derrière son masque. Je ne sais pas ce qu’il se disent, mais ca a l’air important.
Monsieur Kaure est allé rédiger un avis sur mon innocence. C’est fini !
Pas exactement. Silk m’empoigne directement, tandis que Kaure va rédiger son rapport, il s’éloigne. Dehors, Markaan accompagné d’autres menace Silk. Il exige ma libération immediate. Le roublard va l’abbatre d’un coup de pistolet ! Je me suis jeté dans ses jambes pour le faire chuter, il m’a assomé d’un coup de pied dans la tete.
J’ai mal, et c’est pour bientôt... Ils m’ont fouillé, questionné, martyrisé, aussi. Le garde bleu d’amakna est le plus sympa. Blaydor n’y va pas avec le dos de la cuiller. Il m’a fichue des baffes, des coups de matraques, des coups de pied comme à l’époque. Quand il était pas là, c’est le garde bleu qui me gardait. Son regard est bizarre, on dirait presque de la pitié.
Avec toutes leurs questions, les fouilles, les verifications, j’ai pas dormis de la nuit. Le procès est pour bientôt, disent-ils. Finalement, Ohmilla m’a trainé dehors. Le soleil commence à se coucher. Il y a un monde fou ! Il a passé le relais à Silk qui ma collé entre une eniripsa et Seltz. Mes avocats ? J’en sais rien.
J’ai du mal à rester eveillé. Il le faut !
L’eniripsa à ma droite lit mes accusations. Qu’est ce que c’est que ces méprises ?
Je suis un peu rassuré. Les accusations sont eronnées, donc je ne suis pas coupable. Ca va etre simple à réfuter.
Silk ajoute « hérésie ». Hérétique ? Moi ?
Je suis tout dévoué à Eniripsa ! Pourquoi aurais-je ecrit un soi disant livre hérétique ?
Il me tend un bouquin, le livre hérétique en question. Il est signé de mon nom ! Qu’est ce qui se passe ?? L’écriture est semblable en plus !
Une preuve montée !?
J’ai beau protester, on dirait qu’on ne m’écoute pas. Pourquoi ? Qu’est ce qui se passe, ici ?
Je fais le tour des personnes présentes. Il y a Farn, Blaydor, Seltz, Silk bien sur. Le garde d’Amakna est resté pioncer dans la prison, on dirais. Il y a monsieur Kaure Vayne Ayme, le rival de monsieur Gin. Il y des gens que je ne connais pas, comme le iop à la coupe large et grise au bar. Je ne voit pas Blanche et Cyd. Il leur est arrivé quelque chose ? Ou on les a empéché de venir ? Je ne voit aucun Tisseur, non plus. Ca vaut peut etre mieux, ils auraient essayé de me sortir de là par la force. J’espère que Matsuko va bien...
Il y a Markäan dans le fond, aussi. Et un xelor derière moi n’arrete pas de dire « Ouai, bravo c’est bien joué ! » à chaque accusation que lit ma voisine eniripsa. Et il y a Monsieur Grey’s aussi, qui m’a protégé contre Florianne. Elle n’est pas là, elle non plus ?
Silk juge qu’il y a trop de foule. Farn et ceux qui me soutiennent s’enervent. Ils veulent qu’on me laisse parler.
« Panique pas, Al ! »
Farn me dis que je dois rester calme. Je joue ma tête, c’est pas simple !
Mais pourquoi rien ne va correctement... ? On ne m’écoute pas !
Que se passe-t-il ce soir ?
Le garde Brakmarien me traine dans son propre havre. Il y a trois pièces. Il demande à ce que chacun s’installe selon sa position. Dans la première pièce, ceux qui sont neutre et mes soutenants. Dans la deuxième, tout ceux qui ont quelques chose contre moi. Dans la dernière pièce ou on m’a mis, seulement Kaure et Silk. Monsieur Kaure m’interroge à propos du livre hérétique en me le montrant. J’explique tant bien que mal que je suis dévoué à Eniripsa, et que je n’ai jamais écrit ce livre. Silk insiste en disant que c’est ma signature et mon écriture. Kaure demande donc à ce qu’on ammène du papier pour verifier. J’ai ecrit la première chose qui passait. « Tisseurs de reves ». Je remarque maintenant que je suis en face, j’ai une jolie écriture. Pas le moment de penser à ça !
Quelque chose cloche, aussi.... Je fixe Markäan. Il s’est mis dans la première pièce.
Il me manque quelque chose...
« Que je sache, si c’est pas son écriture, on a pas pu demander à son frère jumeau ! »
Jumeau ?
Le double !
« Markäan, le double à fichu le camp ! Markäan ! »
Silk m’a cogné derrière le crâne.
« Silence, l’accusé ! »
Kaure a beau regarder, il ne semble pas convaincu. C’est vrai que des lettres diffèrent.
Kaure ne cesse de me poser des questions. Je suis tellement préoccupé par Markaan qui est sorit dehors que j’en oublie de lui répondre, et cela l’énerve.
Markaan a finit par revenir en trainant le double. Monsieur Kaure n’a même pas daigné lui jeter un œil. Puis ca a viré à la pagaille. Les gens se sont mit à se crier dessus, mon double a voulu s’enfuir, Markkan l’a poursuivit en renversant la moitier du publique...
Monsieur Kaure m’empoigne soudainement en disant qu’il va s’occuper de moi un moment, et me traine à l’exterieur. Il rentre dans son sac, et demande à quelqu’un que je ne connait pas de faire le videur. Il laisse passer monsieur Grey’s, une autre eniripsa inconnue et Silk Mortemain. C’est tout.
Devant la porte, les gens se pressent en ne cessant de frapper dessus. Ils veulent savoir ce qui se passe. Kaure me houspille : il veut etre sur que je ne suis pas un hérétique. Il veux me poser des questions sur les preceptes Eniripsa.
J’espère avoir bien retenu ce que j’ai vu dans les livres, sinon ils vont me condamner tout de suite.
Silk a montré les preuves de ma culpabilité, sortie une à une de mon havre sac. La dague de Sam, avec son nom dessus. On me l’a donnée. Et on ne m’écoute pas. J’ai l’impression de dormir debout.
Reste éveillé !
Silk a continué à sortir des preuves. Des poissons protégés de Sufokia. Mes trois faux passeports. Un témoignage comme quoi je serais entré sans passeport à Amakna.
J’était partit de l’orphelinat avant qu’on me donne mes passeports amaknéen...
Les gardes qui ont cru que j’attaquais Sheram Sharm ont témoigné contre moi. Silk a le papier de déposition.
Monsieur Kaure l’a poussé, il veux être sur que je ne suis un adepte Eniripsa.
Les principaux preceptes Eniripsa : soigner, ne pas blesser d’allier, ne pas tuer.
Je suis né Eniripsa... !
Grey’s s’en mèle. Il dit à Kaure qu’il va avoir des ennuis s’il continue ainsi. Ils se mettent à polémiquer, et monsieur Grey’s m’aide à me lever. Ils m’ont pas laissé dormir pour que je puisse pas me défendre ?
Ce procès.... Est truqué ?
Non, qui peut vouloir ma mort et mon deshonneur ?
Qui est responsable !
En me relevant, Grey’s m’a mit une bombe roublarde en main. J’essaye de la cacher dans mon dos. Ce n’est vaiment pas le moment d’avoir une vraie raison d’accusation sur le dos ! Kaure conclu devant moi que je suis innocent au yeux de l’Inquisition. Silk regarde Grey’s d’un air malicieux, ses yeux pétillant derrière son masque. Je ne sais pas ce qu’il se disent, mais ca a l’air important.
Monsieur Kaure est allé rédiger un avis sur mon innocence. C’est fini !
Pas exactement. Silk m’empoigne directement, tandis que Kaure va rédiger son rapport, il s’éloigne. Dehors, Markaan accompagné d’autres menace Silk. Il exige ma libération immediate. Le roublard va l’abbatre d’un coup de pistolet ! Je me suis jeté dans ses jambes pour le faire chuter, il m’a assomé d’un coup de pied dans la tete.
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
Le Garde brakmarien considéra la foule. Une cohue commence à se former. Il siffla un coup dans ses doigts, le sifflement traversa le brouhaha. Le public s’était mit à se battre, et le clone de l’accusé se faisait à moitier poursuivre à moitier proteger, les concernés ne s’apperçevant pas de la supercherie. Un roublard plutôt épais et musclé arriva de nulle part, vers son chef de Guilde.
- Salle d’éxécution, vite, Shapri.
- Bien chef.
Le bourreau suivit le garde en courrant. Parmis la population en train de tergiverser ou de débattre, deux personnes remarquèrent ce qui se tramait dans l’ombre. La bombe que tenait l’eni roula au sol, explosant au milieu d’un jet de fumée.
- Finalement, il aura servit à quelque chose, ce Grey’s, conclu le garde de Brakmar en trainant l’accusé.
Les deux roublards profitèrent de la fumée pour disparaitre. Silk expliqua à son membre de guilde de quoi il retournait.
- L’accusé est condamné à mort par décapitation. Je compte sur toi pour la sentance, Shapri.
- Sans problème.
Ils arrivèrent à l’entrée sud des égouts. Un bruit de cohue sembla se rapprocher. Silk lacha son fardeau à côté de Shapri le bourreau et lui ordonna :
- Tu file au centre des égouts et tu fais ton execution. Je m’occupe de ces faiblards.
Le bourreau ne se le fit pas dire deux fois. Il empoigna le comdamné assomé et courru droit devant. Les rats s’écartaient de son passage, les chacha crasseux qui les chassaient leur courrant après. Le bourreau monta un escalier, du haut duquel tronait deux statues de cra grisâtres.
Le roublard installa l’eni sur une pierre plate et entreprit de décrocher sa hache de son dos. Le condamné papillonna des paupières, et leva les yeux. Il vit un roublard dressé devant lui, tenant son arme au dessus de sa tête, prêt à l’abbatre sur lui. Petrifié, l’eni ne put même pas hurler. Au bas des escaliers, une roublarde cria :
- Albynn, non !
Dans un vrombrissement dantesque, une flèche à boule percutta l’arme avec une vitesse surnaturelle. La statue à droite des escaliers venait de s’animer, désarmant le bourreau d’une flèche. La hache tinta au sol en glissant. Le bourreau et le condamné regardèrent la statue qui descendait de son piedestal en se débarbouillant.
- Nathaniel, cria l’eni, heureux de le voir.
- Recule tout doucement, le roublard, ou je serais obligé de te mettre une raclée.
Le bourreau ne l’entendait pas de la même oreille, et sauta droit sur l’ancien Duc de Bonta. Le cra tint l’exécuteur à distance. En meme temps, la roublarde était monté pour détacher Albynn.
- Al ! J’ai cru qu’il était trop tard !
- Murmure, tu peux aider Nathaniel ?
La roublarde secoua la tete et commenca à le tirer par la main vers un coin du plateau.
- Il a l’air de se débrouiller très bien tout seul. Toi, par contre, il faut te mettre en sécurité !
Il y eut une vocifération, et un bruit de pas précipité. Le bourreau avait prit la fuite devant la puissance du cra. Celui-ci s’en allait prévenir le garde Brakmarien.
Nathaniel commença à menacer la roublarde qui lui était inconnue. Puis voyant que Albynn la protégeais, il se résolu à la considerer comme une allié. Il partit en disant qu’il allait trouver le responsable de tout cela.
Plus tard, un vampyre, nommé Saaul Valendil sauta par-dessus la rembarde du plateau. Complètement effrayée, la roublarde le fuya jusqu'à l’autre bout du plateau. L’eni fut tenté de faire la même chose en reconnaissant l’homme qui s’était battu contre Gaito l’ange blanc. Son air différent l’incita à ne pas le faire. Il avait l’air un peu préocuppé, ses yeux rouges brillents de petites étoiles dans la lueure des feu des égouts. A sa préocuppation, l’eni pur sucre lui répondit qu’il avait mal au dos. Sur son ordre, il se tourna. Les ailes éniripsa du vampyre se délogèrent de leur camouflage. Une lueur émana d’un cercle qui les entoura tout deux, se transformant ensuite en flot de lumière. Des étincelles coururent dans le dos du blessé, fermant les blessures qui cicatrisaient. Les plus profondes lui laissèrent des traces grises.
Et pas les dernières.
- Salle d’éxécution, vite, Shapri.
- Bien chef.
Le bourreau suivit le garde en courrant. Parmis la population en train de tergiverser ou de débattre, deux personnes remarquèrent ce qui se tramait dans l’ombre. La bombe que tenait l’eni roula au sol, explosant au milieu d’un jet de fumée.
- Finalement, il aura servit à quelque chose, ce Grey’s, conclu le garde de Brakmar en trainant l’accusé.
Les deux roublards profitèrent de la fumée pour disparaitre. Silk expliqua à son membre de guilde de quoi il retournait.
- L’accusé est condamné à mort par décapitation. Je compte sur toi pour la sentance, Shapri.
- Sans problème.
Ils arrivèrent à l’entrée sud des égouts. Un bruit de cohue sembla se rapprocher. Silk lacha son fardeau à côté de Shapri le bourreau et lui ordonna :
- Tu file au centre des égouts et tu fais ton execution. Je m’occupe de ces faiblards.
Le bourreau ne se le fit pas dire deux fois. Il empoigna le comdamné assomé et courru droit devant. Les rats s’écartaient de son passage, les chacha crasseux qui les chassaient leur courrant après. Le bourreau monta un escalier, du haut duquel tronait deux statues de cra grisâtres.
Le roublard installa l’eni sur une pierre plate et entreprit de décrocher sa hache de son dos. Le condamné papillonna des paupières, et leva les yeux. Il vit un roublard dressé devant lui, tenant son arme au dessus de sa tête, prêt à l’abbatre sur lui. Petrifié, l’eni ne put même pas hurler. Au bas des escaliers, une roublarde cria :
- Albynn, non !
Dans un vrombrissement dantesque, une flèche à boule percutta l’arme avec une vitesse surnaturelle. La statue à droite des escaliers venait de s’animer, désarmant le bourreau d’une flèche. La hache tinta au sol en glissant. Le bourreau et le condamné regardèrent la statue qui descendait de son piedestal en se débarbouillant.
- Nathaniel, cria l’eni, heureux de le voir.
- Recule tout doucement, le roublard, ou je serais obligé de te mettre une raclée.
Le bourreau ne l’entendait pas de la même oreille, et sauta droit sur l’ancien Duc de Bonta. Le cra tint l’exécuteur à distance. En meme temps, la roublarde était monté pour détacher Albynn.
- Al ! J’ai cru qu’il était trop tard !
- Murmure, tu peux aider Nathaniel ?
La roublarde secoua la tete et commenca à le tirer par la main vers un coin du plateau.
- Il a l’air de se débrouiller très bien tout seul. Toi, par contre, il faut te mettre en sécurité !
Il y eut une vocifération, et un bruit de pas précipité. Le bourreau avait prit la fuite devant la puissance du cra. Celui-ci s’en allait prévenir le garde Brakmarien.
Nathaniel commença à menacer la roublarde qui lui était inconnue. Puis voyant que Albynn la protégeais, il se résolu à la considerer comme une allié. Il partit en disant qu’il allait trouver le responsable de tout cela.
Plus tard, un vampyre, nommé Saaul Valendil sauta par-dessus la rembarde du plateau. Complètement effrayée, la roublarde le fuya jusqu'à l’autre bout du plateau. L’eni fut tenté de faire la même chose en reconnaissant l’homme qui s’était battu contre Gaito l’ange blanc. Son air différent l’incita à ne pas le faire. Il avait l’air un peu préocuppé, ses yeux rouges brillents de petites étoiles dans la lueure des feu des égouts. A sa préocuppation, l’eni pur sucre lui répondit qu’il avait mal au dos. Sur son ordre, il se tourna. Les ailes éniripsa du vampyre se délogèrent de leur camouflage. Une lueur émana d’un cercle qui les entoura tout deux, se transformant ensuite en flot de lumière. Des étincelles coururent dans le dos du blessé, fermant les blessures qui cicatrisaient. Les plus profondes lui laissèrent des traces grises.
Et pas les dernières.
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
15 novemaire 969
Un feca a décidé de m’aider, je ne l’ai pas vu au procès, pourtant, mais il me croit innocent. Le feca s’appel Nezrof Wymany. Il est très riche, apparement. Il a un havre très grand, dans les plus grands que j’ai jamais vu. Tout au fond de la première pièce, il y a un un arbustre décoratif. J’en avais jamais vu !
Il dit avoir eu des choses à se reprocher, niveau judiciaire il y a quelques années. Mais, il y a prescription, non !?
Il n’a pas l’air enclin à en parler.
Il dit qu’il a à faire dans la pièce du fond. En attendant, je complète mes croquis de la flore avec l’arbustre. C’est vraiment curieux, c’est exactement un arbre mais en plus petit. J’ai du y passer... Quoi, environ trois, quatre degré-temps ? (24-32mn)
Monsieur Nezorf est revenu alors que je me demandais quoi faire de plus. Il m’a montré son installation à l’arrière. Ca a l’air d’un bète mur, mais en tirant sur un levier caché en torche, ça ouvre une pièce. Il a dit que je m’installerais là une fois qu’il aurait fini.
C’est vraiment ingénieux !
Il a dit avoir des courses à faire, on est retourné côté entrée. Il y a eu un fracas, et quelqu’un est entré en trombe. Il a passé ses doigt sous sa gorge en ma direction, avant de se volatiliser dans l’air.
Cet intrus, c’était moi.
Ca sent les ennuis...
J’avais raison : monsieur Kaure est entré. Il veut me coffrer pour hérésie !
Messire Nezorf plaide en ma faveur, mais monsieur Heim tiens à m’emmener. C’est messire Nezorf qui trouve la preuve de mon inncocence : le croquis détaillé de l’arbustre que j’ai fais précédemment. Monsieur Kaure a accepter d’écouter Messire Nez. Il l’a convaincu de se joindre à nous... Ou plutôt à lui. A deux, ils vont me planquer ici.
Quelle chance !
Les deux personnes les plus importantes du coin veulent bien m’aider !
Monsieur Kaure est revenu plus tard avec de quoi avancer les aménagements, une sadidas qui se dit vampire est allée s’installer dans une des chambre. Monsieur Nezorf a rien dit : en tant que vampire, elle avait plus interet à se taire qu’à nous dénoncer. J’explore chaque endroit. Je risque de rester longtemps là. Nezorf me demande de venir, alors j’obéi. Il m’a collé sur le crane un coiffe de prespic qui me cache presque les yeux, et dans le dos une cape verte et noire. Il se bat avec les attaches en m’expliquant : « En attendant de pouvoir te cacher, tu va te déguiser. Met toi dans la peau d’un autre, tes comportements sont trop attypiques. Il n’y a que toi pour empecher les autres de se battre, alors cesse. Compris ? »
Ne plus etre moi ? Je ne suis pas comédien.... !
« Pense que c’est pour ta survie, ca va te motiver. »
Des bruits de pas, quel’un est entré. C’est monsieur Kaure, avec une eniripsa aux cheveux crème. Sa fille, Aki, si je comprend bien. Je ne savais plus quoi faire, alors c’est monsieur Nezorf qui a prit le flambeau : il me présente comme son cousin, Matarus Wymany. J’ai décidé de copier quelqu’un qui avait un comportement opposé au mien : Matsuko. J’ai répondu à Nezorf en le tutoyant, voir en étant insolant ! J’espère qu’il en prendra pas rigueur...
Il m’a chuchotté que j’étais convaincant.
Bonne nouvelle !
Un feca a décidé de m’aider, je ne l’ai pas vu au procès, pourtant, mais il me croit innocent. Le feca s’appel Nezrof Wymany. Il est très riche, apparement. Il a un havre très grand, dans les plus grands que j’ai jamais vu. Tout au fond de la première pièce, il y a un un arbustre décoratif. J’en avais jamais vu !
Il dit avoir eu des choses à se reprocher, niveau judiciaire il y a quelques années. Mais, il y a prescription, non !?
Il n’a pas l’air enclin à en parler.
Il dit qu’il a à faire dans la pièce du fond. En attendant, je complète mes croquis de la flore avec l’arbustre. C’est vraiment curieux, c’est exactement un arbre mais en plus petit. J’ai du y passer... Quoi, environ trois, quatre degré-temps ? (24-32mn)
Monsieur Nezorf est revenu alors que je me demandais quoi faire de plus. Il m’a montré son installation à l’arrière. Ca a l’air d’un bète mur, mais en tirant sur un levier caché en torche, ça ouvre une pièce. Il a dit que je m’installerais là une fois qu’il aurait fini.
C’est vraiment ingénieux !
Il a dit avoir des courses à faire, on est retourné côté entrée. Il y a eu un fracas, et quelqu’un est entré en trombe. Il a passé ses doigt sous sa gorge en ma direction, avant de se volatiliser dans l’air.
Cet intrus, c’était moi.
Ca sent les ennuis...
J’avais raison : monsieur Kaure est entré. Il veut me coffrer pour hérésie !
Messire Nezorf plaide en ma faveur, mais monsieur Heim tiens à m’emmener. C’est messire Nezorf qui trouve la preuve de mon inncocence : le croquis détaillé de l’arbustre que j’ai fais précédemment. Monsieur Kaure a accepter d’écouter Messire Nez. Il l’a convaincu de se joindre à nous... Ou plutôt à lui. A deux, ils vont me planquer ici.
Quelle chance !
Les deux personnes les plus importantes du coin veulent bien m’aider !
Monsieur Kaure est revenu plus tard avec de quoi avancer les aménagements, une sadidas qui se dit vampire est allée s’installer dans une des chambre. Monsieur Nezorf a rien dit : en tant que vampire, elle avait plus interet à se taire qu’à nous dénoncer. J’explore chaque endroit. Je risque de rester longtemps là. Nezorf me demande de venir, alors j’obéi. Il m’a collé sur le crane un coiffe de prespic qui me cache presque les yeux, et dans le dos une cape verte et noire. Il se bat avec les attaches en m’expliquant : « En attendant de pouvoir te cacher, tu va te déguiser. Met toi dans la peau d’un autre, tes comportements sont trop attypiques. Il n’y a que toi pour empecher les autres de se battre, alors cesse. Compris ? »
Ne plus etre moi ? Je ne suis pas comédien.... !
« Pense que c’est pour ta survie, ca va te motiver. »
Des bruits de pas, quel’un est entré. C’est monsieur Kaure, avec une eniripsa aux cheveux crème. Sa fille, Aki, si je comprend bien. Je ne savais plus quoi faire, alors c’est monsieur Nezorf qui a prit le flambeau : il me présente comme son cousin, Matarus Wymany. J’ai décidé de copier quelqu’un qui avait un comportement opposé au mien : Matsuko. J’ai répondu à Nezorf en le tutoyant, voir en étant insolant ! J’espère qu’il en prendra pas rigueur...
Il m’a chuchotté que j’étais convaincant.
Bonne nouvelle !
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
16 Novemaire :
J’ai pas grand-chose à faire. J’en profite pour rattraper mes pages de mémoire en retard. Je dessine mieux mes croquis. Je sors pratiquement pas : c’est un coup à sortir pile devant un ennemi.
Par contre... Aujourd’hui...
Je me suis reveillé, encore habillé avec le bazar que m’a mit monsieur Nezorf. Il est rentré pour voir comment ca se passe. La sadidas est dans sa propre pièce. Elle a fini par partir.
Ca, c’est pas grand-chose.
Le temps est passé, semblable à lui-même. Ca c’est passé à la fin de la journée.
Quelqu’un est entré. Messir Nezorf et Monsieur Kaure ont fini la pièce, alors je me suis installé. Enfin, installer. J’ai posé mon sac dans un coin, et empilé mon carnet et mon journal.
C’est Nezorf qui a acceuillit l’intrus. Un garde, de couleur azure.
« Tour de garde, rien à signaler ? »
Monsieur Nez l’a renvoyé sèchement. Il dit avoir besoin de personne pour signaler quoi que soit qui cloche chez lui. Puis je l’ai entendu lui demander s’il avait pas envie. Envie de quoi, je sais pas. Il l’a renvoyé avec encore plus de mépris dans la voix.
Il me fait peur. Son espèce de torture sentimentale était pire que la mentale de Silk ou la physique de Blaydor...
Nezorf a dit qu’il falait pas avoir peur d’un homme à cause de ses tendances... différentes.
C’est pas de ses tendances dont j’ai peur...
Bonne nuit.
J’ai pas grand-chose à faire. J’en profite pour rattraper mes pages de mémoire en retard. Je dessine mieux mes croquis. Je sors pratiquement pas : c’est un coup à sortir pile devant un ennemi.
Par contre... Aujourd’hui...
Je me suis reveillé, encore habillé avec le bazar que m’a mit monsieur Nezorf. Il est rentré pour voir comment ca se passe. La sadidas est dans sa propre pièce. Elle a fini par partir.
Ca, c’est pas grand-chose.
Le temps est passé, semblable à lui-même. Ca c’est passé à la fin de la journée.
Quelqu’un est entré. Messir Nezorf et Monsieur Kaure ont fini la pièce, alors je me suis installé. Enfin, installer. J’ai posé mon sac dans un coin, et empilé mon carnet et mon journal.
C’est Nezorf qui a acceuillit l’intrus. Un garde, de couleur azure.
« Tour de garde, rien à signaler ? »
Monsieur Nez l’a renvoyé sèchement. Il dit avoir besoin de personne pour signaler quoi que soit qui cloche chez lui. Puis je l’ai entendu lui demander s’il avait pas envie. Envie de quoi, je sais pas. Il l’a renvoyé avec encore plus de mépris dans la voix.
Il me fait peur. Son espèce de torture sentimentale était pire que la mentale de Silk ou la physique de Blaydor...
Nezorf a dit qu’il falait pas avoir peur d’un homme à cause de ses tendances... différentes.
C’est pas de ses tendances dont j’ai peur...
Bonne nuit.
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
Le feca avança. De sa peau sombre, il pourrait se confondre dans la nuit, sans la présence des lampes dans le havre. Il ne pensait pas l’eni si intolérant. Drole de réaction.
Le petit dormait. A cette heure, pas étonnant. Lui-même est un couche-tard, en revanche. Il a beaucoup de boulot. La richesse, cela se gère.
Dormir assis, c’est particulier, mais cela a tendance à faire glisser les couvertures. C’est là qu’il vit la tache. Une tache rose sur l’eni. Tete tournée, il était largement penché de manière à s’appuyer sur le mur à coté. Nezorf se rapprocha. Un cercle rose, au dessus de la clavicule, à la base du cou.
- Ha, tiens, finalement, ceci explique cela...
Nezorf verifia en touchant le rose. Pas de grimace de douleur. Pas de difference de chaleur.
- Interessant. J’irais voir ce garde, il doit en avoir à raconter.
Le petit dormait. A cette heure, pas étonnant. Lui-même est un couche-tard, en revanche. Il a beaucoup de boulot. La richesse, cela se gère.
Dormir assis, c’est particulier, mais cela a tendance à faire glisser les couvertures. C’est là qu’il vit la tache. Une tache rose sur l’eni. Tete tournée, il était largement penché de manière à s’appuyer sur le mur à coté. Nezorf se rapprocha. Un cercle rose, au dessus de la clavicule, à la base du cou.
- Ha, tiens, finalement, ceci explique cela...
Nezorf verifia en touchant le rose. Pas de grimace de douleur. Pas de difference de chaleur.
- Interessant. J’irais voir ce garde, il doit en avoir à raconter.
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Re: Albynn, porte-poisse?
20 Novemaire
J’ai revu Mousy ! J’ai gardé le déguisement de messire Nezorf. Je me sent idiot, mais c’est mieux que rien.
J’ai revu Mousy, donc. Il est devenu fou, il tue tout les batisseurs d’Astrub !
Il m’a vu, et... Et il a essayé de me tuer aussi...
J’ai du mon salut qu’à son épée Hellsing, qui a refusé de me frapper.
Puis Gaito a prit sa place, en disant qu’il devait tuer Kaito. J’était en train de l’en empecher, quand j’ai entendu le hurlement à la lune de Farn. J’en ai laché prise, et Gaito a continué à vouloir briser l’arme où il avait enfermé Kaito. J’ai commencé à lui parler de solution, quand...
Quand il y a eu ce iop qui est sortit de nulle part. Il m’a bailonné à main, et soulevé comme une grosse bûche. Au même instant, j’ai vu le regard de Gaito foncir, passer du doré au violet.
Kaito.
Kaito a été prit de cours, mais le iop est trop lent. Mousy a finit par le ratraper. Du coup, l’homme menace de me couper le cou s’il approche trop. Et il a profiter du fait qu’il soit bloqué sur place pour fuir.
Je me suis retrouvé collé en prison. Il y a deux cellules, identique, et une salle entre les deux. Je suis enfermé.
J’entend Kaito qui tambourinne à l’entrée. Il hurle sur mon ravisseur, qui n’est autre que le garde bleu de mon procès, Shi Yourme….
Et il dit avoir une solution pour faire disparaitre cette histoire de procès : une fausse mort.
J’ai revu Mousy ! J’ai gardé le déguisement de messire Nezorf. Je me sent idiot, mais c’est mieux que rien.
J’ai revu Mousy, donc. Il est devenu fou, il tue tout les batisseurs d’Astrub !
Il m’a vu, et... Et il a essayé de me tuer aussi...
J’ai du mon salut qu’à son épée Hellsing, qui a refusé de me frapper.
Puis Gaito a prit sa place, en disant qu’il devait tuer Kaito. J’était en train de l’en empecher, quand j’ai entendu le hurlement à la lune de Farn. J’en ai laché prise, et Gaito a continué à vouloir briser l’arme où il avait enfermé Kaito. J’ai commencé à lui parler de solution, quand...
Quand il y a eu ce iop qui est sortit de nulle part. Il m’a bailonné à main, et soulevé comme une grosse bûche. Au même instant, j’ai vu le regard de Gaito foncir, passer du doré au violet.
Kaito.
Kaito a été prit de cours, mais le iop est trop lent. Mousy a finit par le ratraper. Du coup, l’homme menace de me couper le cou s’il approche trop. Et il a profiter du fait qu’il soit bloqué sur place pour fuir.
Je me suis retrouvé collé en prison. Il y a deux cellules, identique, et une salle entre les deux. Je suis enfermé.
J’entend Kaito qui tambourinne à l’entrée. Il hurle sur mon ravisseur, qui n’est autre que le garde bleu de mon procès, Shi Yourme….
Et il dit avoir une solution pour faire disparaitre cette histoire de procès : une fausse mort.
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
21 Novemaire :
Le garde Shi a décidé qu’on s’occuperait de ma « mort » ce soir. Il est parti chercher Blaydor. C’est le detenteur du dossier, donc sa présence est necessaire. Quelques minutes après, alors que je m’étais mis en boule au fond de la cellule pour avoir chaud, j’ai entendu quelqu’un m’appeler, et ce n’était ni Shi ni Blaydor. A ma question « qui est là », il s’est avéré que c’était Jean-Gû, le chef garde du corp de Nezorf.
« Hey, Al, ça va ? »
« Monsieur Jean ! Oui, ça va encore, merci. »
« Bouge pas, je vais trouver comment te sortir de là. »
Avant d’avoir pu dire quoi que ce soit, Blaydor et Shi sont entrés. Ohmilla enguirlande ouvertement le garde iop : il a laissé la porte ouverte.
Considerant les deux iops, il a dis : « bon, ça sent la castagne de bourrin alors je vais faire le piquet dehors. Expulse le à coup de pieds dans le fion, le bleu. »
Shi s’est marré et s’est mis en garde, puis quand Blaydor a fermé la porte une fois sortis, il s’est remis au repos. Jean lui a donc foncé dessus, mais il a commencé à esquiver :
« Hey, écoute ce que j’ai à te dire au lieu de faire n’importe quoi. Ensuite tu peux continuer en mode iop si tu veux. »
Alors Jean s’est arreté et il l’a écouté. Monsieur Yourme lui as parlé de cette histoire de fausse execution, et Jean a trouvé que, même si c’était pas le mieux, me faire passer pour mort me permetrais au moins de me cacher de manière plus constante. Puis il a fait un saut dantesque par la porte, surement pour faire croire à Ohmilla qu’il venait de se faire fiche dehors d’un coup de poing. Puis Shi est sortis aussi. Alors je me suis remis au fond pour attendre. Et j’ai attendu. Je sais pas combien de temps.
Quelqu’un est rentré, et j’ai voulu me tourner pour saluer monsieur Yourme. Sauf que c’était Ohmilla. Il a activé le magnetisme des murs de la prison et mes menottes sont allées se coller sur le mur le plus proche sans que je puisse faire quoi que ce soit. D’un coup de pied sacrieur, il a shooté dans ma tête qui as rebondie sur le mur. Groggy sur le coup.
Je me suis retrouvé suspendu au plafond par les menottes, passées dans deux crochets situés dans les planches, impossible de bouger. J’ai plus mon haut non plus. Pourvu que je ne perde pas ma fausse tête, il manquerait plus que ça !
Il ma ordonné d’avouer mes crimes. Quels crimes ? J’ai commis aucun crime !
Je peux pas le regarder, il est situé dans mon dos. Un claquement ajouté à une douleur lancinante m’informe que Blay est prêt à me torturer pour que j’avoue avoir commis ces crimes. Des coups de fouets ! Pourvu qu’il ne touche pas à mes ailes... Pas mes ailes !!
Il continu à m’ordonner d’avouer. A chaque refus, il me brule avec un coup de fouet. Au bout d’une dizaine de fois comme ça, il s’arrete. J’ai cru qu’il allait renoncé.
Il a juste changé d’instrument. Je le sais parce que au refus suivant, j’ai eu l’impresson de prendre des coups de serres de corbacs dans le dos. Des crochets.
Je crois que j’ai le dos en sang. Ca me brule trop pour dire si du sang coule.
Il continu de même. Encor au bout d’une dizaine de fois, il s’arrete encore. J’ai l’impression de bruler sur place. J’ai plus de souffle.
« Déjà fatigué ? Bon, on va rafraichir tout ça un coup, alors. »
Un bruit d’eau. Il n’est pas si méchant que ça finalement. Il doit juste faire son « travail », non ?
Je me retrouve soudainement trempé, mais mon dos me faire encore plus mal. Cela pique d’une manière infernale. Je m’apperçoit pas que je hurle de douleur sur le moment.
J’ai cru entendre Murmure... Je deviens fou de douleur, on dirait...
Je lèche une goutte d’eau qui s’est accroché à une mèche. Salée. Il a mit du sel dans l’eau pour me faire encore plus mal !
Il veux vraiment que j’avoue, ou que j’y passe.
Shi, où est passé Shi... Sortez-moi de là !
« Avoue. Faute avouée est à moitier pardonnée, on devra juste t’enfermer à vie si tu avoue. »
Mais je n’ai rien à avouer. Ce n’est pas moi. C’est des balivernes.
« Tu en me laisse donc pas le choix, on dirais. »
Ses pas s’éloignent encore. Qu’est il allé cherché cette fois.... ?
Sa main passe devant mes yeux. Il tiens une simple aiguille, dans le genre cordonier. Sa main passe dans mon dos, le long des balafres des tortures précédentes. Je me mord les lèvres de douleur. Puis il remonte ses doigts le long de mon homoplate, avant d’attraper...
Non...
Non, pas les ailes !
PITIE, PAS LES AILES !!!
Il a enfoncé l’aiguille dans la base, pile là où se croisent tout les nerfs. Cette fois, j’ai tellement hurlé que je me suis rendu sourd pendant quelques secondes. Mon genoux gauche est remonté tout seule sous la douleur. Les muscles liés aux nerfs se sont contractés, mes bras ont tiré surs les chaines sans pouvoir me porter. Je me suis forcement ligaturé un muscle.
J’ai capitulé. Perpétuité, c’est moins catastrophique que la condamnation, au final. Mais je sais que je suis innocent. Il m’a détaché e balancé mon haut pour que je rhabille.
Il m’a trainé jusqu'à la taverne pour aveux publique. J’ai du à nouveau avouer devant tout le monde que j’était coupable. Qui restera ami avec moi, maintenant, si je passe pour un parfait criminel... ?
Personne n’a cru à mes aveux. Il y a Jean, Nezorf, Saaul, une roublarde que je ne connais pas. Jean dis que « c’est vraiment flagrant, un aveux sous torture. Ha, c’est sur, ca risque d’être valable aux yeux de la loi, ça ! » J’ai entendu arriver Murmure derrière Ohmilla. Elle a dis qu’elle m’avait entendu hurler. J’ai pas rever, finalement... « Ha, ça confirme ce que je disais. Aveux sous torture, ça ne tiens pas debout comme preuve. »
Ils me croient tous innocent... Je sais pas si je pleure de voir de pareils amis ou si c’est encore à cause de la douleur.
Ohmilla prononce la sentance : « pour un criminel, la sentance est capitale. »
Quoi ? Il avait dis que.... !
Je me suis fait berner. D’un coup de fulgurance ultra entrainé, il fiche le camp en me tirant, prenant soin de m’empecher de hurler. Il va assez vite pour que je vois chacun de mes amis ne devenir qu’un point au loin. Avant qu’il ne fasse noir. Les égouts. Le même endroit que là ou le bourreau m’avait emmené !
Il va au centre et m’attache sur l’autel des supplicié, là d’où vient la rivière de sang.
Ma seule chance, c’est que mes amis arrivent, ou que le plan de Shi reussisse... Dur d’utiliser le flux de Wakfu pour voir à travers de faux yeux. En plus, toutes mes visions sont faussées d’une vingtaine de centikamametre. J’ai quand même eu le temps de m’adapter durant la nuit, mais là, ca ne va pas m’aider. Il a même attaché mes poignets dans les cercles de fer.
Completement coincé.
Un eclat lugubre passe dans mon champ de vision. Une hache ! Il va vraiment me couper la tête !!
Le garde Shi a décidé qu’on s’occuperait de ma « mort » ce soir. Il est parti chercher Blaydor. C’est le detenteur du dossier, donc sa présence est necessaire. Quelques minutes après, alors que je m’étais mis en boule au fond de la cellule pour avoir chaud, j’ai entendu quelqu’un m’appeler, et ce n’était ni Shi ni Blaydor. A ma question « qui est là », il s’est avéré que c’était Jean-Gû, le chef garde du corp de Nezorf.
« Hey, Al, ça va ? »
« Monsieur Jean ! Oui, ça va encore, merci. »
« Bouge pas, je vais trouver comment te sortir de là. »
Avant d’avoir pu dire quoi que ce soit, Blaydor et Shi sont entrés. Ohmilla enguirlande ouvertement le garde iop : il a laissé la porte ouverte.
Considerant les deux iops, il a dis : « bon, ça sent la castagne de bourrin alors je vais faire le piquet dehors. Expulse le à coup de pieds dans le fion, le bleu. »
Shi s’est marré et s’est mis en garde, puis quand Blaydor a fermé la porte une fois sortis, il s’est remis au repos. Jean lui a donc foncé dessus, mais il a commencé à esquiver :
« Hey, écoute ce que j’ai à te dire au lieu de faire n’importe quoi. Ensuite tu peux continuer en mode iop si tu veux. »
Alors Jean s’est arreté et il l’a écouté. Monsieur Yourme lui as parlé de cette histoire de fausse execution, et Jean a trouvé que, même si c’était pas le mieux, me faire passer pour mort me permetrais au moins de me cacher de manière plus constante. Puis il a fait un saut dantesque par la porte, surement pour faire croire à Ohmilla qu’il venait de se faire fiche dehors d’un coup de poing. Puis Shi est sortis aussi. Alors je me suis remis au fond pour attendre. Et j’ai attendu. Je sais pas combien de temps.
Quelqu’un est rentré, et j’ai voulu me tourner pour saluer monsieur Yourme. Sauf que c’était Ohmilla. Il a activé le magnetisme des murs de la prison et mes menottes sont allées se coller sur le mur le plus proche sans que je puisse faire quoi que ce soit. D’un coup de pied sacrieur, il a shooté dans ma tête qui as rebondie sur le mur. Groggy sur le coup.
Je me suis retrouvé suspendu au plafond par les menottes, passées dans deux crochets situés dans les planches, impossible de bouger. J’ai plus mon haut non plus. Pourvu que je ne perde pas ma fausse tête, il manquerait plus que ça !
Il ma ordonné d’avouer mes crimes. Quels crimes ? J’ai commis aucun crime !
Je peux pas le regarder, il est situé dans mon dos. Un claquement ajouté à une douleur lancinante m’informe que Blay est prêt à me torturer pour que j’avoue avoir commis ces crimes. Des coups de fouets ! Pourvu qu’il ne touche pas à mes ailes... Pas mes ailes !!
Il continu à m’ordonner d’avouer. A chaque refus, il me brule avec un coup de fouet. Au bout d’une dizaine de fois comme ça, il s’arrete. J’ai cru qu’il allait renoncé.
Il a juste changé d’instrument. Je le sais parce que au refus suivant, j’ai eu l’impresson de prendre des coups de serres de corbacs dans le dos. Des crochets.
Je crois que j’ai le dos en sang. Ca me brule trop pour dire si du sang coule.
Il continu de même. Encor au bout d’une dizaine de fois, il s’arrete encore. J’ai l’impression de bruler sur place. J’ai plus de souffle.
« Déjà fatigué ? Bon, on va rafraichir tout ça un coup, alors. »
Un bruit d’eau. Il n’est pas si méchant que ça finalement. Il doit juste faire son « travail », non ?
Je me retrouve soudainement trempé, mais mon dos me faire encore plus mal. Cela pique d’une manière infernale. Je m’apperçoit pas que je hurle de douleur sur le moment.
J’ai cru entendre Murmure... Je deviens fou de douleur, on dirait...
Je lèche une goutte d’eau qui s’est accroché à une mèche. Salée. Il a mit du sel dans l’eau pour me faire encore plus mal !
Il veux vraiment que j’avoue, ou que j’y passe.
Shi, où est passé Shi... Sortez-moi de là !
« Avoue. Faute avouée est à moitier pardonnée, on devra juste t’enfermer à vie si tu avoue. »
Mais je n’ai rien à avouer. Ce n’est pas moi. C’est des balivernes.
« Tu en me laisse donc pas le choix, on dirais. »
Ses pas s’éloignent encore. Qu’est il allé cherché cette fois.... ?
Sa main passe devant mes yeux. Il tiens une simple aiguille, dans le genre cordonier. Sa main passe dans mon dos, le long des balafres des tortures précédentes. Je me mord les lèvres de douleur. Puis il remonte ses doigts le long de mon homoplate, avant d’attraper...
Non...
Non, pas les ailes !
PITIE, PAS LES AILES !!!
Il a enfoncé l’aiguille dans la base, pile là où se croisent tout les nerfs. Cette fois, j’ai tellement hurlé que je me suis rendu sourd pendant quelques secondes. Mon genoux gauche est remonté tout seule sous la douleur. Les muscles liés aux nerfs se sont contractés, mes bras ont tiré surs les chaines sans pouvoir me porter. Je me suis forcement ligaturé un muscle.
J’ai capitulé. Perpétuité, c’est moins catastrophique que la condamnation, au final. Mais je sais que je suis innocent. Il m’a détaché e balancé mon haut pour que je rhabille.
Il m’a trainé jusqu'à la taverne pour aveux publique. J’ai du à nouveau avouer devant tout le monde que j’était coupable. Qui restera ami avec moi, maintenant, si je passe pour un parfait criminel... ?
Personne n’a cru à mes aveux. Il y a Jean, Nezorf, Saaul, une roublarde que je ne connais pas. Jean dis que « c’est vraiment flagrant, un aveux sous torture. Ha, c’est sur, ca risque d’être valable aux yeux de la loi, ça ! » J’ai entendu arriver Murmure derrière Ohmilla. Elle a dis qu’elle m’avait entendu hurler. J’ai pas rever, finalement... « Ha, ça confirme ce que je disais. Aveux sous torture, ça ne tiens pas debout comme preuve. »
Ils me croient tous innocent... Je sais pas si je pleure de voir de pareils amis ou si c’est encore à cause de la douleur.
Ohmilla prononce la sentance : « pour un criminel, la sentance est capitale. »
Quoi ? Il avait dis que.... !
Je me suis fait berner. D’un coup de fulgurance ultra entrainé, il fiche le camp en me tirant, prenant soin de m’empecher de hurler. Il va assez vite pour que je vois chacun de mes amis ne devenir qu’un point au loin. Avant qu’il ne fasse noir. Les égouts. Le même endroit que là ou le bourreau m’avait emmené !
Il va au centre et m’attache sur l’autel des supplicié, là d’où vient la rivière de sang.
Ma seule chance, c’est que mes amis arrivent, ou que le plan de Shi reussisse... Dur d’utiliser le flux de Wakfu pour voir à travers de faux yeux. En plus, toutes mes visions sont faussées d’une vingtaine de centikamametre. J’ai quand même eu le temps de m’adapter durant la nuit, mais là, ca ne va pas m’aider. Il a même attaché mes poignets dans les cercles de fer.
Completement coincé.
Un eclat lugubre passe dans mon champ de vision. Une hache ! Il va vraiment me couper la tête !!
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
22 Novemaire :
Houa ! Saaul et Jean ont entérré mon corps... sauf que je suis pas mort ! J’ai du me retenir de bouger, même quand Saaul m’a deshabillé pour me changer. Tout nu devant eux.... Hu, j’ai honte ! Mais j’ai pas bougé, ou alors ils l’ont pas vu. Je me suis fait mettre dans un cerceuil. Cadeau de Saaul, on dirais. Du coup, à attendre Shi alongé la dedans, je crois que je me suis endormis...
En tout cas, une fois reveillé, j’était revenu sur le plancher de la prison. A plat ventre, delivré du déguisement ridicule. Shi préparais un truc dans un bol. J’ai mal au dos. Blaydor y est pas allé de main morte. Vu que je pouvais rien voir, je sais pas ce qui lui est arrivé.
Shi me dis qu’il est repartis à Amakna, avec ma fausse tête comme trophée. J’espère que ca va aller pour lui, cette fois...
J’essaye de m’assoir, mais Shi me dis de rester alongé. J’ai l’impression de m’être fait bruler au fer. Je reste donc alongé sur le ventre. Pas trop le choix, de toute manière. Shi refuse que je me soigne, et que de tout facon, la prison empèche d’utiliser toute forme de magie. Et pas question de sortir avant un moment, effectivement.
Il est rentré en tenant deux bol et un verre, et maintient que je ne dois pas bouger. Je suppose qu’il sait ce qu’il fait. Dans un bol, y’avait de l’eau. J’ai cru que c’était pour me faire boire mais il a lavé les blessures. Ca c’est mis à piquer comme pas shushu !
Il a dit que c’était à cause du sel qu’avait mis Blaydor. Un peu de minerais était resté coincé dans les plaies, dilué par l’eau qu’il m’avait versé dans le dos. Alors le mieux, c’était de retirer le sel restant, et surtout d’éviter les sorts de soins : le sel resterait bloqué sous la peau.
Je suis donc resté vautré au sol pendant qu’il frottait. Je savait pas que les iop pouvaient etre délicat. Il m’a même donné la chaire de pioulette en passant trop près des côtes !
J’aime pas les chatouilles....
Ensuite, il a étalé son baume bizarre et j’ai plus bougé. Il fallait éviter que la poussière du sol s’accroche sur ce machin gluant, histoire que je ne me retrouve pas avec des poussières collées sous la peau...
Il m’ aidé à boire le contenu du verre. Une boisson aux herbes, on dirait. Drôlement bonne, d’ailleur, la tisane.
Il a pris mes affaires. Même mes habits ! Shi dis ne pas avoir le choix. Tout iop qu’il est, il sait bien que ca fera louche si, pour un mort, je n’ai pas de testament. Alors il a pris le papier qu’on m’avais fait écrire la veille, avec mes affaires, il a réglé la température pour que j’ai pas froid, même nu, puis il est sortis. Ce garde iop a ajouté avant de sortir, que dès que j’irai mieux, je pourrais boire encore un peu de tisane laissée à coté des barreaux.
En attendant, je vais refaire une sieste je pense....
Houa ! Saaul et Jean ont entérré mon corps... sauf que je suis pas mort ! J’ai du me retenir de bouger, même quand Saaul m’a deshabillé pour me changer. Tout nu devant eux.... Hu, j’ai honte ! Mais j’ai pas bougé, ou alors ils l’ont pas vu. Je me suis fait mettre dans un cerceuil. Cadeau de Saaul, on dirais. Du coup, à attendre Shi alongé la dedans, je crois que je me suis endormis...
En tout cas, une fois reveillé, j’était revenu sur le plancher de la prison. A plat ventre, delivré du déguisement ridicule. Shi préparais un truc dans un bol. J’ai mal au dos. Blaydor y est pas allé de main morte. Vu que je pouvais rien voir, je sais pas ce qui lui est arrivé.
Shi me dis qu’il est repartis à Amakna, avec ma fausse tête comme trophée. J’espère que ca va aller pour lui, cette fois...
J’essaye de m’assoir, mais Shi me dis de rester alongé. J’ai l’impression de m’être fait bruler au fer. Je reste donc alongé sur le ventre. Pas trop le choix, de toute manière. Shi refuse que je me soigne, et que de tout facon, la prison empèche d’utiliser toute forme de magie. Et pas question de sortir avant un moment, effectivement.
Il est rentré en tenant deux bol et un verre, et maintient que je ne dois pas bouger. Je suppose qu’il sait ce qu’il fait. Dans un bol, y’avait de l’eau. J’ai cru que c’était pour me faire boire mais il a lavé les blessures. Ca c’est mis à piquer comme pas shushu !
Il a dit que c’était à cause du sel qu’avait mis Blaydor. Un peu de minerais était resté coincé dans les plaies, dilué par l’eau qu’il m’avait versé dans le dos. Alors le mieux, c’était de retirer le sel restant, et surtout d’éviter les sorts de soins : le sel resterait bloqué sous la peau.
Je suis donc resté vautré au sol pendant qu’il frottait. Je savait pas que les iop pouvaient etre délicat. Il m’a même donné la chaire de pioulette en passant trop près des côtes !
J’aime pas les chatouilles....
Ensuite, il a étalé son baume bizarre et j’ai plus bougé. Il fallait éviter que la poussière du sol s’accroche sur ce machin gluant, histoire que je ne me retrouve pas avec des poussières collées sous la peau...
Il m’ aidé à boire le contenu du verre. Une boisson aux herbes, on dirait. Drôlement bonne, d’ailleur, la tisane.
Il a pris mes affaires. Même mes habits ! Shi dis ne pas avoir le choix. Tout iop qu’il est, il sait bien que ca fera louche si, pour un mort, je n’ai pas de testament. Alors il a pris le papier qu’on m’avais fait écrire la veille, avec mes affaires, il a réglé la température pour que j’ai pas froid, même nu, puis il est sortis. Ce garde iop a ajouté avant de sortir, que dès que j’irai mieux, je pourrais boire encore un peu de tisane laissée à coté des barreaux.
En attendant, je vais refaire une sieste je pense....
Albynn- Le Respectable
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Re: Albynn, porte-poisse?
23 Novemaire :
Je crois que mon dos est guéris, déjà ! Le baume devait avoir des effets magiques minimaux, quand même. En revanche, je suis complètement engourdi. Du coup, je suis allé boire un peu de tisane. Elle est vraiment bonne !
Je vais voir que Shi pendant trois quatre jours, je pense, avant qu’il ne trouve mes amis de confidence. Peut-être que le premier à passer me voir sera Mousy ? Leur dernière rencontre n’a pas été très amicale, j’espère qu’il ne va pas le tuer.
Et pauvre Murmure... Je crois qu’elle pleurait quand Saaul me portais. Enfin, elle devrait déjà être rassurée, maintenant.
Monsieur Yourme est très attentif. Il m’a rendu mon carnet de dessin et mon journal pour que je m’ennuie pas trop lorsqu’il est absent. Et il passe me refaire de la tisane toutes les trois quatre heure. Je crois que je peux plus m’en passer, de cette infusion. Trop bon !
Par contre, ça doit être la fatigue des derniers jours, j’ai plus envie de tenir debout. De toute façon, pourquoi tenir debout, c’est pas comme si j’avais un endroit jusqu’où marcher. Je dois juste rester planquer pendant quelques jours.
Shi est venu voir comment j’allais ce soir, il m’a fait un calin. Il doit essayer de me réconforter, comme Murmure. Il est gentil, en fait. Et il m’a caressé les cheveux en disant que j’étais fort. C’est comme Pa’Joe quand je tenais la faux aux champs, il passait aussi sa main sur ma tête en disant que c’était bien !
Je suis bien content, mais j’aimerais plus de compagnie, quand même. Des vêtements, aussi. Non pas qu’il fait froid, mais je me sens pas vraiment à l’aise comme ça... Monsieur Yourme dit qu’il faudra attendre un peu, le temps que sa commande vestimentaire arrive...
Shi dit qu’il invitera bientôt mes amis à passer me voir discrètement, mais seulement dans deux ou trois jours.
Je me cache que depuis deux jours, c’est vrai que ca serait rapide d’amener des gens ici dès aujourd’hui. Comme hier, il a posé un paquet sur la table d’entrée. Surement des provisions.
Pour être sur que je refasse pas la tête en l’air comme chez Nezorf, il laisse la grille fermée. Ca me dérange pas. De toute manière, j’ai pas de raison de sortir.
Je crois que mon dos est guéris, déjà ! Le baume devait avoir des effets magiques minimaux, quand même. En revanche, je suis complètement engourdi. Du coup, je suis allé boire un peu de tisane. Elle est vraiment bonne !
Je vais voir que Shi pendant trois quatre jours, je pense, avant qu’il ne trouve mes amis de confidence. Peut-être que le premier à passer me voir sera Mousy ? Leur dernière rencontre n’a pas été très amicale, j’espère qu’il ne va pas le tuer.
Et pauvre Murmure... Je crois qu’elle pleurait quand Saaul me portais. Enfin, elle devrait déjà être rassurée, maintenant.
Monsieur Yourme est très attentif. Il m’a rendu mon carnet de dessin et mon journal pour que je m’ennuie pas trop lorsqu’il est absent. Et il passe me refaire de la tisane toutes les trois quatre heure. Je crois que je peux plus m’en passer, de cette infusion. Trop bon !
Par contre, ça doit être la fatigue des derniers jours, j’ai plus envie de tenir debout. De toute façon, pourquoi tenir debout, c’est pas comme si j’avais un endroit jusqu’où marcher. Je dois juste rester planquer pendant quelques jours.
Shi est venu voir comment j’allais ce soir, il m’a fait un calin. Il doit essayer de me réconforter, comme Murmure. Il est gentil, en fait. Et il m’a caressé les cheveux en disant que j’étais fort. C’est comme Pa’Joe quand je tenais la faux aux champs, il passait aussi sa main sur ma tête en disant que c’était bien !
Je suis bien content, mais j’aimerais plus de compagnie, quand même. Des vêtements, aussi. Non pas qu’il fait froid, mais je me sens pas vraiment à l’aise comme ça... Monsieur Yourme dit qu’il faudra attendre un peu, le temps que sa commande vestimentaire arrive...
Shi dit qu’il invitera bientôt mes amis à passer me voir discrètement, mais seulement dans deux ou trois jours.
Je me cache que depuis deux jours, c’est vrai que ca serait rapide d’amener des gens ici dès aujourd’hui. Comme hier, il a posé un paquet sur la table d’entrée. Surement des provisions.
Pour être sur que je refasse pas la tête en l’air comme chez Nezorf, il laisse la grille fermée. Ca me dérange pas. De toute manière, j’ai pas de raison de sortir.
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